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Correspondance de Voltaire/1764/Lettre 5795

La bibliothèque libre.
Correspondance : année 1764GarnierŒuvres complètes de Voltaire, tome 43 (p. 353).

5795. — À M. COLINI.
19 octobre.

Mon cher ami, si le zèle peut donner des forces, je viendrai assurément vous embrasser avant de mourir. Je vous adresse cette lettre[1] pour votre adorable maître. Avez-vous encore Fréron chez vous ? Nous ne devons pas paraître, lui et moi, sur le même hémisphère. Addio, mio caro !

  1. Elle manque.