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Page:Drouot – Eurydice deux fois perdue, 1921.djvu/147

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qu’ils pouvaient représenter, en proie à je ne sais quels plaisirs singuliers devant l’accord de deux tons qui s’appelaient d’un bout d’une toile à l’autre ; je me souviens de toi qui échappes, me semble-t-il par moments, à toutes les analogies qu’on rencontre entre les personnes humaines.

* * *

Ah ! pourquoi frappez-vous si fort… et si faiblement frappez-vous ? Ces murs n’en sont-ils point ébranlés ? Ai-je vraiment entendu autre chose que le heurt d’une petite branche sur le seuil ?

* * *

Un soir, dans son cabinet de toilette, assise, avec son grand vêtement blanc en laine tricotée, devant la glace. Comme elle ajoutait aux lumières ! quelques bougies seulement dans cette pièce, et elle me semblait éclatante, trop éclairée ; c’est