Grammaire égyptienne (Champollion, 1836)/02

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Firmin Didot (p. 22-49).

CHAPITRE II.

de l’expression des signes, de leurs différentes espèces et de leur lecture.


§ Ier. différentes espèces de signes.

48. Après avoir donné une idée complète de la forme matérielle des caractères sacrés, et des abréviations qu’ils ont dû successivement subir pour former une écriture d’un usage rapide et facile, il convient d’exposer brièvement quelles sont les distinctions principales à établir parmi ces caractères, si l’on vient à les considérer sous le rapport de leur expression, comme signes des idées.

L’écriture sacrée égyptienne comptait en effet trois classes de caractères bien tranchées :

1o Les caractères mimiques ou figuratifs ;

2o Les caractères tropiques ou symboliques ;

3o Les caractères phonétiques ou signes de son.

Chacune de ces espèces de caractères procède à la notation des idées par des moyens différents.


A. Caractères figuratifs.

49. Ces caractères expriment précisément l’objet dont ils présentent à l’œil l’image plus ou moins fidèle et plus ou moins détaillée. Ainsi : , signifie soleil ; lune ; étoile ; homme ; cheval ; crocodile ; autel ; propylon, porte d’un grand édifice, etc., etc.

Les auteurs grecs ont désigné cette méthode de peinture des idées, la première et la plus ancienne, sous le nom de κυριολογικὴ κατὰ ΜΊΜΗΣΙΝ ou méthode s’exprimant au propre par imitation (Clément d’Alexandrie, Stromates, livre V, page 657, éd. Potter).


B. Caractères tropiques ou symboliques.

50. L’impossibilité d’exprimer surtout les idées abstraites par des caractères figuratifs, fit recourir à l’invention d’un nouvel ordre de signes, au moyen desquels on peignit ces idées par des images d’objets physiques ayant des rapports prochains ou éloignés, vrais ou supposés, avec les objets des idées qu’il s’agissait de rendre graphiquement.

Ces caractères, qu’on a nommés tropiques ou symboliques, se formaient selon quatre principales méthodes diverses, par lesquelles le signe se trouvait plus ou moins éloigné de la forme ou de la nature réelle de l’objet dont il servait à noter l’idée.

On procéda à la création des signes tropiques, 1o par synecdoche, en peignant la partie pour le tout ; mais la plupart des signes formés d’après cette méthode ne sont, au fond, que de pures abréviations de caractères figuratifs ; ainsi, deux bras tenant l’un un bouclier, l’autre un trait ou une pique signifiaient une armée ou le combat[1] ; une tête de bœuf , signifiait un bœuf ; une tête d’oie , une oie ; une tête et les parties antérieures d’une chèvre , une chèvre ; les prunelles de l’œil , les yeux, etc., etc.

2o En procédant par métonymie, on peignait la cause pour l’effet, l’effet pour la cause, ou l’instrument pour l’ouvrage produit. Ainsi on exprima le mois par le croissant de la lune les cornes en bas et tel qu’il se montre vers la fin du mois[2] ; le feu, par une colonne de fumée sortant d’un réchaud [3] l’action de voir, par l’image de deux yeux humains  ; le jour, par le caractère figuratif du soleil qui en est l’auteur et la cause ; la nuit, par le caractère ciel et une étoile combinés  ; les lettres ou l’écriture, par l’image d’un roseau ou pinceau uni à un vase à encre et à une palette de scribe [4].

3o En usant de métaphores, on peignait un objet qui avait quelque similitude réelle ou généralement supposée avec l’objet de l’idée à exprimer. Ainsi on notait la sublimité par un épervier à cause du vol élevé de cet oiseau[5] ; la contemplation ou la vision, par l’œil de l’épervier , parce qu’on attribuait à cet oiseau la faculté de fixer ses regards sur le disque du soleil[6] ; la mère, par le vautour, parce qu’on supposait à cet oiseau une telle tendresse pour ses petits, qu’il les nourrissait, disait-on, de son propre sang [7] ; la priorité, la prééminence ou la supériorité, par les parties antérieures du lion [8] ; le chef du peuple, le roi, par une espèce d’abeille , parce que cet insecte est soumis à un gouvernement régulier[9] ; la piété, la vertu ou la pureté, par un sceptre à tête de coucoupha , car on croyait que cet animal nourrissait avec tendresse ses parents devenus vieux[10] ; un hiérogrammate ou scribe sacré par un chacal , ou par le même animal placé sur un socle [11], parce que ce fonctionnaire sacerdotal devait veiller avec sollicitude sur les choses sacrées, comme un chien fidèle.

4o On procédait enfin par énigmes en employant, pour exprimer une idée, l’image d’un objet physique n’ayant que des rapports très cachés, excessivement éloignés, souvent même de pure convention, avec l’objet même de l’idée à noter. D’après cette méthode, fort vague de sa nature, une plume d’autruche signifiait la justice , parce que, disait-on, toutes les plumes des ailes de cet oiseau sont égales[12] ; l’oiseau ibis, perché, sur une enseigne , rappelait l’idée du dieu Thoth, l’Hermès des Égyptiens, avec lequel ce volatile avait une foule de rapports marqués, suivant la croyance vulgaire[13] ; un rameau de palmier , représentait l’année, parce qu’on supposait que cet arbre poussait douze rameaux par an, un dans chaque mois[14] ; une tige d’une sorte de lis ou de glaïeul , ou un bouquet de la même plante , exprimait l’idée de la région haute ou l’Égypte supérieure [15] ; une tige de papyrus avec sa houpe , ou un bouquet de la même plante , était le symbole de la région d’en bas ou l’Égypte inferieure[16]. Ces deux grandes divisions du pays furent aussi énigmatiquement exprimées, la Haute-Égypte par la coiffure nommée , la couronne blanche , et la Basse-Égypte par la coiffure nommée , la couronne rouge , ornements royaux, symboles consacrés de la domination souveraine sur ces deux principales parties du royaume des Pharaons[17]. L’épervier perché sur une enseigne , et souvent décoré du fouet , exprime l’idée Dieu en général[18] ; le serpent uræus quelquefois paré de différentes coiffures symboliques, devient le signe de l’idée déesse en général, d’une déesse mère et nourrice [19], d’une déesse ou reine de la région supérieure , ou enfin, d’une déesse ou d’une reine de la région inférieure , suivant le sens particulier de l’insigne qui surmonte la tête du reptile. Le phénix, oiseau fantastique et à bras humains élevés en signe d’adoration , fut l’emblème des esprits purs exempts des souillures terrestres et à la dernière période des transmigrations[20] ; une étoile employée dans un sens symbolique, rappelait l’idée d’un Dieu ou d’une essence divine[21] ; une corbeille tressée en joncs de couleurs variées , ou par abréviation, exprimait symboliquement l’idée maître ou seigneur[22], on représentait la même idée par l’image du sphinx, , combinaison d’une tête humaine avec un corps de lion, comme pour désigner la force morale unie à la force physique[23].

51. Les caractères tropiques ou symboliques existent en assez grand nombre dans le système graphique égyptien. Comme les caractères figuratifs, chacun d’eux exprime à lui seul une idée complète ; mais les idées dont ces caractères isolés étaient les signes, pouvaient être rendues par une tout autre méthode que l’imitation directe ou l’assimilation : cette troisième méthode consiste à peindre les sons et les articulations des mots, signes oraux de ces mêmes idées dans la langue parlée.


C. Caractères phonétiques.

52. Les caractères de la troisième classe, la plus importante, puisque les signes qui la composent sont d’un usage bien plus fréquent que ceux des deux premières, dans les textes hiéroglyphiques de tous les âges, ont reçu la qualification de phonétiques, parce qu’ils représentent en réalité, non des idées, mais des sons ou des prononciations.

53. La méthode phonétique procédait par la notation des voix et des articulations exprimés isolément, au moyen de caractères particuliers, et non par la notation des syllabes. La série des signes phonétiques constitue un véritable alphabet et non un syllabaire.

54. Considérés dans leur forme matérielle, les caractères phonétiques furent, comme les caractères figuratifs et les caractères tropiques, des images d’objets physiques, plus ou moins développées.

55. Le principe fondamental de la méthode phonétique consista à représenter une voix ou une articulation par l’imitation d’un objet physique dont le nom, en langue égyptienne parlée, avait pour initiale la voix ou l’articulation qu’il s’agissait de noter. Ainsi :

56. Du principe phonétique ainsi posé, il résulta la faculté de représenter une même voix ou une même articulation par plusieurs caractères différents de forme comme de proportion. Ainsi, par exemple un scribe égyptien, usant de cette latitude inhérente à la méthode phonétique, pouvait, à son choix, représenter indifféremment :

L’articulation (R), par une bouche, , par une fleur de grenade, ou par une larme  ;

L’articulation , par une main, , par une aile, , ou par une huppe,  ;

L’articulation (S), par un œuf, , par un enfant, , par une oie-chœnalopex, , ou enfin par une étoile  ;

L’articulation (le CH français et SCH des Allemands), par un bassin ou réservoir d’eau, , par un jardin, , ou par l’image d’une espèce de chèvre sauvage, appelée .

57. Mais le nombre de ces signes variés pour chaque voix ou articulation, était peu considérable ; et il ne pouvait nullement dépendre du caprice d’un scribe d’en introduire de nouveaux dans les textes. Le nombre de ces caractères, que nous avons nommés homophônes, parce qu’ils servent à noter un même son, avait été fixé d’avance et consacré par l’usage.

58. Le but réel de l’introduction de tous ces caractères homophônes dans le système graphique égyptien, put être d’abord de symboliser en quelque sorte l’objet de l’idée en même temps qu’on peignait le mot qui lui servait de signe dans la langue orale. Cette idée a déjà été avancée dans notre Précis du système hiéroglyphique[24], auquel nous renvoyons le lecteur. Mais il devient évident, d’un autre côté, que beaucoup d’homophônes furent adoptés pour faciliter la disposition et l’arrangement régulier des caractères en colonnes verticales ou en lignes horizontales, selon la forme de l’espace destiné à recevoir un texte écrit, ou une inscription sculptée. S’il s’agissait, par exemple, d’écrire le mot (sèms) dans une colonne verticale, on pouvait, en usant des divers caractères homophônes des articulations (S) et (M), le tracer comme il suit : ou , ou bien , par des signes disposés de manière à occuper toute la largeur de la colonne ; et si l’on écrivait sur une ligne horizontale, on employait de préférence des homophônes dont la forme était propre à occuper toute la hauteur de la ligne , et même , indifféremment.

59. On se plaisait, surtout dans les derniers temps de la domination grecque en Égypte et sous celle des empereurs, à varier extrêmement l’orthographe des mots, par l’emploi recherché des différents caractères homophônes : nous citerons pour exemple toutes les variations du nom égyptien de la ville de Latopolis en Thébaïde, l’Esné des Arabes, la ⲤⲚⲎ des livres coptes : toutes ces variantes existent dans les inscriptions du pronaos du grand temple de cette capitale de nôme :

Ces divers groupes forment tous le nom propre de la ville ⲤⲚ, suivi parfois de la voyelle, ⲤⲚⲎ (nos 5 et 8), ce qui le ramène tout-à-fait au nom copte. Les signes indiquent ici, comme partout ailleurs, que le groupe de caractères dont ils font partie est un nom propre de pays ou un nom propre de ville.

60. Le son des caractères-voyelles de l’alphabet phonétique égyptien n’a pas plus de fixité que celui des signes-voyelles dans les alphabets hébreu, phénicien et arabe : il subit absolument les mêmes variations.

Comme dans les textes hébreux et arabes, la plupart des voyelles médiales des mots sont habituellement omises dans les portions des textes hiéroglyphiques, ou hiératiques, formées de signes phonétiques : ainsi les mots que les Égyptiens, après l’adoption de l’alphabet copte, écrivaient , (TENH) (SON) (AMOUN) (RAT) (SPIR) (DOMITIANOS) (BÉRÉNIKÈ) avec toutes les voyelles soit médiales, soit finales, se présentent dans les textes conçus en écriture sacrée sous les formes réduites ( une aile), ( frère), ( le dieu Ammon), ( côté), ( pied), Domitianus), ( Bérénice). Ces deux derniers mots, noms propres appartenant à la langue latine et à la langue grecque, prouvent que les Égyptiens opéraient ces suppressions de voyelles, même dans les mots étrangers introduits dans leur langue.

61. Les articulations aspirées de la langue égyptienne sont rendues, dans les textes hiéroglyphiques, par les mêmes signes que les articulations simples correspondantes ; c’est-à-dire qu’une même série de signes homophônes exprimait l’articulation (T) et l’articulation (TH) ; une seconde série, l’articulation (P) et l’articulation (PH) ; une troisième série, l’articulation Ϩ (H) et l’articulation Ϧ (KH, le jota espagnol) ; une quatrième série, l’articulation (K) et l’articulation (le CH des Allemands).

Il arriva cependant qu’en transcrivant quelques mots étrangers en caractères hiéroglyphiques, les Égyptiens exprimèrent le Φ des Grecs par les signes hiéroglyphiques (P) et (H) réunis, comme, par exemple, dans le nom propre (Phîlîpos), Philippe[25], plus ordinairement écrit [26], le caractère faisant à la fois fonction du Π et du Φ des Grecs. Dans plusieurs contrats de vente en écriture démotique, les noms propres grecs Φιλότιμος ou Φιλόδημος et Φῖϐις, sont orthographiés et , le et l’aspiration Ϩ exprimés isolément.

Dans l’alphabet hiéroglyphique, les signes de l’articulation (L) servent aussi, indifféremment, à noter l’articulation (R) ; ces deux consonnes liquides s’échangent d’habitude l’une pour l’autre. Ainsi le mot est tantôt écrit ou , et tantôt  ; et le nom propre Ἀλέξανδρος, Alexandre, souvent écrit avec régularité , fut quelquefois orthographié [27], selon le caprice de l’écrivain.

62. Il résulta de cette habitude constante de rendre les articulations aspirées d’un même ordre par des caractères semblables, comme du vague des voyelles, et de l’emploi de l’une pour l’autre des liquides L et R, que toutes les différences de dialectes disparurent dans les textes rédigés en écriture hiéroglyphique ou en écriture hiératique ; car les trois dialectes de la langue égyptienne, tels qu’ils nous sont connus par les livres coptes, se distinguent principalement entre eux par l’emploi ou le rejet de certaines lettres aspirées, par des permutations de voyelles, ou par l’usage de l’articulation L à la place de l’articulation R.

63. Les Égyptiens, devenus chrétiens, abandonnèrent aussitôt leur écriture nationale ; et les hiéroglyphes cessèrent d’être employés. On substitua à l’écriture sacrée l’alphabet grec accru d’un petit nombre de caractères phonétiques égyptiens, représentant les articulations étrangères à la langue grecque. Cet alphabet des Égyptiens Chrétiens est connu sous le nom d’alphabet copte ; il est à la page suivante.

64. C’est naturellement de cet alphabet copte que nous userons désormais, soit pour les transcriptions des mots égyptiens écrits primitivement en hiéroglyphes phonétiques, soit pour faire connaître les mots égyptiens dont les hiéroglyphes mimiques, figuratifs et symboliques étaient les équivalents habituels.

65. Le tableau suivant renferme tous les hiéroglyphes, phonétiques, et les signes hiératiques correspondants, dont la valeur, exprimée en lettres coptes, est incontestablement reconnue.

Les signes hiéroglyphiques ont été disposés de gauche à droite, et les caractères hiératiques de droite à gauche, unique direction que ces derniers soient susceptibles de prendre.

On a donné, tant que cela a paru indispensable, la forme pure de l’hiéroglyphe, suivie de la forme linéaire, lorsque celle-ci s’éloignait un peu trop de la première.

Quelques signes (notés E. S.) n’ont été observés que dans certains textes appartenant au règne des rois des XIXe et XXe dynasties, conçus en une espèce d’écriture secrète.

Ceux notés B. E. se retrouvent dans les inscriptions qui décorent les monuments de la basse époque, qui ont été sculptés sous les derniers des Lagides et sous les empereurs. La plupart de ces signes sont abusivement employés comme phonétiques.


ALPHABET COPTE.
TABLEAU
DES
HIÉROGLYPHES PHONÉTIQUES
AVEC LES
SIGNES HIÉRATIQUES CORRESPONDANTS
ET
LEUR VALEUR EN LETTRES COPTES.

Cette série de caractères de son se retrouve dans tous les textes hiéroglyphiques et hiératiques de toutes les époques. La valeur individuelle, aussi bien que la forme de chaque signe, ne paraissent point avoir éprouvé d’altération ni de modification sensible.

67. Tout texte hiéroglyphique ou hiératique se compose d’un assemblage des trois espèces de signes dont nous venons d’exposer la nature particulière, employés simultanément : c’est-à-dire que, dans toute inscription égyptienne en écriture sacrée, on rencontre constamment les caractères figuratifs et tropiques entremêlés à des groupes de caractères phonétiques, ou combinés avec eux, chaque sorte de caractères concourant à l’expression des pensées selon la méthode qui lui est propre, par l’imitation directe, par la similitude, ou par la notation du son des mots.

La transcription suivante de la dernière ligne de la célèbre inscription de Rosette donnera une idée suffisante de ce mélange habituel des signes des trois ordres.

On a désigné les caractères figuratifs par la couleur rouge ; les caractères tropiques par la couleur bleue, et les phonétiques par une teinte jaune. Il est aisé de voir par cet exemple que, dans un texte hiéroglyphique, les caractères phonétiques sont plus multipliés que les caractères tropiques, et ceux-ci que les signes figuratifs.


§ II. lecture des signes.

68. Puisque la plus grande portion de tout texte hiéroglyphique consiste en signes phonétiques, l’écriture sacrée fut en liaison directe avec la langue parlée, car la plupart des signes de l’écriture représentaient les sons de la langue orale.

69. La même liaison, mais moins directe, exista également entre la langue parlée et les caractères figuratifs ou mimiques, parce que chacun d’eux répondait à un mot de la langue, signe oral de l’objet dont le caractère présentait l’image ; le mot devait donc habituellement servir de prononciation au caractère image : ainsi,

70. Il en fut de même quant aux caractères tropiques ou symboliques : on attacha, pour ainsi dire, à chacun de ces signes un mot de la langue parlée, exprimant par le son précisément la même idée que le caractère rappelait, soit par synecdoche, soit par métonymie, ou au moyen d’une métaphore.

71. Ainsi donc, un texte hiéroglyphique ou hiératique pouvait être lu tout aussi couramment qu’on lit de nos jours une page d’écriture à la Chine, ou, en Europe, des traités d’algèbre, lesquels offrent, comme un texte égyptien, un mélange continu de caractères phonétiques et idéographiques.


  1. Horapollon, livre II, hiéroglyphe 5.
  2. Horapollon, livre I, hiéroglyphe 4.
  3. Idem, livre II, hiéroglyphe 16.
  4. Idem, livre I, hiéroglyphe 51.
  5. Idem, livre I, hiéroglyphe 6.
  6. Idem, livre I, hiéroglyphe 6.
  7. Idem, livre I, hiéroglyphe 11.
  8. Idem, livre I, hiéroglyphe 18.
  9. Idem, livre I, hiér. 62.
  10. Id., I, 55.
  11. Horapollon, livre I, hiéroglyphe 38.
  12. Idem, livre I, 118e hiéroglyphe.
  13. Idem, livre I, hiéroglyphe 36.
  14. Idem, livre I, hiéroglyphe 3.
  15. Inscription de Rosette, texte hiéroglyphique, ligne 5 ; texte grec, ligne 36.
  16. Inscription de Rosette, texte hiéroglyphique, ligne 5 ; texte grec, ligne 36. Ces symboles, fréquemment employés dans la décoration des édifices publics, ne sont point rares dans les inscriptions : . Parole de la part d’Amon-ra : mon fils (né) de mon germe, nous t’accordons de longs jours pour gouverner la région d’en haut et la région d’en bas. (Inscription des piliers du Rhamesséum à Thèbes.)
  17. Inscription de Rosette, texte hiéroglyphique, ligne 10 ; texte grec, ligne 46.
  18. Horapollon, livre I, hiéroglyphe 6, et dans l’exemple suivant : Amenóph, Dieu grand, qui réside dans la région de Pôné, (inscriptions de Dendérah.)
  19. Comme dans ce titre de Domitien à Dendérah : Aimé par la déesse nourrice souveraine de la région de Pôné.
  20. Horapollon, livre I, 35 ; II, 57 ; et le Traité d’Isis et d’Osiris.
  21. Id. II, 1.
  22. Inscription de Rosette, texte hiéroglyphique, lignes 6, 12, etc. ; texte grec, lignes 38, 49, etc.
  23. Principalement dans les textes hiéroglyphiques des temps postérieurs.
  24. Chap. X, § VII, pag. 370 de la 2e édit.
  25. Légendes de Philippe Arridhée, sur le portique d’Aschmouneïn.
  26. Légendes du même, sur le sanctuaire de granit au palais de Karnac.
  27. Légendes d’Alexandre, fils d’Alexandre-le-Grand, à Éléphantine, au sanctuaire de Louqsor, etc.