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Page:Sade - La nouvelle Justine, ou les malheurs de la vertu, suivie de L'histoire de Juliette, sa soeur, tome 3, 1797.djvu/307

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Gernande, agenouillées toutes deux sur le bord du canapé, les fesses tournées vers lui, et les laisse un moment là, pendant qu’il examine le cul de Dorothée : Foutre ! madame, lui dit-il, vous êtes faite à peindre… c’est le corps d’un bel homme ; j’aime à la folie ce poil qui l’ombrage, je le baise avec un vrai plaisir… j’adore ce brun de l’orifice de votre cul… il prouve de l’usage… écartez, que j’y mette ma langue ; oh ! comme vous êtes large… que j’estime cette preuve authentique de la dépravation de vos mœurs… vous aimez quand on vous encule ? vous idolâtrez le vit au cul… il n’y a que cela, madame… il n’y a que cela ; voilà mon cul que je vous offre, il est de même… il est excessivement large… Et Dorothée, baisant avec délices le cul de Verneuil, lui rendait amplement les gamahuchades qu’elle en avait reçu. Vous me plaisez infiniment, madame, poursuivit Verneuil, il ne vous reste plus, pour achever de me tourner la tête, que d’accepter la proposition que je vais vous faire, et sans l’accord de laquelle tout votre art ne réussirait peut-être pas à faire jaillir mon sperme. Vous êtes riche, dit-on, madame ; eh bien, en ce cas, il faut que je vous paye ; si vous étiez pauvre, je vous volerais. Dans la circonstance