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Page:Drouot – Eurydice deux fois perdue, 1921.djvu/139

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Il n’est plus d’abri contre la douleur le jour où l’amour de la douleur vient à manquer.

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Il faudrait que la douleur ne fût jamais plus qu’une musique, elle briserait déjà bien des cœurs.

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Elle ne s’installe point en nous, mais elle ne sort de notre cœur que pour y entrer à nouveau ; c’est son jeu le plus cruel.

Et comme le cœur de l’homme se donne à elle ; ah ! que la femme en soit jalouse !

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Travailler, jouir : deux occupations médiocres. Souffrir !

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