Grand Homère, l’ardant Soleil
Seconde partie des Muses françoises, Texte établi par Despinelle, chez Matthieu Guillemot, (p. 225).
MVZAIN A HOMERE.
Grand Homere, l’ardant Soleil
Qui allumes la Poëſie,
Bien que ta paupiere obſcurcie
Dorme d’vn eternel ſommeil :
Tu perdis les yeux pour Helene,
Ie perds le ſens pour mes Amours :
A bon droict tu portas la peine
D’auoir tant aigri ton haleine,
Et non moi qui louë touſiours.
A. D. V.