Histoire socialiste/Table analytique/Q

La bibliothèque libre.
Jules Rouff (p. 149-150).



Q


Quanta-Cura. Encyclique, X, 256.

Quarante-cinq. Quarante-cinq membres se séparent de la majorité ministérielle, en 1866, X, 262.

Quarante-cinq centimes (Impôt des). Mouvement qu’il soulève, IX, 370.

Quatre-Bras. Bataille de 1815, VII, 54.

Quatremère de Quincy. Elu représentant de la Commune de Paris, le 1er août 1789, I, 310 ; réprouve le pillage des richesses italiennes, V, 211 ; 537.

Quatre-Nations (Section des) ; IV, 1091 ; 1132.

Quatre-vingts (Manifeste des). Publié par Le Siècle en réponse aux Soixante, X, 226.

Quatre-vingt douze (Section), IV, 1387.

Quélen (de), VII, 14 ; VIII, 38 ; 177.

Quélen (de), archevêque de Paris, son intervention dans la question du milliard, VII, 200.

Quénisset. Son attentat contre le duc d’Aumale, VIII, 424, 450 ;

Quenot, commissaire de section, II, 1278.

Quentin-Bauchart, IX, 60 ; 99 ; 221 ; 266 ; 372 ; la mission de clémence en 1852, X, 31.

Quercy. Le Tiers-État demande le partage des communaux, I, 210.

Queretaro. Mort de Maximilien au Mexique, X, 275.

Quéronet (Ainé). Élu le 5 août 1789, représentant de la Commune de Paris, I, 311.

Questeurs (La proposition des). En 1851, IX, 215.

Quétineau, IV, 1222.

Queue-en-Brie (La). Demande la suppression du droit de glanage, I, 187.

Quevauvillers, XI, 296, 297.

Queyroulet (Ainé), juré à la Haute-Cour de Vendôme, V, 327.

Quiberon. Les royalistes jetés à la mer, V, 111 et sq.

Quillot, entrepreneur parisien en 1791, 1, 612.

Quimper (V.), IV, 956.

Quinet (Edgar). Croit à tort que la Révolution aurait pu proclamer tout de suite la responsabilité royale, I, 254 ; III, 175 ; son erreur sur le rejet de la proposition Cambon, concernant le budget des cultes, 251 ; IV, 961 ; dénonce en 1840 les traités de 1815, VIII, 393 ; 399 ; 400 ; son cours en 1844, 505 ; son cours suspendu, 520 ; 524 ; IX, 22 ; 27 ; 32 ; to3 ; 167 ; 176 ; 192 ; 194 ; 225 ; 379 ; « éloigné » après le Coup d’État, X, 27 ; 79 ; dans l’exil en Suisse, 86 ; refuse de profiter de l’amnistie de 1859, 121 ; 148 ; 152 ; 273 ; il avait vu la nécessité de l’unité allemande, XI, 16 ; son écrit : 1815 et 1840, 18 ; son appel à l’union après la crise de 1840, 22 ; au fond c’est encore une sommation, 22 ; la réflexion le conduit à renverser le problème, à voir qu’il ne sera résolu que si la France devient vraiment une démocratie et l’Allemagne de même, 23 et sq ; 42 ; son livre : France et Allemagne, en 1867, 99 ; pressent le développement nouveau de l’Allemagne unitaire, 100 ; ce qu’il redoute pour elle c’est le mensonge du césarisme, 102 ; il met la France en garde contre la bouderie ou la recherche imprudente de compensation, io3 ; il n’y a de compensation, pour elle, à l’unité allemande, que dans le rétablissement de la liberté, 105 ; sa lettre à un démocrate allemand, 105 ; il propose à l’Allemagne et à la France un but commun : la liberté, et, renonçant à ses ambitions, cherche à épurer le patriotisme allemand comme la patriotisme français, 107 ; son élection à Paris en 1871, 264 ; 290 ; reste à l’Assemblée nationale pendant la Commune, 415 ; XII, 41 ; 160 ; 168 ; 169 ; ses funérailles, 174.

Quinet, docteur de Quiévrain, X, 152.

Quinet, commissaire de la législative, II, 1309.

Quinette. Livré aux Autrichiens par Dumouriez, IV, 1170.

Quinze (Procès des), VIII, 171 et sq.

Quinze-Vingts (Section des). Son rôle au 20 juin 1792, II, 1207 ; IV, 1387 ; son rôle en germinal an III, 87 ; 88 ; au 1er prairial, 96.

Quirot, président des Cinq-Cents, V, 319.

Quotidienne (La). Journal, le scandale de 1824, Vil, 202 ; VIII, 20.