Correspondance de Voltaire/1768/Lettre 7403

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Correspondance : année 1768GarnierŒuvres complètes de Voltaire, tome 46 (p. 176).
7403. — À M. ***[1].
.. novembre.

Mon cher vrai philosophe, si le pseudo-philosophe Jean-Jacques Renou[2] herborise, il ne donnera jamais la préférence qu’aux pissenlits et aux chardons, et il mourra de rage sur un gratte-cul de n’être pas regardé. Cultivons nous autres tout doucement la vigne du Seigneur.

  1. Éditeurs, de Cayrol et François. — C’est encore sans doute à Bordes que ce billet est écrit.
  2. Nom sous lequel se cachait Rousseau, alors à Bourgoin.