À Théodore Aubanel
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- Mercredi, soir
- [19 juillet 1865]
- Mon cher Théodore,
L'heure de la poste sonne. Je n'ai pas le temps de te dire que si tu ne viens pas Samedi avec Emmanuel, tu es un misérable que je maudis à jamais.
Et ton drame, que tu me dois ? Et mon intermède dont je voulais te lire quelques ébauches ?
Au revoir,
- Ton
- STÉPHANE
Compliments à Madame et baisers à Hercule.