Brun de la Montaigne/Préface

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PRÉFACE



L e manuscrit qui nous a conservé tout ce que nous possédons du roman de Brun de la Montaigne est un livre de 82 feuillets ayant le format d’un in-4o (22 centimètres sur 15 centimètres et demi), écrit sur parchemin dans la seconde moitié du xive siècle. Il appartient à la Bibliothèque nationale, où il porte le no 2170 du fonds français[1]. Sous la même couverture, et par conséquent sous le même numéro, se trouve un manuscrit entièrement distinct, celui d’après lequel a été publiée en 1861 la chanson d’Aien d’Avignon qui fait partie du tome sixième du Recueil des Anciens Poëtes de la France.

Il s’en faut que les 82 feuillets du manuscrit contiennent le poëme entier : nous n’avons aucun moyen d’apprécier avec quelque exactitude l’étendue de la portion qui nous manque, mais il est à croire qu’elle devait être considérable. Voici l’analyse de la partie conservée.

Butor de la Montaigne a épousé, déjà vieux, une jeune femme dont il a eu un fils. Le poëme s’ouvre au moment de la naissance de l’enfant. Le sire de la Montaigne convoque ses principaux vassaux et leur expose que son désir est de faire porter le nouveau-né dans la forêt de Breceliant, auprès d’une source où les fées avaient accoutumé de se réunir pendant la nuit. Aucune remontrance ne peut le détourner de son projet ; et finalement l’un de ses principaux vassaux, appelé Bruiant, se charge, accompagné d’une suite nombreuse, de porter l’enfant dans la forêt et de veiller sur lui à distance, pendant qu’il sera exposé auprès de la fontaine. Bientôt trois fées d’une beauté merveilleuse s’approchent en chantant de la fontaine et se prennent à considérer l’enfant. Deux d’entre elles s’empressent de le combler de leurs dons : l’enfant aura toute beauté et toute courtoisie ; il sera redouté dans les guerres et les tournois, et honoré de tous. Mais la troisième, la plus puissante des trois, piquée de ce que les deux autres l’avaient devancée, se montre moins favorable : l’enfant « sera mendiant d’amie en sa jeunesse » (v. 974) ; celle qu’il aimera ne répondra pas à son amour ; il sera un nouveau Tristan, et elle lui en donne le nom (v. 983). C’est vainement que les deux bonnes fées s’efforcent de la ramener à des sentiments plus bienveillants : elle s’aigrit de plus en plus, et veut que le malheureux enfant voie sa bien-aimée épouser, lui présent, un vilain bossu (v. 1030). Après s’être querellées quelque temps, les trois fées se retirent, l’une d’elles ayant passé au doigt de son petit protégé un anneau d’or fin.

Les chevaliers, qui avaient assisté à toute la scène, sortent du bois où ils étaient cachés, viennent reprendre l’enfant et le rapportent au seigneur de la Montaigne qui se montre fort satisfait du récit de ses hommes et s’inquiète médiocrement des malheurs annoncés par la méchante fée. L’enfant est baptisé en grande pompe sous le nom de Brun, et Butor de la Montaigne fait annoncer une fête avec tournoi pour l’époque des relevailles de sa femme.

Sur ces entrefaites, une dame de bonne mine se présente au château pour servir de nourrice au petit Brun. Aussitôt agréée, elle s’enferme avec l’enfant, lui donne ses soins, l’endort, puis disparaît subitement, pour revenir avant le réveil de son nourrisson. C’était la fée qui lui avait mis l’anneau au doigt.

Au jour dit, le tournoi annoncé a lieu. Butor, quoique avancé en âge, y porte les coups les meilleurs. Mais un bien grand malheur lui arrive. Bruiant, son plus fidèle vassal, désarçonné par lui, se blesse grièvement en tombant de cheval. Il se fait transporter chez lui couché sur une litière, mais il meurt en chemin avant d’avoir pu revoir les siens. À ses derniers moments, il se montre résigné, et comme toujours dévoué à son seigneur ; mais il redoute que Hermant son fils cherche plus tard à venger sa mort (v. 2696-7).

La bonne fée prit soin du jeune Brun pendant quinze ans. Alors elle lui dit (v. 2792 et suiv.) : « Gentil damoiseau, le temps est venu où vous penserez à aimer. Bientôt vous connaîtrez une dame pour qui vous souffrirez beaucoup de peines. Pour moi, je vous quitterai jusqu’au temps où ce premier amour cessera. » Brun la supplie vainement de rester : elle persiste dans son dessein. Brun aimera pendant dix ans une dame qu’il verra épouser un vilain bossu. Au bout de ce temps, la fée sa nourrice reviendra à lui et le réconfortera. Ayant ainsi parlé, elle disparaît (v. 2874).

Le jeune homme fait serment aussitôt de l’aller rejoindre, et il part monté sur son destrier. Il la retrouve, en effet, auprès de la fontaine où, tout enfant, il avait été exposé. Il reçoit d’elle de nouveaux conseils et se met en voie pour chercher aventure.

Les aventures ne lui manquent pas. Un messager qu’il rencontre lui ayant appris qu’une grande fête doit être donnée à un château appelé la Tour-Ferrée, par la fée Morgue, cousine du roi Artus, il s’empresse de s’y rendre. Il n’y parvient pas sans avoir à lutter successivement contre trois chevaliers dont l’un, le « chevalier hideux », était particulièrement redoutable. Il se débarrasse heureusement de ses adversaires et parvient à la Tour-Ferrée, qui est aussi appelée le « Muable manoir ». Bien accueilli par la fée Morgue et par les dames de céans, il ne tarde pas à devenir amoureux. Le roman reste interrompu au milieu de la scène où Butor déclare ses sentiments à celle qu’il aime, et reçoit d’elle une réponse peu favorable. C’est donc le moment où les pronostics de la méchante fée vont se réaliser.

Nous ne pouvons deviner la suite des aventures de Brun de la Montaigne, dont nous n’avons évidemment ici que le commencement. Nous savons que son amour sans espoir devait durer dix ans. Sans doute des événements variés devaient prendre place dans ce laps de temps. Au nombre de ces événements, faut-il placer la guerre de Butor avec le fils de Bruiant, ou cette guerre n’avait-elle lieu qu’après les dix années ? Nous n’en savons rien ; mais ce qui est certain, c’est qu’elle devait tenir une place dans le poëme. Ce n’est pas pour rien qu’après avoir conté la mort de Bruiant, l’auteur nous dit :

2720Quant il fu trespassés il y ot tel tourment
Que puis en furent mort li. l. des cent.
S’emporta on le corps ou païs vistement,
Mais puis en mourut il asés vilainement
Maint homme souffissant, se l’estoire ne ment,
2725Ainsi com vous orrés se chascun bien m’entent.

Ce que nous savons encore, et nous l’aurions conjecturé alors même qu’on ne nous l’aurait pas annoncé, c’est que finalement Brun sortait victorieux de la lutte : voy. v. 2139-42.

Il est douteux qu’on trouve jamais un ms. complet de Brun de la Montaigne. L’auteur de la présente édition a visité bien des bibliothèques depuis le temps où, pour la première fois (c’était en 1858), le ms. 2170 de la Bibliothèque nationale s’est trouvé entre ses mains, et il s’est assuré qu’aucun catalogue ne mentionne un second exemplaire de ce roman.

Notre ancienne littérature fait des pertes plus regrettables, et ce qui nous reste de Brun suffit à nous consoler de ce qui nous manque. Car les notions que ce roman fournit à l’histoire littéraire, et aussi, nous le verrons plus loin, à l’histoire de notre versification, se laissent déduire des 3900 vers conservés, et la fin de l’ouvrage y ajouterait peu de chose.

C’est, en effet, une œuvre assez ordinaire que Brun de la Montaigne. Le romancier inconnu qui l’a composée ne se recommande ni par la puissance de l’imagination, ni par le brillant du style. Ses récits, les discours qu’il met dans la bouche de ses personnages, offrent cette prolixité monotone qui est si fréquente dans les compositions du xive siècle. Les personnages eux-mêmes ont les manières compassées et le ton cérémonieux que les hérauts avaient mis à la mode, et qui s’étaient peu à peu substitués, pour le plus grand dommage de la poésie, aux allures autrement vives des jongleurs des siècles précédents. Il est bien possible que notre auteur fût lui-même héraut d’armes. Le relief qu’il donne au rôle du héraut dans le récit du tournoi, conduirait à cette conclusion.

Il faut du moins lui savoir gré d’avoir pris pour point de départ de son roman une croyance populaire dont il a tiré parti non sans habileté.

Avant lui, sans doute, on avait représenté les fées entourant le berceau d’un enfant et lui accordant leurs dons[2]. C’est le tableau que nous offre le début de la plus récente rédaction d’Ogier le Danois, et notre auteur la connaissait, puisqu’il mentionne (v. 3399) Morgue l’amie Ogier[3]. Les merveilles de la forêt de Breceliant[4] avaient été célébrées dès le xiie siècle par Vuace, qui y croyait peu[5], par Chrétien de Troyes et par Huon de Mery[6] qui s’étaient surtout attachés à décrire les propriétés qu’avait la source de Barenton d’exciter des tempêtes lorsqu’on répandait son eau sur les roches voisines. Mais il ne semble pas qu’aucun autre roman que Brun de la Montaigne nous ait fait connaître l’usage, qui a bien certainement dû exister, de porter les nouveau-nés auprès de la fontaine[7] où les fées « conversaient ». Vuace disait seulement :

La solt l’en les fées veeir
Se li Bretun nus disent veir.

On peut dire que la partie la moins faible du poëme est celle où l’auteur nous représente les fées groupées autour de l’enfant, donnant cours à leurs sentiments, celle-ci bienveillante, celle-là cruelle, échangeant des paroles non exemptes d’aigreur, mais éprouvant toutes pour lui un sentiment d’affection mêlé d’envie :

1050Il sembloit tout adès qu’entre elles .iij. tençoient,
Mais amoureusement l’enfançon regardoient,
Et li en regardant, doucement gracïoient,
Et tous dis en leurs cuers parfaitement pensoient
Comment si petis dons a li doner ossoient ;
1055Mais ens ou regarder l’enfant se delitoient,
Et après les regars a la foys le baissoient.
Ainsi avec l’enfant doucement se jouoient.

Nous n’avons aucun moyen de déterminer avec précision l’époque où fut composé Brun de la Montagne. Les caractères de la langue comme le ton général du récit indiquent le xive siècle, et plutôt la seconde moitié que la première ; mais je ne vois aucun trait qui permette de serrer de plus près la date cherchée. Il est évident, comme je l’ai dit plus haut, que l’auteur connaissait le roman d’Ogier, sous une forme relativement très-récente, celle où la fée Morgue préside à la naissance du jeune enfant [8]. Ce roman, qui est postérieur non-seulement au vieux poëme de Raimbert, mais même aux Enfances Ogier d’Adenet, a été d’abord rédigé en vers de douze syllabes, puis mis en prose. Du texte en vers, nous avons deux mss. [9], et le texte en prose a été bien souvent imprimé depuis la fin du xve siècle [10]. Mais nous ne savons point quand a été rédigé le poëme en alexandrins d’Ogier : nous pouvons seulement le rapporter au xive siècle, et de cette attribution vague ne saurait se déduire aucune date quelque peu précise pour Brun de la Montaigne.

Nous ne sommes pas mieux renseignés sur le lieu où a été composé notre poëme. Quelques traces du langage picard et wallon, qui se rencontrent çà et là, peuvent appartenir au copiste, et ne sauraient conséquemment prouver que Brun de la Montaigne ait été écrit dans le nord de la France. Cependant, il n’y aurait dans cette hypothèse rien que d’assez vraisemblable, si on considère que dans la partie septentrionale des pays de langue d’oui on a continué plus longtemps qu’ailleurs à composer des poëmes en forme de chansons de geste.

Ce qu’il y a, en effet, de plus saillant dans Brun de la Montaigne, au fond véritable roman d’aventure, c’est la forme, qui est celle des chansons de geste en alexandrins, sauf un détail important. On sait que, au moyen âge, les vers de dix et de douze syllabes peuvent admettre à la fin de chaque hémistiche une syllabe atone qui ne compte pas dans la mesure du vers. Cette faculté a été restreinte dans notre versification moderne au second hémistiche seulement (d’où nos vers à rimes féminines). Jusque présent on n’a pu faire remonter l’usage actuel au-delà du poëte Jehan le Maire qui vivait à la fin du XVe siècle et au commencement du XVIe[11]. « Nostre « gentil Clement Marot », dit Pasquier[12], « en la seconde impression de ses œuvres[13], recognoissoit que ce fut lui qui luy enseigna de ne faillir en la coupe féminine au milieu d’un vers » ; et encore tolérait-il la syllabe atone au premier hémistiche dans l’alexandrin[14]. Or, il se trouve que l’auteur de Brun de la Montaigne, antérieur de plus d’un siècle à Jehan le Maire, suit très-exactement l’usage actuel, ne plaçant jamais une syllabe atone à la fin du premier hémistiche sans en procurer l’élision en la faisant suivre d’un mot commençant par une voyelle[15].

Brun de la Montaigne a été pour la première fois, je le crois du moins, cité dans un ouvrage singulier, moitié roman, moitié histoire, publié sans nom d’auteur, en 1829, à Rennes, sous ce titre : Brocéliande, ses chevaliers et quelques légendes. Recherches publiées par l’auteur de plusieurs opuscules bretons[16]. L’auteur anonyme de cet ouvrage devait à M. P. Paris la connaissance du poëme dont il a rapporté quelques vers. Peu d’années après, en 1836, M. Le Roux de Lincy faisait connaître Brun de la Montaigne par une analyse développée et par quelques extraits[17], dans son ouvrage intitulé : Le Livre des légendes. Introduction[18], p.180-5 et 260-84. Une notice du même poëme a été publiée par M. P. Paris dans le t. XXII de l’Histoire littéraire de la France.

Je termine cette préface en corrigeant quelques fautes que j’ai reconnues depuis le tirage[19] : v. 16, l. avés ; 150, l. vo[s] ; 150, 160, 280, 352, etc., l. vous ; 222, l. miens ; 502, vos, sic ms., corr. vo ; 838, desous, sic ms., corr. desus ; 860, suppr. la note ; 918, l. moult ; 3022 l. pensé[e].


  1. Avant 1860, ce manuscrit portait le no 79894 de l’ancien fonds, et plus anciennement le no 646 du fonds Baluze.
  2. Cf. A. Maury, les Fées du moyen âge, p. 30. — M. F. Michel a réuni, dans la note 14 de son édition de Floriant et Florete (Roxburghe Club, 1873), un certain nombre de témoignages sur le rôle des fées dans la littérature du moyen âge.
  3. Voici, d’après le ms. de l’arsenal B. 1 fr. 190, fol. 3, la scène des fées auprès du berceau d’Ogier :

    Et en la propre nuit que l’enffant fu nasquis,
    Et le corps de lui fu par dessus un lit mis,
    Et la mere mouroit, si com je vous devis,
    Y vint Morgue la fée et bien jucques a six
    De fées gracïeuses, et furent ou pourpris
    Ou li enffes gisoit en blans drappelès mis.
    La le print Gloriande qui fu suer Ansenis
    Et le desmaillota et lui baisa le vis,
    En disant : « Mon enffant, ou nom de Jhesu Cris
    « Te veul donner un don : d’estre le plus hardiz
    « Qui regnera ou monde tant que tu soies vifs.
    — Donne, » dist Sagremoire, « cis dons n’est pas petis ;
    « Puis que li hardemens est en lui si bien mis
    « Je veul qu’il ne lui faille ne guerre ne estris
    « Et que toudis en soit en sa vie garnis.
    — Dame, » dist Foramonde, « or est uns grans periz
    « Et je lui donne un don qui moult est agensis :
    « C’est qu’en champ de bataille il ne soit desconfiz.
    — Dont, » dist une autre fée blanche con fleur de lys,
    « Et je veul que des dames soit amés et servis,
    « Et que ja il ne soit de nesune esconduis.
    — Je veul, » dit la.ve. que on nomoit Beatrix,
    « Qu’il soit douz et plaisans, gracieux et faitis
    « Et qu’en champ de bataille il ne puist estre pris,

    « Ne par homme vivant ne puist estre traïs. »
    Et dist Morgue la fée : « Or ay oy vos diz :
    « Et je veul qu’il ne muire par homme qui soit vis
    « Tant qu’il ara esté mes drus et mes amis,
    « Et dedens faerie veüz tous mes deliz ;
    « Et le tien a baron et est li miens maris. »
    Lors lui baisa la dame et la bouche et le vis ;
    Don s’en est li convens sevrés et departis.

  4. Voir, sur l’histoire de cette ancienne forêt et sur les légendes qui s’y rattachent, A. Maury, les Forêts de la Gaule, 331 et ss.
  5. Rou, édit. Pluquet, v. 11515 et suiv.
  6. Le Roux de Lincy, le Livre des légendes, p. 225-34.
  7. Le roman ne dit pas que cette fontaine fût celle de Barenton.
  8. Voy. au Vocabulaire, Morgue et Ogier.
  9. Arsenal, B. 1. fr. 190, et Musée britannique, 15 E vi, fol. 82 à 207. Le ms. de l’Arsenal est de la fin du xive siècle. Deux extraits en ont été donnés par Barrois, dans sa préface d’Ogier de Danemarche, p. lxiij-lvij. Sur le ms. de Londres, qui est du xve siècle, voy. Fr. Michel, Rapports au Ministre, p. 94 (édit. orig.), et Sachs, Beitræge zur Kunde altfranzœsischer… Literatur (1857), p. 38.
  10. Voy. Brunet, Manuel du libraire, Ogier ; et Graesse, Die grossen Sagenkreise des Mittelalters, p. 342.
  11. Voy. sur ce poëte l’abbé Sallier, dans les anciens Mémoires de l’Académie des Inscriptions, XIII, 593.
  12. Recherches de la France, l. VI, ch. v, p. 735 de l’édition de 1611.
  13. Dans la préface de l’Adolescence Clémentine (1532), en réalité la première édition de Marot qui nous soit connue (édition Jannet, 1688, t. IV, p. 189).
  14. Voy. Quicherat, Traité de versification française, 2e édit., p. 327 et suiv.
  15. Je ne vois d’exception qu’au v. 82 :

    Ou les fées repairent, sachiez certainement

    qui, étant unique en son genre, doit être considéré comme fautif.

    J’ai donc eu tort v. 673 de proposer comme restitution [que faites] qui viole la règle ; on pourrait admettre [soit fait].

  16. On lit à la fin : « La présente compilation a été publiée aux frais et par les soins du baron de Taya (Aimé-Marie-Rodolphe), lequel fut juge en Bretagne depuis l’an MDCCCXI jusqu’en MDCCCXXX. »
  17. Les vers 1 à 125, 554 à 620, 627 à 662, 909 à 1122, 1208 à 1357, 1860 à 2021.
  18. Il n’a paru de l’ouvrage que cette introduction qui forme un vol. in-8o de xiv-286 p. — C’est d’après Le Roux de Lincy que Græsse (Die grossen Sagenkreise des Mittelalters, p. 252) mentionne Brun de la Montaigne.
  19. J’en ai signalé quelques autres dans le vocabulaire.