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Page:Sade - La nouvelle Justine, ou les malheurs de la vertu, suivie de L'histoire de Juliette, sa soeur, tome 7, 1797.djvu/248

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beaux tetons qu’il fût possible de voir, et un clitoris… oh ! de nos jours nous n’en avions vu ni de si long ni de si roide. J’avoue que je ressentis dès-lors un penchant inviolable pour cette femme, et je la gamahuchais déjà de tout mon cœur, lorsque Clairwil, amenant le jeune homme par le bout du vit, m’écarta pour enfoncer ce vit dans le con de la sorcière : mais elle s’y opposa avec un cri terrible. Pourquoi donc exiger cette horreur de moi, nous dit-elle, je n’aime pas à foutre en con, je ne le puis d’ailleurs, me prenez-vous donc pour une femme ordinaire ? et, rejetant l’homme d’un vigoureux coup de poing, elle lui présente aussitôt les fesses. Clairwil conduit le membre, qui disparaît sans préparation dans l’anus, avec la même facilité qu’il se serait englouti dans le plus vaste con. Et ce fut alors que la putain frétilla de la plus lubrique manière ; Clairwil et moi nourrissions son extase en la gamahuchant, en la polluant, en la baisant, en la caressant de tous nos moyens physiques et moraux. On ne se peint point l’ardeur de l’imagination de cette femme, la saleté de ses propos, le décousement original de ses idées luxurieuses, le désordre, en un mot,