Histoire socialiste/Table analytique/S

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Jules Rouff (p. 162-173).



S


Saarbrück (V.). Bataille, XI, 3.

Sabeurand, curé de Fontenay-le-Comte, refuse le serment, I, 645.

Sables-d’Olonne (V.), I, 655 ; IV, 1143 ; assiégée, 1158.

Sabran-Pontevès (de), XII, 275.

Sabrevas, membre du Comité de Salut Public de Nantes, I, 416.

Sacase, XII, 63.

Saclès, IV, 1266.

Sacre de Napoléon ler, VI, 203.

Sacré-Cœur (église du). La construction déclarée d’utilité publique, XII, 113 ; la pose de la première pierre, 176.

Sacrilège (loi sur le). Le débat de 1824, VII, 207.

Sadillez, député à la Législative, II, 1080.

Saffi (Aurelio), IX, 146.

Sageret, directeur du théâtre Feydeau, V, 225.

Sagnac. S’est mépris sur le décret du 4 novembre 1790, I, 1 ; II, 737 ; 759 ; 784 ; 1088 ; V, 274.

Saige, maire de Bordeaux, 1, 414 ; 430.

Sain, négociant lyonnais, I, 426 ;

Sainneville (de) commissaire général de police à Lyon, VII, 120.

Saint-Aignan (de), diplomate, VI, 583 ; VII, 152.

Sainte-Alliance. Sa fondation, VII, 81.

Sainte-Aline. Poursuivi pour coalition puis acquitté, VIII, 19.

Saint-André (Jean Bon). Élu à la Convention, III, 98 ; IV, 929 ; 986 ; 1118 ; 1274 ; 1276 ; 1440 ; membre du Comité de Salut public, 1681 ; 1690 ; 1691 ; 1706 ; 1707 ; 1785 ; arrêté, V, 100 ; consul à Smyrne, 481.

Saint-Antoine (de), député de Nimes, VII, 132.

Saint-Antoine (faubourg). Sa constitution économique, I, 116 et sq ; son rôle aux 5 et 6 octobre, 339 ; l’émeute du du sucre, II, 1000 ; 1204 ; son rôle au 20 juin 1792, 1207 et sq ; le 10 août, 1287 et sq ; il ne bouge pas le 25 février 1793, IV, 1041 ; 1418 ; son action au 1er prairial, V, 96 ; la propagande babouviste, 307 et sq ; son mouvement au 18 fructidor, 421 ; 573 ; l’agitation en 1820, contre la réforme de la loi électorale, VII, 149 ; la manifestation du 5 juillet 1847, VIII, 548 ; sa prise en juin 1848, IX, 87 ; XI, 306 ; la semaine sanglante, 464 et sq.

Saint-Arnaud (Leroy de). Sa fortune, IX, 216 ; ministre de la guerre, son rôle au Coup d’État, 218 ; 222 ; X, 1 et sq.

Saint-Aulaire (de), VII, 190.

Saint-Aulaire (de), X, 71.

Sainte-Barbe (collège), V, 195 ; foyer de propagande républicaine sous le second Empire, X, 89.

Saint-Bernard (grand). Le passage de 1800, VI, 108.

Sainte-Beuve, V, 218 ; VI, 340 ; VIII, 50 ; 83 ; 116 ; son opinion sur le Saint-Simonisme, 193 ; 463 ; 482.

Sainte-Beuve, économiste ; lutte qu’il soutient pour le libre-échange, IX, 350 ; sa proposition est repoussée, 352.

Saint-Brieuc (V.). Le Tiers-État demande le partage des communaux, I, 210.

Saint-Chamond (V.), I, 426 ; IV, 1682.

Saint-Chaptes (V.), V, 189.

Saint-Claude, V, 258.

Saint-Cloud (V.), I, 684 et sq ; XI, 425.

Saint-Costard, négociant lyonnais, I, 426.

Saint-Denis (V.), I, 431 ; V, 463 ; X, 295.

Saint-Denis-de-Cernelles. Fait entendre des réclamations contre les villes et leurs habitants, I, 222. Saint-Domingue, I, 56o ; 566 ; une Vendée bourgeoise, capitaliste et esclavagiste, 562 ; prétentions des colons, 562 ; soulèvement des mulâtres et des noirs en 1791, II, 794 ; la révolte de 1791, 958 et sq ; hypocrisies et roueries des colons, discussion à la Législative, 968 et sq ; les troubles s’étendent pendant les premiers mois de 1792, et le débat revient à la Législative en mars, 987 et sq ; le décret du 24 mars 1792 rétablit l’égalité entre blancs et mulâtres, 996 ; la discussion sur le mode de nomination des commissaires, 992 ; ces troubles de 1792 atteignent peu le commerce, 995 ; V, 123 ; 126 ; 174 ; le succès de Toussaint-Louverture, 484 ; les Français peu à peu évincés, 486 ; la politique du Premier Consul et l’expédition de Leclerc, VI, 130 ; 176 ; règlement de la question du retour des colons en 1826, VII, 211.

Sainte Rime (Ida de). « La Contemporaine », VIII, 416.

Saint-Étienne (V.), I, 426 ; nomme le premier député ouvrier, III, 113 ; IV, 1682 ; VIII, 226 ; 2625271 ; sa situation industrielle sous la République de 1848, IX, 328 ; la propagande républicaine sous l’Empire, X, 92 ; 295 ; 307 ; la Commune de 1871, XI, 369 ; le congrès socialiste de 1882, la scission, XII, 233 ; la grève de 1900, les bagarres, 281 ; 304.

Saint-Eustache (section de), IV, 1224.

Saint-Gresse (de), président du tribunal de Toulouse en 1871, XI, 36g et sq.

Saint-Germain-l’Auxerrois (église). L’émeute de février 1831, VIII, 36.

Sainte-Geneviève (section de), I, 750 ; II, 1268.

Saint-Germain-en-Laye (V.). Des désordres y éclatent en 1785, I, 277 ; V, 199.

Saint-Gilles (V.), I, 507.

Saint-Gobain (V.). La manufacture, V, 258.

Saint-Hilaire (Aglaé). Saint-Simonienne, VIII, 199.

Saint-Huruge (marquis de). Conduit la manifestation contre le veto absolu, I, 320 ; son action avant le 20 juin 1792, II, 1204.

Saint-Jacques (section de), IV, 1224.

Saint-Jacques-l’Hôpital. Le bataillon du district protège « l’ordre », le 5 octobre 1789, I, 340.

Saint-Jean d’Acre (V.). Le siège, V, 472 et sq.

Saiat-Julien, amiral, reste fidèle à la Révolution, IV, 1674.

Saint-Julien (comte de). Sa négociation en 1800, 111 et sq.

Saint-Just, III, 290 ; 312 ; son caractère ; sa compréhension des problèmes économiques, 35g ; son discours du 29 novembre 1792, 36o et sq ; il y signale la cause essentielle du désordre économique prochain,, la surabondance du signe, 361 ; il avertit le pays de toutes les difficultés imminentes, 365 et sq ; son sophisme sur le procès de Louis XVI, IV, 857 ; sa réponse à Desèze, 889 ; 932 ; ses idées sur l’armée, 986 ; il est attaqué par les pétitionnaires sur la question du maximum, 1020 ; 1048 ; peu préoccupé de la définition de la propriété, 1570 ; 1586 ; son rapport sur les Girondins arrêtés, 1626 et sq ; membre du Comité de Salut public, 1681 ; 1690 ; 1691 ; 1722 ; sa mission à Strasbourg, 1726 ; 1727 ; 1738 ; de retour des armées, il lance le rapport du 8 ventôse an 11, 1746 ; son système social rejoint son terrorisme, 1747 ; ses idées sociales, 1748 et sq ; la révolution dans « l’état civil », c’est-à-dire dans les conditions économiques, 1751 ; comment son observation des réalités économiques commandait sa politique, 1753 ; révolutionnaire par l’économie, 1753 ; son discours du i3 mars 1763 ; 1798 ; il sent ce que le retour au régime normal a de surhumain, 1802 ; son embarras immense, 1803 ; hanté de l’idée de la mort, 1806 ; 1814 ; comment il se sépara à demi de Robespierre le g thermidor ; sa fin, 1816 et sq.

Saint-Laurent. Église de Lyon, I, 422.

Sainte-Lucie (Île), V, 123 ; 174.

Saint-Mandé (V.). Les banquets de 1896 et de 1900, XII, 284.

Saint-Marc (V), I, 567.

Saint-Marc-Girardin, VIII, 520 ; IX, 177 ; X, 255 ; XII, 73.

Saint-Marceau (faubourg). Sa constitution économique, I, II3 et sq ; l’émeute du sucre, II, 1000 ; 1204 ; son rôle au 20 juin 1792, 1207 ; au 10 août, 1287 et sq ; il ne bouge pas le 25 février 1793, IV, 1041 ; V, 2g3 ; la propagande babouviste, 307 et sq ; son mouvement au 18 fructidor, 421 ; les ouvriers y sont communistes en 1843, VIII, 456.

Sainte-Marie-aux-Mines (V.), VIII, 72 ; 226.

Saint-Marsan (M. de), VI, 415.

Saint-Martins’Hall. Salle où fut fondée l’Internationale, X, 239.

Saint-Martîn-Valogne, membre de la Commission des Douze, IV, 1310.

Saint-Maur (V.). I, 589.

Sainte-Menehould (V.), I, 711.

Saint-Merri (cloître). Insurrection du 5 juin 1832, VIII, 180 et sq ;

Saint-Nicaise (attentat de la rue). Contre le Premier Consul, VI, 174 et sq ;

Saint-Omer (V.), II, 1055.

Sainte-Pélagie (prison de), III, 58 et sq ; l’évasion des républicains d’avril 1834 ; VIII, 277.

Saint-Pierre (V.), I, 566 ; II, 982 et sq.

Saint-Pierre-le-Moutier (V.). Demande le partage des communaux au profit des pauvres, I, 211.

Saint-Priest (de), ministre modéré renvoyé avec Necker, I, 259 ; critiqué par la Constituante, 657 ; se retire, 658 ; 694 ; 695.

Saint-Priest (de), VIII, 214 ; 514.

Saint-Priest (Château de). Incendié en juillet 1789, I, 275.

Saint-Privat (V.), XI, 7.

Saint-Quentin (V.), patrie de Babeuf, V, 10 ; sa situation économique en 1805, VI, 289 ; 5t3 ; VIII, 62 ; 66 ; 73 ; 76 ; sa situation industrielle sous la République de 1848, IX, 327.

Saint-Régeant, auteur de l’attentat de la rue Saint-Nicaise, VI, 15t et sq ; exécuté, 155.

Saint-Sauveur-le-Vicomte (V. ). Le Tiers-État demande le maintien des communaux, I, 204.

Saint-Simon. Boissel est son précurseur, IV, 1552 ; 1561 ; sa vie et son œuvre, VII, 257 et sq ; sa conception de la science, 258 ; son idée de l’organisation procède de l’état industriel de son époque, 25g ; en quoi son système demeure socialiste, 25g ; l’idée de la paix européenne, 260 ; VIII, 51 ; IX, 229, 233, 236, 239, 241.

Saint-Simoniens. Leur attitude en 1830, VIII, 2 ; cités par Mauguin à la Chambre, 28 ; leur réponse à la Chambre, 30 ; ils lui exposent leur doctrine, 30 ; leur propagande, 90 ; attaqués à l’occasion des événements de Lyon, 160 ; leur intervention pendant le choléra, 178 ; leur procès du 27 août 1832, 185 ; leur œuvre jusqu’à cette date, 186 et sq ; leurs enseignements, 186 ; les dangers de leur propagande parmi les ouvriers, 190 ; l’organisation des ouvriers, 191 ; leurs ressources, 192 ; comment les littérateurs les jugeaient, 193 ; comment les partis les jugeaient, 195 ; comment se fit la transformation religieuse de la doctrine, 198 ; la scission entre Enfantin et Bazard, 200 ; la dissolution, 200 ; elle est retardée par l’intervention de la justice ; le couvent de Ménilmontant, 202 ; le manifeste sur les journées de juin 1832, 2O3 ; le procès fut une déception, 206 ; jugement d’ensemble sur leur effort, 208 ; leur pensée vit et agit, 209 ; ils agissent comme individus en 1848, sans plan d’ensemble, 230 ; leur ralliement à l’Empire, gouvernement des intérêts matériels, X, 54 ; influence qu’ils exercent, 55.

Saint-Simonisme, IV, 1500 ; 1510 ; le développement de la doctrine et son influence, VII, 263 et sq.

Saint-Vincent (île), V, 123.

Saint-Vincent-du-Fort-du-Lac (V.), 1, 653.

Saintex. Exclu des Jacobins, IV, 1745 ; 1759.

Saisons (les), société secrète de Blanqui, VIII, 298.

Saisset (amiral), XI, 294 ; sa proclamation : « Nous avons obtenu ! » 299 ; 305.

Saladin, V, 88.

Salaires. En 1792, II, 1036 ; mouvement pour le relèvement des salaires lié au mouvement des subsistances au printemps de 1792, 1066 ; III, 282 ; ils subirent alors un grand mouvement de progression, 310 ; la hausse dut être d’au moins un tiers, 313 ; elle se produit par l’effort des prolétaires qui demandent le relèvement des salaires et la taxation des denrées, 316 et sq.

Comment la Convention en détermine en 1793 le taux légal, IV, 1670 ; leur taxation appelée par la taxation des denrées, 1778 ; la décision du Comité de Salut public à ce sujet, 1782 ; elle est défavorable aux ouvriers ruraux, 1783 ; V, 23 ; leur diminution par l’effet des arrêtés de la Convention après le 9 thermidor, 43 ; 303 ; mouvement en 1797, 422 ; comment les avances inscrites sur les livrets asservissent les ouvriers, VI, 242 ; leur mouvement de 1800 à 1807, 264 et sq ; leur taux pour les ouvriers de Paris en 1813, 534 et sq ; leur taux en province sous l’Empire, 552 et sq ; leur taux aux environs de 1830, VIII, 65 ; une proposition en 1848 sur le privilège des salaires, IX, 305 ; leur mouvement sous le Second Empire, X, 175 et sq.

Salamon, II, 1037.

Salicetti, député à la Convention, IV, 1056 ; 1062 ; arrêté, V, 100 ; ses relations avec Bonaparte, 142 ; son rôle près de Bonaparte en 1790, 345.

Sallandrouze, VIII, 507 ; 564.

Salle, député à la Constituante. Demande l’appel au peuple sur les lois controversées entre l’Assemblée et le roi, I, 326 ; 754 ; IV, 894 ; 895 ; 900 ; 953 ; IO32 ; 1138 ; ses dénonciations insensées contre les Montagnards, 1165 ; dénoncé par les sections de Paris, 1199 ; 1408 ; décrété d’arrestation le 2 juin, 1447.

Salle des Menus. Les États-Généraux s’y réunissent, I, 230 ; le Tiers-État y demeure, vu son nombre, 235.

Sallertaine (V.), I, 650.

Salmon, IX, 180.

Salomiac, député à la Convention, III, 111.

Salomon. Au nom du Comité des Rapports de la Constituante, fait un noir tableau des révoltes des campagnes, 3 août 1789, 1, 278.

Salons (de peinture et de sculpture). Leur organisation de 1794 à 1800, V, 222 ; de1808 à 1814, VI, 503 et sq.

Salubrité. La loi du i3 avril 1850, IX, 319.

Salvandy, VIII, 294 ; ministre de l’Instruction publique, 515 ; 520.

Salverte. Son rôle en juillet 1830, VII, 244 et sq ; demande un enseignement civique, VIII, 243 ; 326 ; 330.

Salzbourg (V.). L’entrevue de 1867, X, 278.

Sambre-et-Meuse (dép.). Sa situation industrielle en 1811, VI, 522.

Sambuc, VIII, 28 ; 34.

Samson. Le bourreau, IV, 1771.

Samson, ajusteur, X, 225.

Sand (George), VIII, 334 ; 483 ; ce qu’elle doit à Leroux ; son roman de Spiridion, 484 ; son œuvre littéraire, 522 ; IX, 24 ; 40 ; son article du 15 avril 1848 soulève des tempêtes, 46 ; 55 ; 86 ; 177 ; 231 ; 324 ; 382 ; X, 26 ; 84 ; 181 273 ; 324.

Sanson-Duperron. Arrêté en août 1792, III, 10.

San-Stéfano (V.). Traité entre la Turquie et la Russie, XII, 230.

Sans-Culottes. Cf. Montagnards. Cf. Prolétaires. Comment ils tiennent tête aux modérés en mai 1793, IV, 1228 ; ils envahissent les administrations, 1228.

Sans-Culottes (Section des), IV, 1232 ; 1332 ; 1387.

Santerre. Sa popularité prouve que la bourgeoisie industrielle conduit le faubourg Saint-Antoine, 118 ; commandant du bataillon des Enfants-Trouvés, II, 1204 ; son rôle le 20 juin 1792, 1207 e ! sq ; membre du Directoire secret des fédérés de 1792, 1264 ; IV, 959 ; 1313 ; V, 583.

Sapia. Un des cinq membres du Comité central, chargés d’organiser l’insurrection du 22 janvier 71 ; XI, 269 ; le 22 janvier, 263 ; sa mort, 264.

Sapinaud, vendéen, IV, 1145 ; 1158 ; V, 57.

Sarcey (Francisque), XI, 468, 470, 474.

Sardaigne (Cf. Piémont, Cf. Italie). Ses relations avec la France pendant les guerres révolutionnaires, V, 127 ; signe la paix avec la France, 344 ; traité de 1797 avec la France, 391 et sq ; la rupture avec la France en 1797 ; la campagne de Joubert, 490 ; le roi abandonne le Piémont, 490 ; les inquiétudes de Charles-Albert en 1848, IX, 19 ; son histoire en 1848, 142 et sq ; elle échappe seule à la réaction de 1849, 158 ; sa politique pendant la guerre de Crimée, X, 80.

Sarrette, musicien, V, 204.

Sarrien. XII, 242 ; ministre de l’intérieur, 245.

Sarthe (dép.). Vente des biens nationaux, I, 491 ; 493 ; IV, 1774 ; VI, 26 ; le coup d’État dans la Sarthe, IX, 224.

Sassary, XI, 295.

Satory (camp de). Les prisonniers de la Commune, XI, 480.

Saugé. ami de Berton, condamné à mort, VII, 178.

Sautayra, IX, 118.

Saumur (V.). Pris par les Vendéens, IV, 1633 ; 1683 ; le complot de 1821, VII, 176.

Sauvage, XII, 97.

Sauzet, ministre de la Justice, VIII, 284 ; son mot sur les ouvriers, 359 ; 537.

Savary (J.- M.). Mon examen sur le 18 brumaire, V, 364 ; 412 ; 439 ; 447 ; 552 ; 564 ; 578 et sq ; comment il traite la presse au ministère de la police, VI, 471 ; 472.

Savary, député à la Convention, III, 95 ; un des Soixante-treize, V, 41 ; 42 ; la Guerre des Vendéens, 145 et sq.

Savary, communiste parisien, VIII, 375.

Savary, XII, 172 ; 174 ; 176.

Savary (René), duc de Rovigo, VI, 190 ; VII, 3 ; 64 ; son rôle en Algérie, VIII, 252 et sq ; un bourreau, 254.

Savary des Bruslons. Note dans son dictionnaire du commerce, l’esprit entreprenant du capitalisme à lafin du XVIIIe siècle, I, 45-46 ; L’article Blé de son dictionnaire, I, 135.

Savin, IV, 1147.

Savoie. Conquise en 1792, III, 194 ; elle s’offre, libre, à la France, 196.

Savoie (Amédée de), roi d’Espagne, XII, 120.

Savoye-Rollin, VII, 121.

Savy (Nicolas), commerçant du Ier Empire, VI, 281 et sq.

Saxe. Ses progrès industriels au XVIIIe siècle, III, 451 ; 452 ; VI, 224 ; sa trahison à Leipzig, 436 ; son sort au Congrès de Vienne, VII, 42.

Saxe-Cobourg (Léopold de). Devient roi des Belges, VIII, 135.

Say (J. -B.). Nommé tribun, VI, 51.

Say (Léon). Son libre échangisme et ses boutades, I, 135 ; X, 134 ; détend la cause de Paris capitale, XII, 42 ; 161 ; ministre des Finances, 174 ; 177 ; 182 ; 195 ; 200 ; ministre des Finances, 211 ; crée le 3 0/0 amortissable, 216.

Sayons, VI, 338.

Scépeaux, chef vendéen, envoyé à Paris en négociations, V, 108 ; 298.

Scharnhorst. Son rôle de 1806 à 1S13 ; VI, 416 ; ses réformes militaires, 417.

Schaumbourg (Baillage de), IV, 972.

Scheller (Arnold), VII, 174.

Scheller (Ary), VII, 137 ; VIII, 6.

Schelliug, étudiant à Tubingen, III, 552.

Scheltain, agent provocateur de la Restauration, VII, 111.

Schenkendorf (Max von). Son œuvre en 1813, VI, 420.

Schérer, général, V, 44 ; 5i ; commande l’armée d’Italie, 127 ; 336 et sq ; sa campagne de 1792, 503 et sq ; attaqué aux Anciens, 529.

Schérer, négociant lyonnais, 1, 426.

Scheurer-Kestner, élu en juillet 1871, XII, 22 ; 23 ; ouvre la campagne de revision du procès Dreyfus, 266 ; 278.

Schiefer (John-Frédéric), III, 206.

Schill, colonel prussien, VI, 368.

Schiller. Son discours de 1790 sur l’Histoire universelle, III, 469 et sq ; son rêve d’évolution pacifique n’était possible qu’en face d’un Tiers-État inconscient de sa force, 472 ; ses appels à la liberté contiennent plus de rhétorique que de vertu révolutionnaire, 530 ; sa défiance à l’égard de la Révolution ; 545 et sq ; il prédit Napoléon, 547 ; mais, en sa sérénité clairvoyante et sévère, il ne désespère point pourtant de l’humanité, 547 ; VI, 494.

Schlegel (A. W.). Son œuvre contre Napoléon représente bien les sentiments belliqueux de l’Angleterre, VI, 310 ; son appréciation des conséquences du blocus continental, 332 ; en quoi elle est erronée, 334 ; 344 ; 416.

Schlosser. Demande des réformes, III, 610.

Schmidt. Ses Tableaux de la Révolution française, IV, 1316 ; 1368 ; 1383 ; V, 535.

Schneider. Son rôle à Strasbourg, IV, 1726.

Schneckenburger (Max), auteur de la Wacht am Rhein, VIII, 398.

Schnœbelé (incident), XII, 249.

Schœlcher, VIII, 426 ; sa sympathie pour le fouriérisme, 447 ; 468 ; son rôle dans les journées du Coup d’État, 8 et sq ; ses écrits sue le Coup d’État, 86 ; 87 ; IX, 137 ; 146 ; 222 ; 241 ; 302 : 315 ; X, 51 : il refuse de profiter de l’amnistie de 1859 ; 121 ; XI, 228 ; 290 ; 300 ; 305.

Schonen (de). VII, 172 ; son rôle en juillet 1830, 246 et sq : VIII, 412.

Schœnbrunn (V.). Traité de 1805, VI, 217.

Schubert. Son patriotisme unitaire, III, 551 ; mêlé d’humanitarisme, 552 ; 554.

Schwartzenherg, VI, 410 ; la campagne de France, 584 et sq ; son entrée à Paris, VII. 6 ; 16.

Schwitzguébel, X, 383.

Scié. Fabrique de sucre de betterave dans le Doubs en 1810, VI, 335.

Sciences. La Convention et les sciences, III, 216.

Sciout. Le Directoire, V, 57 ; 183 ; 325 ; 355 ; 364 ; 365 ; 412 ; 424 ; 439 ; 442 ; 443 ; 455 ; 491 ; 497 ; 500 ; 523.

Scissions. Dans les électeurs, V, 438 ; condamnées en 1799 par les Conseils, 527.

Scott (Walter). Son influence sur les romantiques, VIII, 83.

Scrutin (mode de). Départemental, mais non de liste, dans la Constitution de 1791, I, 41I ; le scrutin à haute voix, III, 390 ; établissement du scrutin de liste en 1884, XII, 242.

Sculpteurs (ouvriers), V, 260.

Séance royale du 23 juin 1789, 246 et sq.

Sébastiani. Sa mission dans le Levant en 1803, VI, 177 ; VII, 227 ; 232 ; 240 ; VIII, 114 ; ministre des Affaires étrangères dans le cabinet Périer, 119 ; 124 ; l’ordre règne à Varsovie, 138.

Sébastopol (V.) Le siège de 1854, X, 80, pris, 81.

Sébline. Combat la loi de dix heures, XII, 288.

Séchelles, général, IV, 1692.

Secours mutuels (société de). Leurs origines, sous le Directoire, V, 161 ; elles tiennent lieu de syndicats, VIII, 234 ; 236 ; leur développement en 1848 ; la loi du 15 juillet 1850, IX, 310 ; mesures fréquentes contre elles, 310 ; X, 35 ; l’Empire en fait un organe de gouvernement, 67 ; le décret de mars 1852, 67 et sq ; faveurs et surveillance, 68, cf. Syndicats.

Secours publics. Décrétés par la Convention, IV, 1497 ; leur réduction en 1795, V, 97.

Secrétairerie d’État. Création du premier Empire, VI, 201.

Secretand, tailleur, X, 223.

Sécrétariat international socialiste. Son établissement en 1900, XII, 305.

Sections (de Paris), 1, 434 ; leur rôle en 1793, IV, 1000 et sq ; elles deviennent le centre du combat entre Montagnards et Girondins, 1218 ; leurs groupements pour assurer des majorités révolutionnaires, 1231 et sq ; développement de leurs comités de surveillance, 1235 ; leur rôle en mai 1793, 1235 ; comment elles tournent et bravent l’arrêté de la Convention qui veut réglementer leur action. 1335 et sq ; elles sont reconquises entièrement par les sans-culottes, 1341 ; elles délibèrent à l’Évèché le 29 mai au soir, 1364 et sq ; leur épuration en 1795, V, 97 ; leur transformation après les événements de prairial, 138.

Sécurité et protection des travailleurs. La question en 1848, IX, 299.

Sedan (V.), II, 1034 ; VI, 5i6 ; VIII, 67 ; 70 ; sa situation industrielle sous la République de 1848, IX, 328, 334 ; la capitulation, XI, 10.

Sédillez. Nommé tribun, VI, 51, 60.

Seeley, VI, 313.

Seignobos, VIII, 105 ; 108.

Segris, XI, 210.

Séguier. Sa requête au Parlement en 1776 contre la brochure de Boncerf, II, 1090 ; son écrit La Constitution renversée, en 1792, 1090 ; ses flagorneries à Napoléon en 1807, VI, 441 ; 457.

Seguin, financier de l’époque du Consulat, VI, 3 et sq.

Séguin (Armand), V, 239.

Ségur (de). Proposé comme ministre des Affaires étrangères, II, 834.

Sègue d’Aguesseau, X, 139, 143.

Seine (Monsieur de), conduit le bataillon de Belleville le 5 octobre 1789, I, 340.

Seine (dép.), ancien département de Paris, calcul du nombre des électeurs en 1795, I V, 168 ; organisation de l’enseignement primaire de 1794 à 1800, 188.

Seine-Inférieure (dép.). Ses élus à la Convention, III, m ; IV, 1268 ; VIII, 262.

Seine-et-Marne (dép.). Troubles ruraux en 1791, II, 764 ; mouvement paysan au printemps de 1792, dirigé surtout contre les gros fermiers, 1069 et sq.

Seine-et-Oise (dép.) Vente des biens nationaux, I, 491 ; 492 ; mouvement paysan au printemps de 1792, dirigé surtout contre les gros fermiers, II, 1069 et sq ; sa délégation sur la question des subsistances. 316 ; IV, 1772 ; organisation de l’enseignement secondaire de 1794 à 1800, 198 ; sa situation industrielle en 1811, VI, 522 ; VIII, 244.

Sel (impôts sur le), IX, 376.

Sélim III, sultan de Turquie, V, 128.

Seltz. (V.). Conférences, V, 435 et sq ; 495.

Sembat. Son intervention en 1900 dans la discussion du budget de la guerre, XII, 284 ; 289 ; 299 ; son discours sur l’expédition de Chine, 302.

Séminaires. Leur régime d’après le Concordat, VI, 90 ; le projet Villemain sur les petits séminaires, VIII, 499 ; ses dispositions, 502.

Sémonville (Huguet de). Élu représentant de la Commune de Paris, le 1er août 1789.

Senard, IX, 49, 50, 64, 73, 80, 81, président de la Constituante en juin 1848 ; son projet sur les déportations, 87 ; ministre de l’Intérieur de Cavaignac, 90 ; 91 ; 124 ; 147 ; 150 ; 222 ; sa proposition de limiter la journée de travail à 12 heures, 295 ; 315.

Sénart, XII, 220.

Sénat. Sénat conservateur, ses attributions dans le projet de Constitution de l’An VIII, VI, 30 ; dans la Constitution même, 39 ; comment le premier Consul le compose ; les compétitions, 50 ; impuissance de son opposition, t6o ; 167 ; sa situation dans la Constitution de l’An x, 171 ; sa servilité, 366 ; son rôle en 1814, VII, 18 ; comment il ménage sa situation en 1814, 26 ; droits nouveaux que lui accordent les décrets de novembre 1860, X, 129 ; la réforme de 1870. 384 ; la question de son institution en 1875, XII, 154 et sq ; la position des partis, 155 ; son organisation d’après le projet Wallon, 168 ; vote du projet, 169 ; la loi est adoptée, 177 ; sa formation, 178 ; 186 ; il devient le point d’appui de Mac-Mahon, 198 ; il vote la dissolution de la Chambre en 1877, 203 ; les élections de 1879, 220 ; la réforme de 1884, 242.

Sénatoreries. Leur établissement en 1804, VI, 183 et sq ; elles constituent une aristocratie territoriale, 446 ; chargent qu’elles imposent, 447 ; l’exemple de la sénatorerie de Nancy montre l’étendue de ces fiefs, 448.

Sénéchaut. Ami de Berton, condamné à mort, VII, 178 ; grâcié, 178.

Sénégambie, V, 174.

Senmonville. Son rôle en juillet 1830, VII, 248.

Sentinelle {La), V, 322.

Séparation de l’Église et de l’État, I, 522 ; 530 ; pourquoi la Constituante ne l’a pas réalisée ; son impossibilité en 1789, 533 et sq ; ce que Condorcet en dit, dans son plan d’éducation, II, 1147 ; 111, 232 ; IV, 1712 ; sous la Convention et le Directoire, V, 177 et sq ; demandée par Lamennais, VIII, 88 ; idée de Lamartine en 1848, IX, 28 ; réclamée en 1848 par Lavallée, to5 ; XII, 258.

Septembre (massacres de). Leurs origines, 111, 16 et sq ; récit des massacres, 50 et sq.

15 Septembre 1864 (Convention du). Entre l’Italie et la France sur la question romaine, X, 256.

4 Septembre (Révolution du), XI, 10 ; elle éclata trop tard parce que la force révolutionnaire faisait défaut, 247 et sq.

Septennalité (Loi de). Villèle la fait voter, VII, 202.

Septennat. Son établissement en 1873, XII, 115.

Septeuil (de). Fait des affaires pour le compte de Louis XVI, 284 et sq.

Serbie. Napoléon III songea intervenir, X, 134.

Sergent, III, 70, 72 ; il cherche à se dégager de la responsabilité des massacres de septembre, 88 ; député de Paris à la Convention, 105 ; proscrit en 1800, VI, 155.

Serizier, XI, 491.

Serment. Apparat qu’on donne au serment de fidélité à la Législative, II, 792 ; texte du serment sous le premier Empire, VI, 201.

Serrailler, XI, 430 ; 431 ; 439 ; 463.

Serre (De) Parle autrement que par écrit, VII, 97 ; son opposition à la confiscation des biens des exilés, 103, 116 ; ministre de la Justice en 1818, 129 ; ses luttes pour la loi sur la presse, 134 ; ses écarts de parole, 135 ; sa maladie, 138 ; son rôle dans le second ministère Richelieu, 156 ; 159 ; 164 ; son échec aux élections, sa disparition, 183.

Serre (Joseph), III, 311 ; défend avec àpreté les grands propriétaires fonciers, 354.

Serruriers, VIII, 228 ; 231 ; ce qu’ils fournissent aux commissions mixtes, X, 91.

Sérurier, V, 494 ; son rôle au 18 bru- maire, 580 ; VII, 88.

Servage. Idée de sa transformation, en Allemagne, III, 490 ; tableau du servage en Allemagne à l’époque de la Révolution, 490 et sq ; la conception de Fichte, 630 et sq ; son abolition en Prusse, VI, 417.

Servan. Propose l’établissement du camp de 20.000 hommes le 5 juin 1792, II, 1176 ; il est renvoyé du ministère de la Guerre ; 1184 ; redevient ministre le 10 avril, 1299, son discours à l’Assemblée le 3 septembre 1792, III, 78 ; 159 ; 179.

Servan, complice de Trestaillon, VII, 83.

Servière, IX, 374.

Sevaistre, IX, 70.

Sèvres (V.). Les salaires de la manufacture en 1792, 111, 282 ; sa situation en 1806, VI, 297, 509 ; XI, 425.

Seychelles (Iles), V, 174.

Seypher, IV, 929.

Seytre, procureur de la Commune de Marseille, IV, 1280 et sq.

Sèze (De). IX, 374.

Shaw, X, 268.

Sheffield (V.). Adresse de ses citoyens à la Convention, 111, 207 ; pétition de ses habitants contre les abus, 810.

Sheridau, III, 792 ; 812.

Sibour (abbé), IX, 177.

Sicard (abbé), V, 178.

Sicard (abbé). Rappelé par Bonaparte, VI, 46 ; 72.

Sicard, XI, 430.

Sicotière (De la), V, 231.

Sicre, assassin de Varlin, XI, 475.

Sidney Smith, V, 472, 476.

Sidore, conseiller municipal de Marseille en 1871, XI, 372.

Siècle (Le), journal, pourquoi il put vivre sous le second Empire, X, 47 et sq ; 71 ; 106 ; 119 ; 142 ; 144 ; 212 ; 226 ; 257 ; 265 ; 267 ; 323 ; 330 ; 352 ; XI, 177 ; 418 ; 473 ; 478 ; XII, 89.

XIXe Siècle {Le), journal, XII, 142.

Siéyès (abbé). C’est le tout du Tiers-État que son fameux manifeste oppose à l’ancien régime, 1, 144 ; Élu par le Tiers-État ; quoique prêtre, en 1789, 154 ; propose le 10 juin au Tiers-État de se constituer en Assemblée et de sommer les deux autres ordres de le rejoindre, 242 ; son rôle le 23 juin 1789, 252 ; il tente une diversion sur la question des dîmes, le 11 août 1789, 295 ; sa thèse sur la propriété, 302 ; il combat le veto absolu, 324 ; son idée très libérale sur le droit de suffrage : c’est peut-être lui, cependant, qui a introduit les termes de citoyens actifs et passifs, 381 ; ses contradictions et ses sophismes, 381 ; il aurait voulu de grandes communes, 406 ; la « taupe de la Révolution », IV, 1138 ; 1583 ; sa rentrée en scène, V, 72 ; 114 ; son idée du jury constitutionnel, 129 ; élu directeur, il refuse, 282 ; tentative d’assassinat contre lui, 370 ; ambassadeur à Berlin, 497 ; élu membre du Directoire en mai 1799 ; son retour de Berlin et ses ambitions, 528 ; son jeu au 30 prairial, 531 et sq ; jugé par Dolivier, 546 ; après s’être servi des Jacobins, il se retourne contre eux, 554 ; son idée du coup d’État militaire, 554 ; comment il affirme son républicanisme. 556 ; faux bruit d’attentat contre lui, 558 ; comment l’union avec Bonaparte était devenue pour lui une nécessité ; son rôle en brumaire, 566 et sq ; son rôle le soir du 18 brumaire, 583 et sq ; consul provisoire, 592 ; VI, 18 ; son rôle comme consul provisoire, 22 ; son élaboration de la Constitution de l’an VIII, 28 et sq ; situation que lui donne Bonaparte, 40 ; il reçoit le domaine de Crosne, 62.

Silésie. Son industrie au XVIIIe siècle, III, 452.

Sillery, III, 184.

Silvestre de Sacy. Sa traduction de Makrizi, 217.

Siméon, membre du Tribunat, VI, 167.

Simon, membre du Directoire secret des fédérés de 1792, II. 1264 ; III, 9 ; membre de la Commune, IV, 1321.

Simon, général, ami de Bernadotte, VI, 166.

Simon, commerçant du premier Empire, VI, 281 et sq.

Simon, Saint-Simonien, VIII, 186 ; 206.

Simon (C.- G.), VIII, 230 ; 232.

Simon (Jules). Sa défense de l’enseignement officiel contre Montalembert en 1848, IX, 172 ; 176 ; 183 ; 224 ; X, 87 ; 102 ; 158 ; élu en 1863, 158 ; le droit de grève, 235 ; la rupture avec Ollivier, 235 ; il adhère à l’Internationale, 295 ; 308 ; élu à Paris en 1869, 346 ; XI, 15 ; 251 ; 401 ; XII, 60 ; 68 ; 94 ; 99 ; 154 ; 156 ; 163 ; 176 ; il forme le cabinet en décembre 1876, 199 ; il sut, pendant cinq mois, surmonter les difficultés, 200 ; le voyage d’Italie, 200 ; il est pris entre les républicains et les droites, 201 ; sa chute, 202 et sq ; il combat les projets de loi Ferry, 227 ; « les devoirs envers Dieu », 236.

Simond, IV, 1268 ; arrêté, 1764.

Simonneau, maire d’Étampes, tué dans les troubles agraires, II, 1098.

Simon-Soëns, XII, 254.

Simyan, député. Son interpellation sur le massacre de Chalon, XII, 294 ; 296.

Sinope (V.), bataille, X, 79.

Sirejean, chevalier de la liberté, fusillé, VII, 177.

Sismondi, VIII, 107.

Smith (Adam), I, 58o ; il a compris le sens de l’évolution économique de l’Angleterre, 111, 658 ; largeur de son système comparé à celui des physiocrates, 659 ; son orientation industrielle, 660 ; mais il ne néglige pas la richesse agricole, 662 ; sa théorie libre-échangiste, 663 ; elle procède de tout l’élan économique de l’Angleterre à la fin du XVIIIe siècle, 664 ; ses idées sur les rapports des colonies, et de la métropole, 667 ; son œuvre contient en germe la politique de l’Angleterre capitaliste au XIXe siècle, 672 ; sa description de l’Angleterre économique du XVIIIe siècle (Cf. Angleterre), 672 et sq ; son individualisme économique le conduit au seuil de la loi Chapelier, 694 ; son ingénuité scientifique, 705.

Smolensk (V.), bataille, VI, 393 ; 401.

Schneider. La grève de 1870, X, 377 et sq.

Sobrier, VIII, 260 ; ses bandes en 1848, IX, 30 ; 33 ; 49 ; 54.

Socialisme. Comment le radicalisme extrême se relie à lui dans certains systèmes révolutionnaires, IV, 1511 ; fut-il un accident dans la Révolution ? 1530 ; comment il y entra, 1537 ; parti de démocratie, 1822 ; quand peut-on dire qu’il y a socialisme et en quel sens le socialisme apparaît-il pendant la période thermidorienne ? V, 8 ; comment il fut amené à se produire, 9 et sq ; sa renaissance après 1830, VIII, 171 et sq ; sa transformation après juin 1848 ; il se fait pratique et modéré, IX, 137 ; comment, dans sa forme modérée, il rallie bien des esprits en 1850, 210 ; ses principes directeurs en 1848, 232 et sq ; ses rapports avec le christianisme, 233 ; sa religiosité et son idéalisme en 1848, 234 ; son nationalisme ; il croit être appelé à régénérer le monde, 135.

Ses caractères généraux sous le second Empire, X, vi ; son programme économique, politique et militaire, vi ; sa transformation décrite par Tolain, 214 ; sa situation en 1871, XII, 2 ; 6 ; il réapparaît méthodique et scientifique, après 1875, 170 ; difficultés de la propagande, 171 ; son programme, 171 et sq ; comment on tente de le compromettre avec le bonapartisme, 172 ; sa puissance à la fin du XIXe siècle ; à travers quels conflits de tendances et de méthodes il l’a acquise, 31 1 ; il a grandi parce qu’il a su tour à tour se répandre et se concentrer, 312.

Socialiste (Le), organe des fouriéristes du Brésil, VIII, 448.

Socialistes. Leur attitude vis-à-vis de la campagne des banquets, VIII, 552 ; ce que signifie le mot sous la République de 1848, IX, 24 ; poursuivis après juin 1848, 98 et sq ; les brochures publiées contre eux en 1848, 130 et sq : qui appelle-t-on socialistes, de 1852 à 1859 ? X, 97 ; état des idées socialistes, de 1852 à 1860, 162 ; comment ils se transmettent les idées de 1848. 163 ; comment, sous l’Empire, ils commencent à s’opposer aux républicains modérés, 286 ; la nouvelle génération, 286 ; ils veulent travailler à résoudre la question sociale, 287 ; leurs diverses tendances, 287 et sq ; leur matérialisme, 288 ; leur tactique, de 1868 à 1870 : qui doit diriger le mouvement ? 330 ; les rapports avec les républicains bourgeois, 330 ; leurs rapports avec les républicains bourgeois en 1869 ; comment ils les jugent, 359 ; après la Commune, l’indignation et la pitié font pour eux propagande, XII, 48 ; le réveil en 1872, 62 et sq ; jeunes et vieux en 1872, 67 ; leur progrès dans toute l’Europe en 1872, 78 ; les débats sur la propriété et sur l’État entre collectivistes et anarchistes, 81 et sq ; ils marchent avec les républicains en 1877, 207 ; leur activité, leurs journaux, 208 ; le Congrès de 1878, 218 ; les poursuites en police correctionnelle, 219 ; ils connaissent eux aussi les divisions à partir de 1878, 232 ; leur propagande aux élections de 1881, XII, 238 ; leur progrès en 1883, 241 ; l’anniversaire de la semaine sanglante, 243 ; leur situation aux élections de 1885, 246 ; leurs succès, 247 ; leur attitude en face du boulangisme, 255 ; scissions et progrès, 257 ; leurs succès électoraux en 1892 et 1893, 263 ; leur attitude dans l’affaire Dreyfus, 268 ; le cas Millerand, 272 ; leurs progrès en 1900, 286 ; le vote de leurs députés sur l’affaire du François en 1900, 288 ; leurs luttes en 1900 contre les nationalistes, 291 ; leurs divisions croissent par suite de la politique de Waldeck-Rousseau et du cas Millerand, 296 et sq.

Socialistes chrétiens. En 1848, IX, 251.

Sociétés d’agriculture. Société royale fondée en 1785 ; son but, I, 182 ; ses travaux, 183 ; elle signale la condition précaire des vignerons, 219 ; reconstitution des sociétés après la Révolution, V, 277 et sq ; leur œuvre pour améliorer les procédés de culture, VI, 572.

Société des Amis des noirs, II, 962 ; 967 ; attaquée par les esclavagistes, 968.

Sociétés par actions. Leur développement en Angleterre au XVIIIe siècle, III, 689 ; comment Smith limite leurs applications, 692 ; leur développement de 1794 à 1800, V, 233.

Société de l’Adoration du Sacré-Cœur, VII, 168.

Société des Amis de l’Enfance, VIII, 337.

Société pour l’application du Christianisme aux questions sociales, IX, 231.

Société des bonnes études, VII, 168.

Société des bonnes lettres, VII, 168.

Société des bons livres, VII, 168.

Sciété centrale républicaine. Club de Blanqui en 1848, IX, 23.

Sociétés commerciales. Leur développement et leurs divers types au XVIIIe siècle, I, 46.

Société des condamnés politiques. En 1830, VIII, 28.

Société constitutionnelle, VIII, 27.

Société des Consuls du Peuple. Société secrète sous le second Empire, X, 99.

Société des Droits de l’homme, XII, 152.

Société d’économie charitable. Son rôle charitable, IX, 314.

Société d’encouragement pour l’industrie nationale. Fondée en 1801, VI, 299 ; son œuvre, 512.

Société pour l’étude des documents économiques de la Révolution, XII, 307.

Société fraternelle, IV, 1030.

Société fraternelle centrale. Cabet et Owen, IX, 23.

Société gauloise. 1830, VIII, 28.

Société industrielle de Mulhouse, VIII, 63.

Société mulhousienne des cités ouvrières, X, 67.

Société mère du Crédit mutuel, X, 187.

Société nationale pour l’extinction du paupérisme, X, 296.

Société nationale des sciences et des arts, Cf. Institut.

Société de l’Ordre et du Progrès, 1830, VIII, 28.

Société du Panthéon. Sa constitution, V, 292 ; comment elle se tourne rapidement contre le Directoire, 292 ; fermée par Bonaparte, 295.

Société de la Révolution de 1848, XII, 307.

Société Saint-Claude. Des tanneurs de Marseille. X, 188.

Société de Saint-François-Xavier. Son rôle charitable, VIII, 337 ; IX, 314.

Société de Saint-Joseph, VII, 168.

Société de Saint-Vincent-de-Paul. Sa fondation, sa prospérité, VIII, 336 ; son œuvre charitable est incontestable, 337 ; mais aussi son prosélytisme, 337 ; 50o et sq ; son rôle charitable, IX, 314 ; son opposition à l’Empire à l’occasion de la question romaine, X, 139.

Sociétés secrètes de 1830, VIII, 211.

Société des Travailleurs réunis, coopérative lyonnaise, IX, 333.

Soie. Droits sur la soie, II, 1034 ; développement de l’industrie de la soie, de 1794 à 1800, V, 249 ; développement de l’industrie sous le premier Empire, VI, 516 ; 579 ; Cf. Lyon.

Soie (Ouvriers en), de Lyon, présentant, en 1789, des revendications, I, 421 ; leur conflit avec la haute bourgeoisie domine l’histoire de la Révolution à Lyon, 422 ; les maladies du travail vers 1830, VIII, 71 ; Cf. Lyon.

Soixante (Manifeste des). Son importance, X, 215 ; son texte, 216 et sq ; sa philosophie, 223 ; ses signataires, 224 ; sous quelles influences il fut rédigé, 225 ; l’inquiétude des républicains bourgeois, 226.

Soleil {Le), XII, 209.

Solages (de). Son mémoire à la Constituante sur le caractère de la propriété minière, IV, 1566.

Solages (Marquis de). Sa démission comme député, XII, 263.

Soleil d’Or (Café du), IV, 1139.

Solférino (V.). Bataille, X, 120.

Solidarité républicaine (La). Société républicaine, IX, 140.

Sologne. Les dessèchements, IX, 324.

Solway, IX, 345.

Sombreuil (de). Se rend à Quiberon, V, 113.

Somme (Dép.), V, 12 ; sa situation industrielle en 1811, VI, 522.

Sonthonax. Son rôle à Saint-Domingue, V, 484 et sq.

Sorel (Albert), V, 117 ; 346 ; 380 ; 382 ; 384 ; 391 ; 412 ; 414 ; 5t2 ; 534 ; 556 ; 592 ; VI, 78 ; 100 ; 111 ; 121 ; 122 ; 128 ; 132 ; 146 ; 162 ; 174 ; 188 ; 195 ; 490.

Sorin (Elie), IV, 1150.

Sottin de la Coindière, membre du Comité de salut public de Nantes, 1, 416.

Souabe. Sa vie politique au moment de la Révolution, III, 550 et sq.

Souherbielle. Dénonce à Robespierre la conspiration hébertiste, IV, 1754.

Souhrany, député à la Convention, IV, 1276 ; son rôle au 1er prairial, V, 96, 435.

Souchon de Machecoul, vendéen, 1146.

Souhait, député à la Convention, combat le partage des communaux, IV, 1577 ; dans quel esprit, 1578 ; il s’oppose à la Constitution de 1795, V, 135.

Souham (général), VII, 23.

Soulhié, membre des Cinq-Cents, V, 575.

Soult (maréchal). Son rôle en Espagne, VI, 355 et sq ; la lutte contre Wellington dans le midi, 586 et sq ; il se dévoue tout entier aux Bourbons, VII, 40 ; 52 ; proscrit en 1815, 78 ; ministre de la Guerre dans le cabinet Périer, VIII, 119 ; sa venue à Lyon, 159 ; le 5 juin 1832, 182 ; ministre de la Guerre dans le cabinet du 11 octobre 1832, 217 ; président du Conseil en 1834, 272 ; 342 ; il devient président du Conseil après l’émeute du 12 mai, 349 ; 393 ; il prend la présidence du Conseil le 29 octobre 1840, 401 ; il a le ministère de la Guerre, 403 ; 444.

Soumissionnaires (Prêtres), V, 178 ; ils sont royalistes comme les purs réfractaires, 178.

Soupes populaires. Au temps du Directoire, V, 161.

Sous-préfets. La question de leur suppression, XII, 249.

Souvestre (Emile). Sa mort, X, 87.

Souvorov, général russe, V, 115 ; sa campagne de 1799, 503 et sq.

Spectateur (Le), journal, X, 111.

Spéculateurs. Tableau de leur activité sous le Directoire, V, 441 et sq ; leurs spéculations sur les biens nationaux, 444 ; comment ils avaient intérêt à soutenir Bonaparte, préparant son coup d’État, 571.

Spiekeren (V.). Bataille, IX, 3 ; 243.

Spiekev, VIII, 399.

Spina. Envoyé du pape à Bonaparte, VI, 78 et sq.

Spire (V.), III, 196.

Spontini, musicien, VI, 510.

Spolier, XII, 198 ; 239.

Stacy (John), III, 202.

Stadion (de), diplomate autrichien, reçoit de Vitrolles, VII, 11.

Staël (Mme de). Ses relations avec Narbonne, 874 et sq ; ses œuvres de 1794 à 1800, V, 218 ; son opinion sur le 18 fructidor, 424 ; VI, 166 ; 474 ; sa vie, son caractère, 489 et sq ; son mariage, 490 ; ses retraites à Coppet, 491 ; son conflit avec Bonaparte, 491 et sq ; ses voyages, 494 ; Corinne, 494 ; de l’Allemagne, 495 ; ses relations avec M. de Rocca, 495 ; appréciation sur son œuvre, 496 et sq ; VIII, 78.

Staendling, continuateur de Schubert, III, 571.

Standard (The), journal, XI, 480.

Stanhope (comte). S’élève contre l’intervention dans les affaires intérieures de la France, V, 122.

Statistique de la France, de 1838, V, 227.

Steding (Baron de). Ambassadeur de Suède, II, 806 ; IV, 1083 ; 1193.

Stéfane-Pol, V, 22.

Stein. Son rôle de 1806 à 18i3, VI, 416 ; ses réformes, 417.

Steinmetz, général, XI, 1.

Stellardi. Ami de Cavour, X, i3y. Stendhal, VIII, 85 ; son œuvre littéraire sous la monarchie de juillet, 522.

Stengel, général, IV, 1095 ; 1098.

Steuhle. Conspire avec Huber. VIII, 332.

Steyer (V.). Armistice de 1800, VI, 113.

Stoffel, colonel, XII, 97.

Stofflet, chef vendéen, 1146 ; 1150 ; V, 56 et sq ; 135 ; 297 ; pris et fusillé, 298.

Stops. Veut assassiner Napoléon ; fusillé, VI, 383.

Stourm, V, 262 ; 299 ; 302 ; 456 ; 459 ; 562 ; VI, 294.

Strasbourg (V.), IV, 1726 ; VIII, 203 ; 262 ; IX, 139 ; 152 ; pris en 1870, XI, 12.

Stratfort Redcliffe, Ambassadeur d’Angleterre en Turquie, X, 78 et sq.

Strauss. Soutient la loi de dix heures, XII, 588.

Stupuy. Son rôle dans les tentatives de conciliation en 1871, XI, 410 et sq.

Stuttgart (V.), III, 552.

Suard, V, 310.

Subsistances (question des) (Cf. Maximum). Elle n’a pas, en 1789, le caractère d’une question sociale, I, 141 ; elle reparait en janvier 1792, II, 997 ; comment la question de fixation du prix s’étend du blé à toutes les denrées en 1792, 1072 ; III, 278 et sq ; désordre de l’administration en 1792, 298 et sq ; 579 ; malaise et inquiétudes à Paris en 1793, IV, 1024 et sq ; la question à Paris en avril-mai 1793, 1240 et sq ; c’est à ce propos que se pose le problème social, 1497 ; comment la crise va s’aggravant en août-septembre 1793, 1646 et sq ; les systèmes, 1646 et sq ; les lois, 1659 et sq ; comment les hébertistes jouent de la crise économique en mars 1794, 1759 ; V, 23 ; la question après le 9 thermidor, 32 ; les mesures de la Convention n’atténuent pas la cherté, 84 ; comment les partis politiques s’emparent de la question, 86 ; la question en 1795, 76 et sq ; la misère à Paris en floréal, 90 ; elle est la cause des émeutes, 90 ; c’est toujours la même question qui inquiète les faubourgs, 292 ; 303 et sq ; VI, 3 et sq ; difficultés de l’approvisionnement sous le Consulat et l’Empire, 244 et sq ; le prix du pain en l’an XI, 246 ; les agitations signalées par la police, 247 et sq ; politique du gouvernement pour empêcher la disette, surtout dans la capitale, 249 et sq ; l’arrêté du 19 vendémiaire an X, 251 ; la crise de l’an X, 252 et sq ; la disette de 1847 amène des émeutes, VIII, 538 ; comment l’affiche rouge en réglait la répartition en 1871, XI, 255 ; la question sous la Commune de 1871, 399.

Substitution (droit de). Supprimé par la Convention, IV, 1642.

Successions (lois sur les). Établies par la Convention, avec effet rétroactif, IV, 1643.

Suchet, général, V, 494.

Sucre. Répercussion des affaires coloniales sur son prix à Paris, en janvier 1792, II, 996 et sq ; l’émeute du sucre, 1000 et sq ; développement de sa fabrication sous l’influence du blocus continental ; comment Napoléon l’encourage, VI, 335 ; les encouragements de Napoléon au sucre de betterave, 574 et sq ; sucre de betterave et sucre de canne en 1837, VIII, 299 ; les effets de la loi de 1837, 300 ; la loi est votée en 1840, 384 ; sa fabrication sous le second Empire, X, 168.

Sudermann (de). Sa correspondance avec Fersen, IV, 1192.

Sue (Eugène). Le Juif Errant, VIII, 516 ; son œuvre littéraire sous la monarchie de Juillet, 525 ; le Républicain des campagnes et le Berger de Kravan, IX, 137 ; élu en 1850, 195 ; 200 ; 222 ; 230 ; X, 102.

Suède. Cf. Gustave III ; sa neutralité pendant les guerres révolutionnaires, V, 128 ; ses relations avec la France, de 1796 à 1798, 373 ; son traité de 1812, avec la Russie, VI, 388.

Suétens, femme de la Commune, XI, 484.

Suez (V.). L’idée du canal, V, 470 ; XII, 200.

Suffrage des femmes. La pétition de Jeanne Deroin en 1848, IX, 40.

Suffrage universel. Insoupçonné par la Constituante, 1, 379 ; comment la Révolution devait y venir, par la seule vertu du mouvement prolétaire et national, 398 ; comment, en 1791, le mouvement en sa faveur devient plus net, 597 ; il se trouve préparé dès alors par les interventions de Robespierre et le travail des municipalités, 598 ; mouvement en sa faveur à partir de juin 1791, à Paris, 750 ; fondé le 10 août 1792, 11, 1298 ; la question en Angleterre, III, 810 et sq ; remarque sur l’emploi du mot, V, 135. Ce qu’il devient dans la Constitution de l’an VIII, VI, 36 ; raillé par Thiers en 1840, VIII, 385 ; le mot de Guizot, 544 ; son organisation en 1848, IX, 39 ; les discussions de 1850 ; la loi du 31 mai. 195 et sq ; ce qu’il devient sous le second Empire, X, 44 ; sa consécration dans la loi municipale, XII, 144 ; son établissement définitif, 308.

Suidre. Conspire contre Napoléon en 1808, VI, 473.

Suisse. A quelles défiances la Révolution s’y heurte, III, 648 et sq ; démocratie suisse incertaine et mêlée, 656 ; sa neutralité pendant les guerres révolutionnaires, V, 127 ; ses relations avec la France de 1796 à 1798, 403 et sq ; Bonaparte se rend maître de la République helvétique, de 1802 à 1804, VI, 175 ; sa situation en 1809, 382 ; le mouvement de 1830, VIII, 108 ; l’affaire de la jeune Europe, 291 et sq ; le Sonderbund, l’acte des catholiques, 535 et sq ; 55g ; la révolution de 1848, IX, 17.

Suisses. Leur rôle en juillet 1830, VII, 244 et sq.

Susbielle, général. Son rôle le 18 mars, XI, 278.

Suspects. Cf. Terreur, IV, 1681.

Suvée, directeur de l’École de Rome, V, 204.

Swetchine (Mme), IX, 70.

Sybel, 1, 602 ; 11, 832 ; IV, 1447 ; V, 115 ; XI, 33, 39 ; ’55 : son appréciation sur la candidature Hohenzollern, i63 ; 175 ; 204.

Syllabus, X, 256 ; manœuvre politique de Pie IX, 256.

Syndicalisme. Sa première rencontre avec le socialisme, VIII, 367 ; Cf. l’Atelier.

Syndicats. Proscrits sous le premier Empire, VI, 550 ; le régime des associations sous Louis-Philippe, VIII, 226 ; première tentative, 233 et sq ; le Devoir mutuel de Lyon, 265 ; les tentatives de 1840, 375 ; le mouvement syndical prend son premier essor en 1848, IX, 283 ; sa première tendance à englober toutes les industries, 284 ; son action en 1848, les contrats collectifs, 286 et sq ; comment, de 1852 à 1860, les sociétés de secours mutuels en tiennent lieu aux ouvriers, X, 188 et sq ; ce que les ouvriers de 1862 entendent par Chambre syndicale et société corporative, 204 ; ils demandent le droit d’en former librement, 206 ; comment la question se pose après la loi sur les coalitions, 307 ; la commission de 1867, 308 et sq ; le régime de tolérance établi en 1868 ; leur développement en 1869, 348 et sq ; l’idée de groupements de plusieurs professions ; les tentatives de 1869, 352 ; toutes les tendances y collaborent, 352 ; l’idée de l’organisation nationale en 1870, 382 ; ils se reforment, XII, 86 ; leur renaissance purement professionnelle et mutualiste à partir de 1872, 190 ; l’exposition de Vienne, 191 ; le Congrès de 1876, 192 ; le projet de loi les concernant ; le gouvernement le prend à son compte, 236 ; tendances à se constituer hors des partis politiques, 256.

Syrie. L’expédition de 1858, X, I32.

Système métrique. Son établissement, V, 207 et sq.