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Page:Teleny, or The Reverse of the Medal, t. II.djvu/56

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car dans ma fureur, je le suçais avidement, goulûment, provoquant ainsi une éjaculation abondante ; et en même temps, de petites gouttes du même fluide que j’absorbais, s’écoulaient lentement, douloureusement, hors de mon corps. À ce moment-là, nos nerfs se détendirent et nous tombâmes épuisés l’un sur l’autre.

Un court moment de repos, je ne saurais dire de quelle durée, l’intensité n’étant pas mesurée par le rythme calme du Temps, et puis j’ai senti son pénis sans nerfs sortir de son sommeil et se presser contre mon visage ; il essayait manifestement de trouver ma bouche, tout comme un bébé avide mais gavé, même dans son sommeil, tient fermement le mamelon de sa mère simplement pour le plaisir de l’avoir dans sa bouche.

J’ai appuyé ma bouche sur lui et, comme un jeune coq réveillé à l’aube tend son cou et chante avec ardeur, il dressa sa tête vers mes lèvres chaudes et pulpeuses.

Dès que je l’eus dans la bouche, Teleny se retourna et se plaça dans la même position que moi vis-à-vis de lui, c’est-à-dire que sa bouche était à la hauteur de mon ventre,