Aller au contenu

Page:Renaud - Recueil intime, 1881.djvu/70

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

L’Irréparable




Quel parfum j’irais répandre
En ton cœur, si tu voulais !
Mais tu ne veux rien comprendre,
A ne rien voir tu te plais.
Nos lèvres sont des fleurs douces,
Nos yeux ont l’éclat du jour ;
Cependant tu me repousses
Sans souci d’aucun amour.