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Page:Sade - La nouvelle Justine, ou les malheurs de la vertu, suivie de L'histoire de Juliette, sa soeur, tome 7, 1797.djvu/176

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ici avant que de partir… c’est le cul le plus blanc… et l’ame la plus noire… Oh ! elle est bien digne de nous ! Elle viendra vous entendre cet après-midi… Voulez-vous faire quelque chose avant dîner ?… J’attends Clairwil… Mais avant que sa toilette ne soit finie il sera quatre heures ; or, comme il n’en est que trois, je vous exhorte à passer tous deux un instant dans mon boudoir, mon valet-de-chambre va vous suivre. Belmor consentit ; le valet vint et nous nous enfermâmes tous trois. La passion de Belmor était simple ; il baisait, il examinait long-tems les fesses de la femme, pendant que l’homme l’enculait ; puis dès que cet homme avait déchargé, il lui branlait le vit sur le cul de la femme, lui faisait perdre une seconde fois du foutre bien positivement au trou, et dévorait ce que venait de perdre cet homme, pendant que la femme pétait. On le fouettait alors. Le comte remplit avec moi tous les épisodes de ses goûts ; mais se sentant de la besogne pour le soir, il ne déchargea pas : nous rentrâmes. Clairwil, belle comme un ange, venait d’arriver ; on se mit à table.

Juliette me dit Noirceuil, ne vous ima-