Aller au contenu

Page:Sade - La nouvelle Justine, ou les malheurs de la vertu, suivie de L'histoire de Juliette, sa soeur, tome 4, 1797.djvu/158

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

pauvre fille ; le cul de son confrère, entièrement à nu, se trouvait bien à sa portée. Une nouvelle scène se lie aussi-tôt. Siméon veut que Léonarde suce son vit, pendant qu’il flagelle Martine : élevée sur le lit, il baise encore le mien, et Luce continue de travailler avec un godmiché le cul de père Ives, qui, tout en fouettant son ami, touche brutalement les tetons de ma mère. Ne déchargeons pas ainsi, dit Siméon, cela n’en vaut pas la peine ; il vaut mieux foutre : tiens, sodomises mon fils encore une fois dans les bras de sa mère ; moi, je vais placer ma fille à cheval sur les tetons de la maman ; je l’enconnerai, pendant que, de ses fesses, elle pressurera le visage de sa mère ; Léonarde et Martine nous fouetteront pendant ce tems-là, et Luce nous fera baiser ses fesses.

Je ne vous peindrai point les douleurs que je ressentis à la perte de mon pucelage ; le vit de mon père était monstrueux, et il ne me ménageait pas : un nouveau supplice m’était préparé ; ma mère en déchargeant, ne sachant plus ce qu’elle faisait, saisit avec ses dents un morceau de mes fesses, qui, comme vous savez, reposaient sur son visage ; je jette un cri en poussant vigoureusement mes reins sur