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Page:Sade - La nouvelle Justine, ou les malheurs de la vertu, suivie de L'histoire de Juliette, sa soeur, tome 7, 1797.djvu/324

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de cent ; les grandes en con, les petites en cul, pour ménager les pucelages ; une des plus âgées se mettait à chaque neuvaine ; on l’appelait le pater ; celles-là seules avaient le droit de parler ; elles commandaient les décharges, elles prescrivaient les déplacemens, et présidaient généralement à tout l’ordre de ces singulières orgies.

Elles inventèrent bientôt une autre façon de me donner du plaisir : ici, l’on ne s’occupait que de moi seule ; étendue sur un grouppe de six, qui m’élevaient et me rabaissaient par leurs mouvemens voluptueux, toutes les autres venaient par demi-douzaine consulter mes sensations, et les assouvir de lubricité ; une me faisait sucer son con, j’en chatouillais une de chaque main ; une autre à cheval sur ma poitrine, se servait du bout de mes tetons pour se branler ; celle-ci se frottait sur mon clitoris, et la sixième se polluait sur mes yeux ; toutes déchargeaient, toutes m’inondaient de sperme, et jugez si le mien s’y refusait.

Enfin, je les priai de m’enculer ; on plaçait un con sous ma bouche, dont j’avalais le foutre ; ce con se relayait à chaque fois qu’un nouveau godmiché m’entrait dans le