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Page:Sade - La nouvelle Justine, ou les malheurs de la vertu, suivie de L'histoire de Juliette, sa soeur, tome 3, 1797.djvu/309

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sous mes yeux… Eh quoi ! madame, quelque chose repousse ce mouchoir ; je n’ai cru déguiser qu’un con, je découvre un vit, Foutre ! quel clitoris… Retirez, retirez ce voile ; bien plus homme que femme, l’illusion m’est permise : vous n’avez besoin de rien cacher. Et le paillard branlait, suçait cette excroissance, assez majestueuse pour mettre celle qui la possédait en état de remplir avec succès tous les rôles d’un homme. Vous devez être libertine au dernier degré, madame, poursuivit Verneuil ; vous devez avoir tous nos goûts ; et il lui enfonçait, en disant cela, trois doigts dans le cul, dont l’effet électrique fit aussi-tôt lever ce clitoris, au point que Dorothée voulut foutre un giton. Verneuil aide à l’entreprise, et claque vigoureusement les fesses de la Messaline au moment qu’elle agit : Voulez-vous que je vous moleste, lui dit-il ? je ne le demande point aux victimes… mais à vous. — Faites ce qu’il vous plaira de mon cul, dit Dorothée ; il ne vous est offert que pour tout endurer. Verneuil lui pince alors les fesses d’une si cruelle force, que la putain décharge à l’instant. Eh bien ! poursuit-il en la voyant pâmer, convenez qu’il n’y a que le supplice pour hâter l’éjaculation ? sacrificateur ou vic-