Correspondance de Voltaire/1768/Lettre 7403
7403. — À M. ***[1].
.. novembre.
Mon cher vrai philosophe, si le pseudo-philosophe Jean-Jacques Renou[2] herborise, il ne donnera jamais la préférence qu’aux pissenlits et aux chardons, et il mourra de rage sur un gratte-cul de n’être pas regardé. Cultivons nous autres tout doucement la vigne du Seigneur.