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Page:Paul Vibert - Mon berceau, 1893.djvu/134

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MON BERCEAU

Dans le chapitre suivant, abrités sous le porche, nous verrons l’émeute, nous écouterons le crépitement de la fusillade à travers les siècles, nous entendrons le râle des mourants, la gorge serrée d’épouvante ; ce sera moins gai et les calembours de Saint-Germain-l’Auxerrois, pendant cette longue, lugubre et sinistre période du Moyen-Age, nous feront l’effet du sel qui permet de supporter les aliments les plus répugnants.