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Page:Yver - Les Cousins riches.djvu/229

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III

Huit jours plus tard, une équipe de maçons envahissait les Verdelettes. On entendait le bruit des pioches qui s’attaquaient férocement aux moellons des murailles puissantes. Samuel et Frédéric discutaient avec l’entrepreneur, le plan à la main. Ils parlaient de travée dans la pierre, de plafonds perforés. Puis les poêliers arrivèrent. Les Martin d’Oyse allaient presque toujours seuls maintenant à la filature. Les Alibert demeuraient au château pour surveiller la pose des appareils. Cécile triomphait.

— Cela va être délicieux, disait-elle, cette tiédeur partout.