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Page:Renaud - Recueil intime, 1881.djvu/109

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La Trêve




CLAIRE est la nuit, limpide est l’onde.
Les astres faisant leur miroir
De la nappe large et profonde,
Y sont encor plus doux à voir.

Le paysage a, sur la rive,
Le charme et le rêve absolus.
Trop tôt quelque laideur arrive.
Rameurs, c’est bien ; ne ramez plus.