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Page:Yver - Les Cervelines.djvu/226

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dont elle avait vu Tisserel les contempler. Ces yeux de l’amour, ils la suivaient partout, durant tout le jour. Elle ne prenait pas un livre qu’ils ne fussent derrière à la regarder, elle ne fermait pas les yeux que la vision n’en éclatât lumineusement au fond d’elle-même. Quand la nuit fut venue, elle continua de les voir. Elle était pleine d’une tristesse mortelle.