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Page:Sade - La nouvelle Justine, ou les malheurs de la vertu, suivie de L'histoire de Juliette, sa soeur, tome 3, 1797.djvu/367

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Verneuil décharge comme un taureau, et veut qu’au sortir du cul de son petit-fils, ce soit la bouche de Justine qui purifie son engin merdeux. Remplaces-moi, dit-il à Victor ; mon fils, fouts mes deux enfans ; je me sens encore la force de t’enculer pendant ce tems-là, pourvu que ma femme gamahuche le trou de mon cul, et que je lèche celui de ma sœur. De nouveaux groupes entourent ces derniers écarts de luxure ; et, après quelques instans de calme et de rafraîchissemens, on procède au dernier acte de ces délicieuses orgies.

Oh ! juste ciel ! par quelles horreurs elles vont se terminer !

Un vaste fauteuil à cinq places, construit de manière que ceux qui y sont placés se trouvent dos à dos, est élevé au milieu du salon. Bressac, Gernande, Verneuil, d’Esterval et Dorothée s’asseyent dans ce siége. Chacun de ces individus place un giton entre ses jambes ; John, Constant et Victor papillonnent autour. Un cercle environne ce large fauteuil, en ne laissant qu’un pied d’intervalle entre ce siége et lui. Ceux qui forment ce cercle sont mesdames de Verneuil et de Gernande, Justine,