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Page:Turben - Les Songes du printems, 1750.djvu/21

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xix
PREFACE.

oit à ſouhaiter qu’ils ne fuſſent pas, & ſouvent même avec des défauts qu’ils n’ont point & dont on leur fait venir l’idée.

Je n’écrirai jamais dans ce dernier genre auquel je me reconnois moins propre que tout autre. En effet où l’on y peint des vices où l’on y peint des ridicules.

Les vices, à moins qu’on ne veüille les varier en les groſſiſſant ou en les diminuant, ce qui eſt également dangéreux, ſont toujours les mêmes & la liſte en eſt bientôt faite. D’ailleurs mes