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Correspondance de Voltaire/1764/Lettre 5731

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Correspondance : année 1764GarnierŒuvres complètes de Voltaire, tome 43 (p. 291-292).
5731. — À M. COLINI.
4 auguste.

Son Altesse électorale, mon cher ami, a la bonté de m’écrire par M. Harold qu’il fera curé notre petit homme[1]. Je vous adresse ma réponse[2] à M. Harold, dans laquelle il y a une lettre de remerciement pour monseigneur l’électeur. J’y joins une petite brochure touchant maître Aliboron, dit Fréron[3], que j’ai reçue de Paris. J’espère que vous la verrez, et qu’elle vous amusera. Je suis bien vieux et bien malade. Vale.

  1. Hilspach ; voyez page 228.
  2. Elle est perdue.
  3. Je ne crois pas qu’il s’agisse des Anecdotes sur Fréron, dont il avait paru deux éditions en 1761, et qui ne furent réimprimées qu’en 1769 (voyez tome XXIV, page 181). Je pense qu’il s’agit du Supplément du Discours aux Welches, à la suite duquel étaient imprimées deux lettres où il est question de Fréron (voyez tome XXV, pages 254 et 255). (B.)