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Page:Sue - La Bonne aventure, Tome 5,1851.djvu/295

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étrange, Maria Fauveau jette sur madame de Beaupertuis un regard attendri qui se mouille peu à peu de larmes abondantes ; tandis que Clémence Duval, la seconde accusée, ne songeant plus à dérober ses traits aux yeux du public, joint les mains avec effroi, à la vue de la figure cadavéreuse et presque mourante de madame la duchesse de Beaupertuis, et semble partager l’attendrissement de Maria Fauveau.

« M. le président à M. de Beaupertuis. — Monsieur, le duc, croyez-vous madame la duchesse assez remise de la fatigue que lui a causée sa translation ici, pour répondre à quelques questions que je vais avoir l’honneur de lui adresser ?

« (M. de Beaupertuis se penche un instant