heures déjeuner, à neuf heures et demie la messe. À dix heures, lire jusqu’à onze heures. De onze heures à onze heures et demie, prendre sa leçon de musique. À onze heures et demie jusqu’à midi, dessiner. Depuis midi jusqu’à une heure prendre la leçon de géographie et d’histoire. À une heure diner, récréation jusqu’à trois heures. À trois heures, leçon d’écriture et de calcul, jusqu’à quatre heures. À quatre heures, leçon de danse jusqu’à cing heures ; goûter et récréation jusqu’à six heures. À six heures jusqu’à sept, la harpe ou le clavecin. À sept heures, souper. À neuf heures et demi, au dortoir. »
Les autres jours de la semaine étaient arrangés de même ; mais, au lieu de prendre des leçons de maîtres étrangers au couvent, les enfants travaillaient, sous la direction des dames de l’Abbaye. Les dimanches et fêtes[1], on entrait aux classes à huit heures, on lisait l’Évangile, on allait à la messe à neuf heures. À onze heures, les jeunes filles assistaient à une courte instruction faite par des directeurs. À quatre heures, vêpres.
Hélène n’a pas oublié de nous laisser le portrait des maîtresses de la classe Bleue, tracé avec une irrévérencieuse concision.
- ↑ Ces dernières étaient très nombreuses.