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Page:Sade - La nouvelle Justine, ou les malheurs de la vertu, suivie de L'histoire de Juliette, sa soeur, tome 7, 1797.djvu/164

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mais même encore celui, pendant qu’ils foutaient, d’être aidés, servis par une jolie main, et de baiser une bouche, un con ou un cul, à leur volonté ; tous répandirent du foutre.

À la seconde séance, chacune de nos tribades nous branlait un vit sur la figure ; nous en branlions un de chaque main, et deux moines nous gamahuchaient ; nous étions assises sur le visage de celui qui nous léchait le trou du cul ; entre nos jambes, à genoux, était celui qui nous suçait le con ; le septième et le huitième attendaient nos ordres, le vit à la main, et ils nous enconnaient ou nous enculaient au moment où, suffisamment excitées par les gamahucheurs, nous leur faisions signe de s’introduire. Nous obtînmes encore huit coups de cette manière.

Ma compagne et moi étions excédées, lorsqu’il passa par la tête de Clairwil une idée bien digne de son libertinage.

En s’y prenant, dit-elle, avec adresse, il est possible qu’une femme soit enconnée par deux hommes à-la-fois, que ceux qui bandent encore m’approchent, que le mieux fourni des deux m’enfile en me prenant sur lui ; que