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Page:Yver - Les Cousins riches.djvu/207

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QUATRIÈME PARTIE

I

— Où donc est ma femme ? demandait souvent, en remontant de l’usine, Élie Martin d’Oyse.

Il la cherchait un peu, pour la forme. Dans le fond, il la savait parfaitement chez les Alibert, au second, car depuis que Fanchette habitait le château, les deux cousines, si différentes d’apparence pourtant, ne se quittaient guère. Les deux garçons, eux aussi, à cette heure-là regagnaient leur appartement. Élie, dans son cabinet de la tourelle, inconsciemment, prêtait l’oreille. On entendait leurs voix sonores et le rire perlé de Cécile. Ils