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Page:Sade - La nouvelle Justine, ou les malheurs de la vertu, suivie de L'histoire de Juliette, sa soeur, tome 7, 1797.djvu/78

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autour de l’anus, que je me mis à présenter le derrière à tous ceux qui sortaient du vagin de Clairwil ; ils se préparaient dans son con, et venaient décharger dans mon cul ; ils redoublèrent, mais sans nous rassasier ; rien n’est tel que le tempérament d’une femme quand il est excité, c’est un volcan que l’on enflamme en voulant l’appaiser. Nous redemandâmes des hommes, on nous en envoya dix-huit de vingt à vingt-cinq ans ; ici nous avions changé de rôle ; ces nouveaux vits, pour le moins aussi beaux que les précédens, s’allumaient dans mon con, et s’éteignaient au cul de ma compagne ; mais nous branlions nous-mêmes ceux que nous préparions ; et il arrivait souvent que l’excès de nos desirs, troublant l’ordre que nous avions établi, nous en trouvions tout d’un coup six ou sept, ou dans nous, ou autour de nous.

Nous nous relevâmes enfin, colées de foutre sur nos sophas, comme Messaline sur le banc des gardes de l’imbécille Claude, après avoir été foutues quatre-ving-cinq coups chacune. Les fesses me brûlent, me dit Clairwil ; quand j’ai été prodigieusement foutue, j’éprouve un incroyable besoin