Correspondance de Voltaire/1722/Lettre 56
Correspondance de Voltaire/1722
56. — À M. THIERIOT[1].
Vendredi, juillet 1722.
M. le duc de Sully vient d’arriver à Villars, et m’emmène avec lui dimanche. Je compte vous mander incessamment dans quel temps vous pourrez venir remplir avec moi nos grands projets de solitude. Portez-vous bien, mon cher Esdras ; songez toujours à moi, à la réparation de notre gros livre, et surtout à votre santé. Mes compliments à toute votre famille. Envoyez par le porteur le second tome de Cromwell à madame la maréchale, et à moi Tacite. Adieu.
- ↑ Éditeurs, Bavoux et François.