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Page:Sade - La nouvelle Justine, ou les malheurs de la vertu, suivie de L'histoire de Juliette, sa soeur, tome 7, 1797.djvu/270

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ménagera. Qu’il entre, dis-je, et qu’il paye bien, nous n’avons pas envie d’être ménagées, nous sommes des putains, et nous voulons être traitées comme telles.

Le personnage parut : c’était un petit homme d’environ soixante ans, gros, court, et de la tournure d’un opulent financier ; il était presque nud, on le sodomisait, son enculeur l’instrumentant tout en marchant… Les beaux culs foutre… les beaux culs ! s’écria-t-il en nous, les maniant : vous avez fait des choses délicieuses… et continuant toujours de se branler… vous avez tué… vous avez massacré : comme j’aime toutes ces choses là ! Quand vous voudrez nous en ferons autant ensemble. À ces mots le paillard me renverse sur le lit, et m’encule en maniait les fesses de Clairwil ; au bout de quelques allées et venues assez grossièrement faites, il change de poste, et c’est ma compagne qu’il gommorhise, en examinant et baisant mon derrière. Ici son fouteur déchargea ; le petit homme, bien persuadé qu’il ne peut se tenir valeureusement en scelle, s’il n’est étayé d’un bon vit au derrière, décule aussitôt, et s’emparant d’une poignée de verges, il ordonne à son