Œuvres politiques de Machiavel (Louandre)/Discours sur la première décade de Tite-Live/Appendice

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Traduction par Jean Vincent Périès.
Œuvres politiques de Machiavel, Texte établi par Ch. LouandreCharpentier (p. 573-580).
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APPENDICE


Nous avons eu occasion de citer dans notre Introduction le travail critique de M. J. Ferrari sur Machiavel. Nous croyons faire plaisir a nos lecteurs en mettant sous leurs yeux deux fragments extraits de cette belle étude. L’un se rattache à un point fort controversé, la Religion de Machiavel ; l’autre, entièrement neuf, est une application des théories du publiciste de Florence aux événements de l’histoire moderne.


LA RELIGION DE MACHIAVEL.


Quelques idées très-simples sur la destinée universelle des hommes et des choses dominent Machiavel tout entier. Il les expose rarement, mais il les suppose toujours. Contemporain de Pomponat, le secrétaire de Florence se trouve évidemment sous l’influence d’une sorte d’astrologisme qui supplante la théologie chrétienne et détruit Dieu lui-même. Son premier principe, c’est le mouvement des sphères ; il ne veut point s’élever au-dessus de ce principe visible et matériel. D’après lui, la marche des astres, le cours des saisons, le passage de la vie à la mort, tout est déterminé par l’évolution circulaire de l’univers. L’homme même lui est soumis : il se multiplie aveuglément, il envahit la terre ; et quand le monde regorge d’habitants, les sphères le dépeuplent par les pestes, les famines et les inondations, pour que l’humanité recommence son travail. Le mouvement universel se répète au sein des sociétés : les États s’organisent et se corrompent comme les individus ; tous les corps politiques passent de la monarchie à l’aristocratie, à la démocratie, pour revenir circulairement à la monarchie. Les sphères emportent tout, les hommes et les choses, sans que jamais l’on puisse deviner le but définitif de l’univers[1]. Au-dessous des sphères, il y a un nouveau principe entièrement secondaire dominé par les astres, et c’est ici que Machiavel trouve sa religion, ou plutôt une sorte de magie. Il croit que « tous les grands événements sont annoncés par des prophéties, par des révélations ou par des prodiges. » Suivant lui, l’invasion française de Charles VIII a été précédée par des armées aériennes. « Il est probable, dit-il, que l’atmosphère est remplie d’intelligences qui annoncent l’avenir par commisération pour les mortels. Il est certain que très-souvent les poètes sont agités par un esprit divin et prophétique qui conseille les vœux les plus utiles à l’humanité[2]. » Tel est le sentiment religieux de Machiavel. C’est là une anticipation surnaturelle sur les événements, un pressentiment mystérieux, quelque chose d’intermédiaire entre l’astrologie et la physique. Ce pressentiment impose-t-il des dogmes, des devoirs ? Non, c’est un avis ; on peut en profiter, le négliger : comme les sphères, il n’impose rien ; il ne révèle qu’une fatalité aveugle et sans but.

C’est au milieu de ce monde, moitié astrologique, moitié magique, que Machiavel trouve l’homme. Seul, abandonné à lui-même, l’homme doit se créer un but ; sa destinée doit sortir tout entière de son être. Tant qu’il obéit aveuglément à l’instinct, il n’est que l’instrument des sphères ; mais l’homme est intelligent, et ce principe de l’intelligence lui donne la faculté de maîtriser les événements. Sans briser la loi universelle, l’intelligence peut accélérer ou retarder le mouvement des choses ; elle peut intervenir dans l’organisation et la désorganisation circulaire des sociétés. Lycurgue a retardé ou fixé les destinées de Sparte pendant huit cents ans ; tout homme est maître de ses actions[3]. Qu’il se serve donc de son intelligence, qu’il se propose un but possible, il pourra l’atteindre, et sa destinée sera accomplie. Quel sera ce but ? Le choix est libre, et cette liberté est moralement infinie. Ainsi Machiavel se dégage de l’astrologie et de la magie par l’intelligence ; il laisse derrière lui les sphères, les mystères de la puissance fatidique ; il s’avance seul avec sa raison, maître de sa propre destinée.

La liberté de l’intelligence se manifeste aussitôt que Machiavel se trouve en présence des religions. Il rejette tous les dogmes. Suivant lui, les religions sont fondées par les prophètes, et le secrétaire de Florence explique les religions et les prophètes par l’exemple de Savonarola. Il y a là pour lui un prodige et une force intelligente. Nul doute que Savonarola n’eût le don d’une prévision miraculeuse : Florence l’avait entendu prophétiser mille fois la descente de Charles VIII. Là était le miracle. Savonarola en profita ; il donna à entendre que Dieu lui parlait ; il représentait ses ennemis comme des envoyés du diable ; bref, avec les fables les plus grossières, il fanatisa le peuple, et pendant quelques années il dirigea la république. Ici le miracle cesse ; c’est l’intelligence de l’homme qui agit, qui invente, qui gouverne ; c’est le dogme, c’est la religion qui se forme. Le miracle est absolument séparé du dogme ; il n’a pas de pensée, pas de sens, et par sa fatalité il rentre dans la sphère des phénomènes naturels. Le dogme c’est le mensonge. On le façonne à plaisir ; il flotte au gré des circonstances, de la crédulité : païen ou chrétien, il est entièrement livré a l’habileté des révélateurs. Achevons la pensée de Machiavel par Pomponat : Le thaumaturge n’est qu’un imposteur ; il ne fait pas les miracles, il les prévoit, et il donne ainsi à ses ordres toute l’autorité du prodige, comme s’il pouvait disposer de la création. Donc la religion n’arrête pas l’intelligence, c’est l’intelligence au contraire qui la crée ; elle peut inventer le paganisme, le christianisme, Dieu lui-même. Dans cette création, l’intelligence ne rencontre d’autres limites que celles tracées par le mouvement des sphères. Quand une religion est irrésistiblement fixée par ses prophètes et par ses pontifes, il faut céder à la fortune qui la consacre, et qui, au reste, la voue, comme toute chose, à une corruption inévitable. Lorsque les prodiges cessent, lorsque les fables religieuses exploitées par les pontifes se déconsidèrent, alors l’imposture se dévoile, la religion tombe, et l’intelligence de l’homme peut fonder de nouvelles religions prédestinées à leur tour à des catastrophes nouvelles.

La loi morale est écartée par Machiavel aussi nettement que les dogmes religieux. Jamais il ne tient compte du sentiment du droit. Quand il parle de la royauté, il n’y voit que l’œuvre de l’habitude, il ne soupçonne jamais un pacte entre un peuple et une famille. Quand il parle de la liberté, c’est la fierté individuelle, ce sont les avantages de l’indépendance qu’il défend. S’agit-il des traités, des droits d’une nation envers l’autre, Machiavel ne comprend que la volonté de dominer. Les couronnements, les traditions, les symboles des droits n’ont pour lui aucun sens. Rien ne nous oblige donc : les sphères sont inexorables, les miracles expriment la fatalité des sphères,’ le dogme est menteur, l’intérêt absolument libre est la vraie divinité de la terre, et l’intelligence au service de l’égoïsme est la vertu de Machiavel. Peu importe le but. L’homme peut transporter son égoïsme dans la gloire comme Lycurgue, dans la fondation d’une ville comme Romulus, dans une conquête comme Alexandre : pourvu que le but soit atteint, la vertu se manifeste, et les peuples ne manquent jamais de l’applaudir. En apparence, Machiavel semble croire à une sorte de morale naturelle : il célèbre l’héroïsme, il attaque le vice ; en réalité, ce sont là des phrases où il adopte les jugements les plus contradictoires de la foule qui se prosterne devant tous les succès en maudissant les échecs. Les mêmes hommes sont tour à tour blâmés ou loués par le secrétaire de Florence, parce que la vertu devient le vice, et le vice la vertu, selon le point de vue auquel on se place. Quelque part François Sforza est un indigne usurpateur ; ailleurs c’est un héros, suivant que Machiavel s’identifie avec l’intérêt de la république de Milan ou avec l’intérêt du condottiere. En un mot, Machiavel appelle vertu le triomphe de l’intelligence, quel qu’il soit. Ce triomphe le préoccupe si exclusivement, qu’il traite la morale et les intérêts secondaires comme des obstacles à supprimer. Faut-il commettre un grand crime, on n’ose point, on recule. Faut-il conquérir la gloire d’un grand sacrifice, on hésite et on échoue. Voilà la vice ; et c’est un vice pour Machiavel que les hommes ne soient ni entièrement bons, ni entièrement mauvais[4] ; car, entravés par de petits obstacles, ils manquent les plans que l’intelligence conçoit et peut réaliser avec une précision géométrique. C’est donc l’intelligence qui doit faire le droit et la loi, comme elle fait la religion, et ici encore elle n’est soumise qu’à la fatalité supérieure déterminée par la marche des sphères.



LA RÉVOLUTION FRANÇAISE,

d’après Machiavel.


A partir de 89, les principes s’emparent des événements, et on dirait que Machiavel dicte les paroles, même des hommes qui paraissent sur la scène de la révolution. Le peuple débute par la déclaration des droits de l’homme : le noble et le prêtre se croient plus que des hommes on dépossède donc la noblesse et le clergé. Le cri : Guerre aux châteaux, paix aux chaumières, retentit dans toute la France ; c’est la révolution qui colonise. Les hommes de Machiavel oublient plutôt la mort de leurs parents que la perte de leurs biens : donc les conspirations aristocratiques éclatent furieuses et indomptables. Le roi se résignera-t-il à ne plus être qu’un citoyen ? Il est contre la nature humaine, dit Machiavel, qu’on se résigne à tomber de si haut. Voilà le roi, la noblesse et le clergé qui risquent tout pour se défendre ; ils appellent l’étranger : il marche sur Paris. Pour vaincre une pareille opposition, poursuit Machiavel, il n’y a que le fer. L’indignation de la France obéit à Machiavel : de là les journées de septembre. Danton regarde son crime en face, et il le commet. Pour rendre la France libre, s’écrie Marat, il faut abattre cinq cent mille têtes. — Chalier demande à poignarder vingt mille Lyonnais. — Lanssel veut que tout le monde soit bourreau. — Tous répètent que notre mémoire périsse et que la patrie soit sauvée ; c’est le mot de Machiavel, il faut que la patrie soit sauvée avec gloire ou avec infamie. Ouvrons Marat. « Il s’agit, dit-il, du salut du peuple ; devant cette loi suprême, toutes les autres doivent se taire, et pour sauver la patrie tous les moyens sont bons, tous les moyens sont justes, tous les moyens sont méritoires[5]. » Ouvrons Machiavel : « Quand il s’agit du salut de la patrie, écrit-il, il n’y a ni justice ni injustice, ni pitié ni cruauté, ni éloge ni honte ; ce sont là des considérations qu’il faut sacrifier[6]. » Toute la révolution se développe à travers le grand dilemme de Machiavel ; à chaque phase c’est toujours l’alternative de la monarchie et de la république qui se présente ; d’après Machiavel il faut être républicain ou tyran, point de milieu ; si l’on veut réussir, point de demi-mesure, il faut de la décision et de la hardiesse. Tous les hommes de la révolution ne cessent de répéter qu’il faut de l’énergie, du courage, de la foi. Il faut de l’audace, dit Danton, encore de l’audace, toujours de l’audace. Le roi ne sait être ni citoyen, ni tyran, et il tombe ; la Gironde tergiverse, et elle glisse dans le sang ; Danton hésite à son tour, et sa tête tombe. La révolution seule marche droit et toujours, et la république triomphe. Le passage de la monarchie à la république, avait dit Machiavel, n’est que le passage de l’inégalité à l’égalité, de la corruption à la probité : c’est là l’idée qui domine tous les hommes de la révolution. « Nous n’avons d’autres ennemis, dit Saint-Just, que les riches et les vicieux. Il faut faire une ville nouvelle ; il faut faire comprendre que le gouvernement révolutionnaire n’est que le passage du mal au bien, de la corruption à la probité, des mauvaises maximes aux maximes honnêtes ; n’en doutez pas, tout ce qui est autour de nous doit finir, parce que tout ce qui existe autour de nous est injuste. » Quelle est la conclusion de l’homme qui demande l’égalité et la vertu au milieu des débris de la monarchie ? « Je conclus, dit Machiavel, que l’homme qui veut faire une république là où il y a beaucoup de gentilshommes ne pourra réussir, si auparavant il ne tue tous les gentilshommes. » De là l’organisation de la terreur. La forme gréco-romaine de Machiavel se manifeste avec la république. La France s’appelle la patrie, le toi antique reparait, le salut public de l’ancienne république organise son comité. . . . . . .

Napoléon s’empara de la dictature qui avait échappé à Robespierre. Qu’est-ce que Napoléon ? Qu’on interroge Machiavel. C’est la décision, c’est l’audace irrésistible ; c’est le général qui marche sur la patrie au moment où il vient de remporter ses victoires ; c’est le condottiere qui prévient, par la promptitude, le soupçon de la république, qui, d’après Machiavel, aurait dû être ingrate, d’après Sieyès aurait dû le faire fusiller. « Pour rendre le peuple paisible et obéissant au bras royal (je copie Machiavel), il juge nécessaire de lui donner un bon gouvernement… Il se fait aimer et craindre par les populations, suivre et vénérer par les soldats ; il étouffe ceux qui peuvent l’offenser ; il est sévère et reconnaissant, magnanime et libéral[7]. » — Quels sont ses conseillers ? « Des hommes éclairés, dit Machiavel ; il leur donne le franc-parler, mais seulement quand il les interroge ; il les interroge sur tout, mais il délibère toujours de son chef. Une fois la détermination prise, elle est irrévocable[8]. » C’est là le prince nouveau, c’est là Napoléon ; quels sont ses hommes ? « Ce sont des hommes qu’il élève, dit Machiavel, qu’il enrichit, et qu’il oblige en les associant à son élévation ; ils relèvent si exclusivement de lui, que, pour se maintenir, ils doivent toujours songer à lui et à jamais à leur propre intérêt[9]. » Quel sera le rôle de Napoléon ? Il est déterminé par la situation, et Machiavel consacre quatre chapitres à cette situation[10]. Napoléon paraît au milieu d’un peuple habitué à la principauté et devenu tout à coup libre. « Rien n’est plus difficile, dit Machiavel, que de défendre cette république. Ses hommes sont entourés d’ennemis, c’est-à-dire d’hommes corrompus et intéressés à l’ancienne monarchie. Ils n’ont point d’amis, car ils ne récompensent que le mérite, et le mérite récompensé n’est l’obligé de personne ; ils ne donnent que des franchises, et on ne peut être l’obligé de celui qui ne nous offense pas. » Les hommes de la république manquent donc de partisans ; ils n’ont que des ennemis. Veulent-ils poursuivre l’œuvre de la liberté, ils doivent exterminer jusqu’au dernier les gentilshommes, et, dans ce but, il faut qu’ils s’emparent de la république par la force, qu’ils la gouvernent en princes, et des hommes qui débutent par le mal ne voudront pas aboutir au bien ; ils deviendront des tyrans. « Il est difficile, il est impossible, conclut Machiavel, que l’on maintienne la république improvisée, et même pour la maintenir il faut la faire pencher vers la monarchie ; de cette manière on contiendra l’insolence de ses ennemis par une autorité quasi-royale, tandis que si on la corrigeait par d’autres moyens, ce serait là une entreprise très-cruelle et impossible[11]. » Donc les hommes de la république n’ont pas de partisans. Napoléon, par un coup d’État, sera un maitre ; l’intérêt même de la liberté nouvelle lui confère une autorité quasi-royale : la situation est nette, son rôle est tracé, Napoléon avancera en combattant à la fois l’ancienne monarchie et la nouvelle république. Voyons-le à l’œuvre. « Pour combattre l’ancien gouvernement (je copie Machiavel), le meilleur moyen est de tout renouveler, de faire un gouvernement nouveau, avec de nouveaux noms, une autorité nouvelle, des hommes nouveaux, en enrichissant les pauvres, en dépouillant les riches[12]. » Voilà Napoléon qui dicte le Code, organise la liberté, réalise les projets de la convention. Comment pourra-t-il vaincre la république nouvelle ? « Elle n’a que deux classes d’amis (je copie toujours Machiavel) : les uns, en très-petit nombre, l’aiment pour commander ; les autres, et ils forment l’immense majorité, ne l’aiment que pour vivre sûrs. Quant aux premiers, attendu leur nombre fort restreint, il est facile de les contenter par des honneurs ou de les supprimer. » Voilà Sieyès contenté, Fouché absorbé, le tribunat supprimé, Moreau brisé (levato via). « Le plus grand nombre, poursuit Machiavel, n’aime la nouvelle liberté que pour vivre rassuré, et on peut aisément le satisfaire par des institutions et des lois où le prince rassurera en même temps sa puissance et la tranquillité universelle. » Quel sera le modèle de ces institutions ? Machiavel le cite dans la même page, c’est la monarchie française entourée de ses mille lois. Napoléon relève donc l’ancienne monarchie. Ainsi il combat le royalisme par les lois de la révolution ; il combat la révolution par la forme de la monarchie, et cette quasi-royauté, avec de nouveaux noms, de nouveaux hommes et une aristocratie nouvelle, s’appelle l’empire. Qu’arrivera-t-il au premier échec ? Laissons parler Machiavel : « Il a contre lui l’ancien ordre de choses ; les hommes « intéressés au nouvel ordre le défendront avec tiédeur, car ils croient peu aux choses nouvelles, et ils redoutent chez les adversaires l’autorité de l’ancienne loi. Ses ennemis extérieurs l’attaqueront donc par une guerre de partisans (partigianamente) ; il sera défendu sans zèle par ses amis, et ils courront le plus « grand danger avec lui[13]. » Donc, avec le désastre de la Russie, les traités sont déchirés, les parentés royales ne retiennent personne, la coalition est universelle. En même temps la guerre de partisans éclate partout dans les provinces conquises ; c’est une guerre républicaine et monarchique, démocratique et royaliste contre l’homme qui n’est ni républicain ni tyran. . . . . . . La guerre, la sédition, sont avant tout monarchiques ; elles gagnent la France où le bonapartisme est faible, intimidé, à moitié rebelle. Il reste une armée nationale, la seule force qui soit consacrée par l’audace de Napoléon et par la théorie de Machiavel, et une fois cette armée écrasée à Waterloo, Napoléon disparait de la scène politique, comme la gironde, comme Danton, comme Robespierre. Quel est donc le maître absolu, le prince abstrait auquel on sacrifie de si grandes victimes ? c’est la révolution : toutes les fois qu’un instrument est devenu odieux, elle le brise d’après le précepte de Machiavel, pour que les peuples restent stupéfiés et satisfaits (stupidi e soddisfatti).



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  1. Discours sur Tite-Live, l. 1, 2. l. II, préf. et ch. 5.
  2. Discours sur Tite-Live, l. 1, 26. Hist. de Flor. Vers l’an 1452, « Etienne (Porcari) savait que les poètes sont très-souvent agités par un esprit divin et prophétique, et il croyait que la prophétie de Pétrarque devait s’accomplir. »
  3. Prince, ch. XXV, Discours sur Tite-Live, l. II, ch. 29.
  4. Disc. sur Tite-Lire l. I. 26, 27, 30.
  5. Ami du peuple, 18 février 1791.
  6. Disc. sur les Décades de Tite-Live, l. 2, ch. 41.
  7. Prince, ch. 7.
  8. Prince, chapitre 23.
  9. Prince, chap. 17.
  10. Disc. sur les Décades de Tite-Live, l. 1, ch. 16-18, 55.
  11. Disc. sur les Décades de Tite-Live, l. 1, ch. 18.
  12. Disc. sur les Décades de Tite-Live, l. 1, ch. 26.
  13. Prince, ch. 6.