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Page:Yver - La Bergerie.djvu/68

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tante ni par le délicieux programme de vie qui posait devant lui, là, sur la table de café où il écrivit, il répondit de la plus péremptoire manière, que jamais — le mot étant deux fois souligné — il n’aurait le courage d’embrasser cette austère vie des champs, triste, monotone et opprimante comme elle lui paraissait.