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Page:Drouot – Eurydice deux fois perdue, 1921.djvu/138

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dit : « Pourquoi reviens-tu encore ? » et celle qui m’a dit : « Tue-moi ; tout ce que tu souffres, je le souffre ! » et celle-ci, plus supportable, au tournant de la fontaine, et celle du sentier des noyers.

* * *

Et mon amour est la condamnation de l’amour…

* * *

Puisque l’amour est un combat, comprend-on qu’un homme puisse supporter l’amour d’une femme qu’il n’a point blessée mortellement ?

* * *

La douleur est comme Dieu, toute dans la plus petite parcelle d’elle-même.

* * *

Du moment où l’on voit que l’espérance est le plus grand des biens, on le perd, on cesse d’espérer.