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Page:Taxil, Hacks, Le Diable au XIXe siècle, Delhomme et Briguet, 1894.djvu/429

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Cresponi a su s’entourer d’une légende : d’aucuns le disent évocateur de premier ordre et répètent tout bas qu’il va parfois, la nuit, au Colisée, où devant lui, sans témoins, il fait défiler des légions de fantômes. (Page 462.)

de demander aux assistants, à l’un après l’autre, de formuler leur opinion sur telle ou telle conjecture. Néanmoins, après avoir fait formuler les avis, il n’en tient aucun compte : il semple qu’il a voulu simplement provoquer des explications. Il dit nettement et carrément ce qu’il faut faire.

Il conclut toujours par des encouragements à ses fidèles ; il les assure du triomphe final de sa cause. Tout cela est dit avec un calme bizarre, dont il ne sort que pour vomir parfois des blasphèmes contre la Vierge