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Page:Sade - La nouvelle Justine, ou les malheurs de la vertu, suivie de L'histoire de Juliette, sa soeur, tome 7, 1797.djvu/165

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l’autre me le mette à l’envers, en me branlant le trou du cul ; qu’un troisième vienne se faire sucer ; tout cela ne m’empêchera pas d’en pouvoir branler encore deux.

Clairwil se trouvait heureusement assez large pour l’exécution de son projet : vigoureusement secouée par deux monstrueux engins, dont l’un se retirait pendant que l’autre s’engloutissait jusqu’au poil[1], ainsi foutue en mesure pendant plus de trois heures, par vingt-six des moines qui furent assez adroits pour réussir, la putain sortit de-là comme une frénétique ; ses yeux étincelaient, sa bouche écumait ; elle était en nage, et toute excédée qu’elle paraissait,

  1. Nous garantissons, par expérience, aux femmes assez bien constituées pour essayer cette manière, que cette volupté est si chatouilleuse, si remplie de sel, qu’il est très-difficile de la supporter sans perdre connaissance : si elles peuvent obtenir suffisamment d’adresse d’un troisième homme pour être enculées pendant ce tems-là, elles seront sûres alors d’avoir goûté le plus violent plaisir que puisse se procureur notre sexe.
    (Note communiquée par une femme de trente ans, qui l’a essayé plus de cent fois dans sa vie.)