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Page:Sénac de Meilhan - L'Émigré, Tome 3.djvu/157

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plaisir à mon cher cousin l’assurance de mon éternelle amitié.



LETTRE XCVII.

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La Cesse de Loewenstein
à
Melle Émilie de Wergentheim.


J’y ai bien réfléchi, ma chère Émilie, et je persiste dans le parti dont je vous ai fait part, tout extraordinaire qu’il soit ; il ne m’est pas possible d’interdire au Marquis de venir chez ma mère ; car je n’ai aucune raison de fermer sa maison à personne, et quand je l’aurais, ma famille n’aurait-elle pas lieu d’être surprise du