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Page:Sade - La nouvelle Justine, ou les malheurs de la vertu, suivie de L'histoire de Juliette, sa soeur, tome 3, 1797.djvu/364

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sœur. En attendant que tout se prépare, Verneuil, pour se ranimer, jouit des plaisirs passifs de Sodome : John et Constant l’enculent tour-à-tour ; il veut que Justine lui suce la bouche et lui branle le vit pendant ce tems-là. En peu de minutes notre complaisante héroïne rend à la vie ce triste invalide de Cythère ; et les deux meilleurs soufflets qu’elle ait reçu de ses jours, deviennent les gages de la reconnaissance qui lui est due. Parfaitement excité, le drôle s’élance du même bond sur la petite fille de sept ans : les prémices du cul sont ceux qui s’offrent les premiers ; Victor guide, avec une incroyable adresse, le membre effrayant de son père au trou mignon qu’on lui fait voir ; mais quelque soit l’adresse de l’un et l’agilité de l’autre, l’attaque paraît impossible. Cependant la victime, parfaitement contenue, ne peut offrir aucune résistance ; sa défaite devient donc certaine ; elle l’est effectivement ; et le monstre, à force de pommade, disparaît en trois tours-de-reins dans l’antre étroit des plaisirs de Gomorre. Marceline remplace aussi-tôt Laurette dans l’emploi de contenir le sujet ; pour mieux exciter son père dans les plaisirs qu’il