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Page:Sade - La nouvelle Justine, ou les malheurs de la vertu, suivie de L'histoire de Juliette, sa soeur, tome 3, 1797.djvu/365

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goûte à jouir de sa fille, elle lui fait baiser les superbes fesses d’une enfant plus rapprochée de lui d’un degré que celle qu’il sodomise. Victor, qui n’a plus besoin là, vient, en enculant son père, placer Verneuil entre les deux résultats de sa couille. Mais la férocité de cet incestueux, qui ne peut être une minute sans alimens, exige que Gernande fouette devant lui Marceline, c’est-à-dire, la grand’mère de celle dont il travaille l’anus ; et Gernande, dont on connaît les goûts sanguinaires, veut, pour le faire couler plutôt, n’employer sur le gros cul de cette femme qu’un martinet à pointes de fer. Je voudrais bien, dit Verneuil toujours en foutant, que d’Esterval, pour achever de m’irriter, saisît le cul de ma femme dans la posture où la voilà, et qu’il l’étrillât d’importance. — Ne pourrais-je pas, dit Bressac, rendre le même service à Laurette ? son attitude étant semblable, je puis la saisir de même. — Assurément, répond Verneuil ; mais il faudra donc que Dorothée vienne foutre Victor de son délicieux clitoris. — Bon, dit John, et moi, j’enculerai Dorothée. — En face de vous tous, dit Constant, je vais, si cela plaît, sodomiser