Correspondance de Voltaire/1739/Lettre 1110
Correspondance de Voltaire/1739
1110. — À M. L’ABBÉ MOUSSINOT[1].
Ce 21 (mars 1739).
Cher abbé, avez-vous eu la bonté d’envoyer cent livres et mille excuses au chevalier, et deux cents livres et deux mille excuses à Prault ?
Votre frère voudrait-il m’envoyer le Mercure de février et les journaux, le livre sur le Langage des bêtes du Père Bougeant, et celui de Darius sur le change ?
Ayez la bonté d’envoyer chez M. l’abbé Nollet, pour le faire souvenir de moi.
Adieu, mon cher ami.
Où demeure M. dArgenson ? Voulez-vous envoyer chez lui aux nouvelles ?
- ↑ Édition Courtat.