Aller au contenu

Page:Yver - Les Cervelines.djvu/140

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

rue, c’étaient ces yeux qu’elle sentait ardemment attachés sur elle, le soir à l’amphithéâtre.

— Je suis contente d’avoir été utile à ces intelligences, jeunes ou vieilles, prononça-t-elle froidement, pour fixer sans merci, dès maintenant, quel genre de satisfaction elle devait retirer de ces aventures.