La Cité antique, 1870/Table analytique

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Hachette (p. 483-492).


TABLE ANALYTIQUE.


Adoption. L’adoption a eu pour principe le devoir de perpétuer le culte domestique, pages 55, 56 ; — n’était permise qu’à ceux qui n’avaient pas d’enfants, 56, 57 ; ses effets religieux et civils, 87.

Affranchis. Droit que les patrons conservaient sur eux, 319 ; leur analogie avec les anciens clients, ibid.

Agnation. Quelle sorte de parenté c’était, chez les Romains et chez les Grecs, 60, 125.

Agni, divinité des vieux âges dans toute la race indo-européenne, 25, 26.

Aînesse (Droit d’), établi à l’origine des sociétés anciennes, 91-93 ; disparaît peu à peu, 304 et suiv.

Ambarvales, 72.

Amphictyonies, assemblées religieuses plus que politiques, 250, 251.

Ancêtres (Culte des), 15-20.

Annales. Usage général des annales chez les anciens ; elles étaient rédigées par les prêtres et faisaient partie de la religion, 200-202.

Archives des villes, 203.

Archontes des γενη, 119, 150, 286. Archontes des villes, 214 ; le titre d’archonte était d’abord synonyme de celui de roi, 206 ; fonctions religieuses des archontes, 214 ; leur pouvoir judiciaire, 223 ; comment ils étaient élus, 216, 217 ; leur autorité est peu à peu réduite, 386, 397 ; ce qu’ils deviennent sous l’empire romain, 457.

Aristocratie. Aristocratie héréditaire des patriciens, des Eupatrides, des βασιλεις, des Géomores, etc., 270-275, 299-301. La distinction des classes est d’abord fondée sur la religion, 281 ; l’aristocratie de naissance s’appuie sur le sacerdoce héréditaire, 296, 297. Cette aristocratie disparaît plus tard, 334 ; il se forme une aristocratie de richesse, 389 et suiv. Aristocratie Spartiate, 284-286, 417-418.

Armée. Actes religieux qui s’accomplissaient dans les armées grecques et romaines, 194-198. L’armée était organisée primitivement, comme la cité, en gentes et en curies, en γενη et en phratries, 148. Changements opérés par Servius Tullius dans la constitution de l’armée, 321, 345 ; sens du mot classis, 344 ; en Grèce, comme à Rome, la cavalerie était un corps aristocratique, 329, 330. La nature de l’armée change avec la constitution de la cité, 330. L’armée romaine forme une assemblée politique, 346. Pendant le règne de la ploutocratie, en Grèce comme à Rome, les rangs dans l’armée furent fixés d’après la richesse, 389, 390.

Asile. Ce que c’était, 156, 278.

Assemblées du peuple. Elles commençaient par une prière et un acte sacré, 192, 399-401. Assemblées par curies, 274, 291. Assemblées par centuries, comment on y votait, 295 ; l’assemblée centuriate n’était pas autre chose que l’armée, 344-846. Assemblées par tribus, 357. Assemblées athéniennes, 399-404. Assemblées Spartiates, 419.

Athènes. Formation de la cité athénienne, 149 — 151, 286 — 288 ; œuvre de Thésée, 286, 287 ; royauté primitive, 207, 210 ; aristocratie des Eupatrides, 270, 287 ; abolition de la royauté politique, 289 ; domination de l’aristocratie, 289, 297-298, 313-314 ; archontat viager et archontat annuel, 289, 290 ; l’archonte-roi, 290. Caractère athénien, 257 et suiv., 401 ; superstitions athéniennes, 258. Tentative de Cylon, 335 ; œuvre législative de Dracon, 378 ; œuvre de Solon, 316-318, 336, 379-382 ; Pisistrate, 337 ; œuvre de Clisthènes, 338-339. Domination de l’aristocratie de richesse, 337 ; progrès des classes inférieures, 392 et suiv. Les magistratures athéniennes, 397, 398 ; l’assemblée du peuple, 399-404 ; les orateurs, 400-402 ; l’armée athénienne, 391 ; caractère de la démocratie athénienne, 412, note.

Auspices. Mode d’élection des magistrats par les auspices, 217-218, 385-388.

Calendrier chez les anciens, 188.

Célibat, interdit par la religion, 51, 108 ; interdit par les lois, 51.

Cens, recensement, lustration, cérémonie religieuse dans les cités anciennes, 189. Transformation du cens, 344.

Censeurs. Origine et nature de leur pouvoir, 191 ; leurs fonctions religieuses, 216.

Chevaliers romains, 345, 389.

Christianisme, son action sur les idées politiques et sur le gouvernement des sociétés, 472 et suiv.

Cité. La cité se forme par l’association des tribus, des curies, des gentes, 146 et suiv. Exemple de la cité athénienne, 149-152. Religion propre à chaque cité, 182 et suiv. Ce que l’on entendait par l’autonomie de la cité, 240-244. Pourquoi les anciens n’ont pas pu fonder de société plus large que la cité, 241-243. Puissance absolue de la cité sur le citoyen, 263 et suiv. Affaiblissement du régime de la cité, 445 et suiv. La conquête romaine détruit le régime municipal, 454 et suiv.

Citoyen. Ce qui distinguait le citoyen du non-citoyen, 230-231, 462 et suiv.

Clients. Ce que c’était à l’origine, 131-133 ; — étaient distincts des plébéiens, 275-276, 322 ; leur condition, 271 et suiv., 309 ; ils figuraient dans les comices par curies, 274 ; leur analogie avec les serfs du moyen âge, 308 ; leur affranchissement progressif, 306, 310 et suiv. ; ils deviennent peu à peu propriétaires du sol, 308, 312 ; comment ils le sont devenus à Athènes, 314-318 ; comment ils le sont devenus à Rome, 318, 321 ; disparition de la clientèle primitive, 313, 322-323 ; le patriciat essaye en vain de la rétablir, 348-350. Clientèle des âges postérieurs, 319.

Cognatio, parenté par les femmes, en Grèce et en Rome, 62 ; elle pénètre peu à peu dans le droit, 380.

Conditions économiques des sociétés anciennes, 407, 408.

Confarreatio, cérémonie religieuse usitée dans le mariage romain et dans le mariage grec, 45, 47.

Confédérations, 250-251.

Conquête de la Grèce par les Romains, 446, 453 et suiv.

Consulat. Fonctions religieuses des consuls, 215. Quelle idée l’on se faisait primitivement du consul, 215, 385 ; quelle idée on s’en fit plus tard, 387. Avec quelles formalités religieuses les consuls étaient élus, 217-218 ; changements dans le mode d’élection, 388. Consuls plébéiens, 364-368.

Couronne, son usage dans les cérémonies religieuses, 184 ; dans le mariage, 44, 46 ; dans quel cas les magistrats portaient la couronne, 214, 216.

Croyances. Croyances primitives des anciens, 7 et suiv. ; leurs rapports avec le droit privé, 223-224 ; leurs rapports avec la morale primitive, 106-112. Intolérance des anciens au sujet des croyances, 265, 266. Changements dans les croyances, 138-146, 426 et suiv.

Culte des morts, chez tous les peuples anciens, 15-16, 173-174 ; relation de ce culte avec le culte du foyer, 27-30. — Culte des héros indigètes, 172-173, 187. Culte du fondateur, 187.

Curies et phratries, 134, 136, 252.

Démagogues. Sens de ce mot, 402.

Démocratie. Comment elle s’établit, 392 et suiv. ; règles du gouvernement démocratique, 397 et suiv.

Démons, âmes des morts, 19.

Detestatio sacrorum, 58.

Dettes. Pourquoi le corps de l’homme et non sa terre répondait de sa dette, 77.

Devins à Athènes, 259-262.

Dieux. Dieux domestiques, 31-86. Divinités poliades, 172-175. Les dieux de l’Olympe ont été d’abord des dieux domestiques et des divinités poliades, 142-143. Idée que les anciens se faisaient des dieux, 176, 177, 178, 181, 198, 245, 248, 249. Alliance des divinités poliades, 240 ; évocation des dieux, 245 ; prières et formules qui les contraignaient à agir, 257 ; peur des dieux, 257. Nouvelles idées sur la divinité, 428 et suiv. Le christianisme, 472-479.

Diffarreatio, 48.

Divorce, 48 ; était obligatoire dans le cas de stérilité de la femme, 53.

Δοκιμασια, examen que subissaient les magistrats et les sénateurs, 220, 380.

Droit. Le droit ancien est né dans la famille, 94 ; il a été en rapport avec les croyances et avec le culte, 95, 230. — Droit de propriété, 62 et suiv. Droit de succession, 78 et suiv. Idée que les anciens se faisaient du droit, 228. Droit civil, jus civile, 229. Changements dans le droit privé, 370 et suiv. Droit des Douze Tables, 372-377. Lois de Solon, 379-382. Droit prétorien, 460-461.

Droit de cité. En quoi il consistait, 230-231 ; comment il était conféré, 232, 233. Importance du droit de cité, 465, 468, 469. Le droit de cité romaine est peu à peu étendu aux Latins, 468 ; aux Italiens, 466 ; aux provinciaux, 470.

Droit des gens, 245-246.

Εγγυησις, acte du mariage grec correspondant à la traditio in manum, 44, 45.

Éducation. L’État la dirigeait en Grèce, 264, 265.

Élection. Mode d’élection des rois, 208, 292 ; — des consuls, 217, 218 ; — des archontes, 216, 217.

Émancipation du fils ; ses effets en droit civil, 87.

Empire de Rome, imperium romanum, 455 ; condition des peuples qui y étaient sujets, 456, 458.

Ênée (Légende d’), 170, 437-438. Sens de l’Énéide, 167-170.

Éphores à Sparte, 285.

Επιγαμια, jus connubii, 240.

Επικληρος, 83.

Επιστιον, 41.

Ερκειος Ζευς, divinité domestique, 66.

Ερκος, hercium, enceinte sacrée du domicile, 66.

Esclaves, comment ils étaient introduits dans la famille et initiés à son culte, 131.

Εστια, Vesta, foyer, 20.

Étranger. L’étranger ne pouvait être ni propriétaire ni héritier, 229, 234 ; n’était pas protégé par le droit civil, 230-233 ; était jugé par le préteur pérégrin ou par l’archonte polémarque, 233, 234. Sentiment de haine pour l’étranger, 246.

Eupatrides, analogues aux patriciens, 271 ; luttent contre les rois, 288 ; gouvernent la cité, 289-297 ; sont attaqués par les classes inférieures, 313-318, 335 et suiv.

Ezil, interdiction du culte national et du culte domestique, analogue à l’excommunication, 237, 238.

Familia. Sens de ce mot, 121-122.

Famille. Sa religion, 7-38 ; son indépendance religieuse, 86 ; ce qui en faisait le lien, 40 ; avait l’obligation de se perpétuer, 49. — Noms de famille chez les Romains et les Grecs, 126-127. — Changements dans la constitution de la famille, 301 et suiv. — Division de la gens en familles, 305 et suiv.

Féciaux dans les villes italiennes, κηρυκες ; et spendophores dans les villes grecques, 194, 248.

Femme. Son rôle dans la religion domestique, 37, 41, 95-96, 110. Son rôle dans la famille, 96. Le régime dotal fut longtemps inconnu, 102. La femme toujours en tutelle, 96. Elle ne pouvait paraître en justice, 108 ; n’était pas justiciable de la cité, 104 ; était jugée, d’abord par son mari, plus tard par un tribunal domestique, 104. Son titre de materfamilias, 110. La femme obtient peu à peu des droits à l’héritage, 380, et la possession de sa dot, 382. Parenté par les femmes, 62, 380, 481.

Fille. La fille, d’après les anciennes croyances, était réputée inférieure au fils, 37. Elle n’héritait pas de son père, 80, 81. La fille επικληρος, 83.

Fondation des villes, cérémonie religieuse, 156-165.

Fondateur (Culte du), 187 et suiv.

Foyer. Le foyer était un autel, un objet divin, 20 et suiv. ; rites prescrits pour l’entretien du feu sacré, 20-23 ; le foyer ne pouvait pas être changé de place, 64, 65 ; prières qu’on lui adressait, 21, 22 ; antiquité de ce culte, 25 ; sa relation avec le culte des morts, 27-30. Influence que ce culte a exercée sur la morale, 107-108. — Foyer public ou prytanée, 171. Foyer transporté dans les armées, 194, et sur les flottes, 261. — Le culte du foyer perd son crédit, 428 et suiv.

Γενος grec analogue à la gens romaine, 113 et suiv. ; le γενος à Athènes, 115-116 ; γενος des Brytides, 115. Culte intérieur du γενος, 116 ; son tombeau commun, 117 ; son chef, 119. Le γενος perd son importance politique, 339-340.

Gens. Sens de ce mot, 121. La gens était la vraie famille, ibid. Culte intérieur de la gens, 116 ; son tombeau commun, 117 ; solidarité de ses membres, 118, 126. Le chef de la gens, 118-119, 271-272. Comment la gens s’est démembrée, 123-124, 301 et suiv. Les gentes plébéiennes, 114. Transformations successives et disparition du régime de la gens, 304 et suiv.

Gentiles. Lien de culte entre eux, ll5-ll7 ; lien de droit, 117-118 ; le gentilis était plus proche que le cognat, 118. — Dii gentiles, 117.

Gentilité, 125.

Héliastes à Athènes, 405.

Heres suus et necessarius. Sens de ces mots en droit romain, 79.

Héros, âmes des morts, 19 ; étaient les mêmes que les Lares et les Génies, ibid. ; héros éponymes, 137 ; héros nationaux, 172, 187.

Hospitalité, 145.

Hostis. Sens de ce mot, 231. Pourquoi les idées d’étranger et d’ennemi se sont confondues à l’origine, 230-235.

Hyménée, chant sacré, 44-46.

Hypothèque, inconnue dans le droit primitif, 77.

Jours néfastes chez les Romains et chez les Grecs, 192, 259.

Lectisternium, 252.

Légendes. Leur importance en histoire, 203-204 ; légende d’Énée, 170 et suiv. ; légende de l’enlèvement des Sabines, 441.

Législateurs. Les anciens législateurs, 224-225.

Liberté. Comment les anciens la comprenaient, absence de toute garantie pour la liberté individuelle, 262-267, 396.

Livres liturgiques des anciens, 177, 200. Livres sibyllins à Athènes et à Rome, 259.

Loi. La loi faisait partie de la religion, 221 ët suiv. ; respect des anciens pour la loi, 225 ; la loi était réputée sainte, ibid. ; elle venait des dieux, 224. Les lois primitives n’étaient pas écrites, 226 ; elles étaient rédigées sous forme de vers et chantées, 227. Importance du texte de la loi, 227-228. La plèbe réclame la rédaction d’un Code de lois, 361 ; lois des Douze Tables, 363. Changement dans la nature et le principe de la loi, 371 et suiv. Comment on faisait les lois à Athènes, 402, 403.

Lustratio, cérémonie religieuse, 189.

Lycurgue. Œuvre de Lycurgue à Sparte, 284-285, 416.

Magistrats. Ce qu’étaient les magistrats dans la première époque de l’existence des cités, 213 et suiv. ; ce qu’ils furent dans la seconde, 386-388, 398-399.

Mancipatio, 76, 228.

Mânes, étaient les âmes des morts, 16 ; correspondent aux θεοι χθσνιοι des Grecs, ibid.

Manus, sens de ce mot dans le droit romain, 97. Relation entre la puissance maritale et le culte domestique, ibid.

Mariage. Le mariage sacré, 42-44 ; ses effets religieux, 47, 52 ; était interdit entre habitants de deux villes, 240. Légende de l’enlèvement des Sabines, 441-442. Interdit, puis autorisé entre patriciens et plébéiens, 364. Mariage par mutuus consensus, 375 ; usus, coemptio, 375-376. Effets de la puissance maritale, 97 ; manière d’échapper à la puissance maritale, 876-377.

Morale primitive, 106-112, 188, 246.

Mundus. Sens spécial de ce mot, 159.

Natal (Jour) des villes, 164, 186.

Νοθοι. Ce que les anciens comprenaient dans la catégorie des νοθοι, 108-109, 277.

Noms de famille en Grèce et à Rome, 126, 127.

Odyssée. La société qui y est dépeinte est une société aristocratique, 299.

Orateurs. Leur rôle dans la démocratie athénienne, 400-403.

Οροι, θεοι οριοι, dieux termes, 73.

Ostracisme dans toutes les villes grecques, 266.

Parasites. Sens ancien de ce mot, 183.

Parenté. Comment les anciens la comprenaient, 58 ; se marquait par le culte, 59. Il n’y avait pas de parenté par les femmes, 60, 61.

Πατριαζειν, parentare, 32.

Patriciens. Origine de la classe des patriciens, 270-274 ; leur privilège sacerdotal, 272-273 ; leurs privilèges politiques, 273-274, 298, 365. Leur lutte contre les rois, 291 et suiv. ; leur résistance aux efforts de la plèbe, 341 et suiv.

Patrie. Sens de ce mot, 235. Ce qu’était primitivement l’amour de la patrie, 236-237 ; ce que ce sentiment devint plus tard, 445 et suiv.

Patrons, 271, 272.

Patruus et avunculus. Différence radicale entre la parenté que ces deux mots exprimaient, 86.

Père. Sens originel du mot pater, 99. Autorité religieuse du père, 36, 95, 100. Sa puissance dérivait de la religion domestique, 40. Son autorité sur ses enfants, 98. Ce qu’il faut entendre par le droit qu’il avait de vendre son fils, 103 ; de tuer son fils ou sa femme, 105. Son droit de justice, ibid. Il était responsable de tous les délits commis par les siens, 103-104. La puissance paternelle d’après la loi des Douze Tables, 373 ; d’après la loi de Solon, 381.

Phratries, analogues aux curies, 134. Culte spécial de la phratrie, 137. Comment le jeune homme était admis dans la phratrie, 137. Les phratries perdent leur importance politique, 340.

Philosophie. Son influence sur les transformations de la politique, 429 et suiv. Pythagore, 430 ; Anaxagore, ibid. ; les Sophistes, ibid. ; Socrate, 431-432 ; Platon, 432-483 ; Aristote, 433 ; politique des Épicuriens et des Stoïciens, 434-435. Idée de la cité universelle, 435.

Pietas. Sens complexe de ce mot, 111,

Pindare, poète de l’aristocratie, 300.

Plébéiens. Cette classe d’hommes existait dans toutes les cités, 277, 333. Ils étaient distincts des clients, 275-276, 322. A l’origine, ils n’étaient pas compris dans le populus, 276. Comment la plèbe s’était formée, 277. Les plébéiens n’avaient à l’origine ni religion, ni droits civils, ni droits politiques, 278 et suiv. Leur lutte contre la classe supérieure, 324 et suiv. Ils soutiennent les rois, 325. Ils créent des tyrans, 826, 327. Efforts et progrès de la plèbe romaine, 341 et suiv. ; sa sécession au mont Sacré, 351-352 ; le tribunat de la plèbe, 353. La plèbe entre dans la cité, 331 et suiv.

Plébiscites, 357.

Pontifes. Surveillaient les cultes domestiques, 36. Pontifes patriciens, 280 ; pontifes plébéiens, 369.

Préteurs. Leurs fonctions religieuses, 216.

Procédure antique, 228.

Propriété. Droit de propriété chez les anciens, 62 et suiv. ; relation entre le droit de propriété et la religion, 64. La propriété était inaliénable, 75 ; — indivisible, 76. Ce que devint le droit de propriété aux époques postérieures, 409.

Provincia. Sens de ce mot, 458. Comment Rome administrait les provinces, 458-459, Les provinciaux n’avaient aucun droit, 460-462.

Prytanée, analogue au temple de Vesta, 151, 171.

Prytanes. Les prytanes étaient à la fois des prêtres et des magistrats, 206, 213.

Repas. Le repas était un acte religieux, 23. Repas funèbres offerts aux morts, 13-14, 33, 49. Les repas publics étaient des cérémonies religieuses, 182 ; repas publics à Sparte, 183 ; à Athènes, 182 ; en Italie, 185 ; à Rome, 185-186.

Religion. La religion domestique, 31-32, 65. Comment les anciens comprenaient la religion, 197-198. Religion de la cité, 170 et suiv. La religion romaine n’a pas été établie par calcul, 196, 254. Influence de la religion dans l’élection des magistrats, 208, 216-218.

Respublica, το κοινον, 384.

Révolutions. Caractères essentiels et causes générales des révolutions dans les cités anciennes, 268-269. Première révolution qui enlève à la royauté sa puissance politique, 281 et suiv. Révolution dans la constitution de la famille, 301 et suiv. Révolution dans la cité par les progrès de la plèbe, 331 et suiv. Révolutions de Rome, 291-296, 305-306, 318-323, 341-370. Révolutions d’Athènes, 286 et suiv., 313 et suiv., 335 et suiv. Révolutions de Sparte, 284-285, 415 et suiv. Disparition de l’ancien régime, et nouveau système de gouvernement, 382. L’aristocratie de richesse, 388-392. La démocratie, 392 et suiv. Luttes entre les riches et les pauvres, 406 et suiv.

Rituels, dans toutes les cités anciennes, 198-201.

Rome. Formation de la cité romaine, 156. Cérémonie de la fondation, 157-160. Nature de l’asile ouvert par Romulus, 156. Le caractère romain, 251-256 ; superstitions romaines, 251-253. Le patriciat, 269 et suiv. La plèbe, 275 et suiv. Le sénat, 192, 274. L’assemblée par curies, 192, 274. La royauté, 207-208, 291-294. Lutte des rois contre l’aristocratie, 294. Révolution qui supprime la royauté, 294-296. Domination du patriciat, 298, 347. Efforts et progrès de la plèbe, 350 et suiv. Le tribunat, 351. Les assemblées par tribus et les plébiscites, 357. La plèbe acquiert l’égalité civile, politique, religieuse, 363-368. Pourtant, les procédés de gouvernement et les mœurs restent aristocratiques, 450-451. Formation d’une nouvelle noblesse, 452. Conquêtes des Romains, 437 et suiv. Relations d’origine et de culte entre Rome et les cités de l’Italie et de la Grèce, 437-440. Premiers agrandissements, 442 et suiv. Sa suprématie religieuse sur les cités latines, 443, 444. Rome se fait partout la protectrice de l’aristocratie, 449, 453. Imperium romanum, 455. Comment elle traite ses sujets, 459-462. Elle accorde le droit de cité romaine, 462 et suiv.

Royauté. Ce qu’était la royauté primitive, 205 et suiv. Les rois prêtres, 207. Avec quelles formes liturgiques ils étaient élus, 208. Leurs attributions judiciaires et militaires, 209 et suiv. La royauté héréditaire comme le sacerdoce, 220. Βασιλεις λεροι, 211. Sanctitas regum, 213. Révolution qui supprime partout la royauté, 281 et suiv. Magistrats annuels appelés rois, 213-214, 284, 290. Rex sacrorum, 296. Le mot roi appliqué, durant l’âge aristocratique, aux chefs des gentes, 299.

Sacerdoces. Dans les anciennes cités, les sacerdoces furent longtemps héréditaires, 144. Sacerdoces réservés au patriciat, 280. La plèbe acquiert les sacerdoces, 367-369.

Sacrosanctus. Sens de ce mot, 353-354.

Seconde vie. On a cru d’abord qu’elle se passait dans le tombeau, 8.

Sénat. Le sénat se réunissait dans un lieu sacré, 193. Il était composé des chefs des gentes, 274. Introduction des sénateurs conscripti, 305. Le sénat d’Athènes, 399.

Sépulture, ses rites et les croyances qui s’y rattachaient, 8-9, 11. Pourquoi la privation de sépulture était redoutée des anciens, 12.

Servius Tullius. Ses réformes, 342-347, 389.

Shradda, chez les Hindous, analogue au repas funèbre des Grecs et des Romains, 17.

Sœur (la) subordonnée au frère, pour le culte, 54 ; pour l’héritage, 80.

Solon. Son œuvre, 316-318, 379-384.

Sparte. Ce qu’étaient les repas publics, 183, 185. La royauté à Sparte, 284-286. Le caractère spartiate, 257, 395, 402. L’aristocratie gouverne à Sparte, 417, 418. Série des révolutions de Sparte, 415 et suiv. Les rois démagogues et les tyrans populaires, 420 et suiv.

Stratèges à Athènes, 386, 398 ; ce qu’ils deviennent sous la domination de Rome, 457.

Succession. La règle pour le droit de succession était la même que pour la transmission du culte domestique, 78-79, 86. Pourquoi le fils seul héritait, non la fille, 80. Succession collatérale, 84-85. L’héritier collatéral devait épouser la fille du défunt, 83. Droit d’aînesse, privilège de l’aîné, 91-92. Le droit de succession d’après les Douze Tables, 373 ; d’après la législation de Solon, 379-380.

Sujétion. La sujétion entraînait la destruction des cultes nationaux, 247.

Termes, limites inviolables des propriétés, 72. Légende du dieu Terme, 73. Avec quelles cérémonies le terme était posé, 72, 73.

Testament. Le testament était contraire aux vieilles prescriptions religieuses et fut longtemps inconnu, 88-89. Il ne fut permis par Solon qu’à ceux qui n’avaient pas d’enfants, 88, 880. Formalités difficiles dont il était entouré dans l’ancien droit romain, 90, 91. Il est autorisé par les Douze Tables, 373-374.

Thétes (les) à Athènes, 309.

Tirage au sort pour l’élection des magistrats, 216, 217.

Tombeaux. Les tombeaux de famille, 34, 38, note. L’étranger n’avait pas le droit d’en approcher, 32 ; ni d’y être enterré, 66. Le tombeau était placé, à l’origine, dans le champ de chaque famille, 69-70. Le tombeau était inaliénable, 69.

Traditions. Quelle valeur on peut accorder aux traditions et aux légendes des anciens, 202-204.

Traités. Les traités de paix étaient des actes religieux, 247, 248.

Tribunat de la plèbe, 353. Nature particulière de cette sorte de magistrature, 353-358.

Tribunat militaire, 387.

Tribune. La tribune était un lieu sacré, 193.

Tribus. Les tribus de naissance, 137, 138. Ces tribus sont supprimées par Clisthènes et par d’autres dans toutes les cités grecques, 338-341. Les tribus de domicile à Athènes, 340 ; à Rome, 343.

Triomphe, cérémonie religieuse chez les Romains et chez les Grecs, 195-196, 257.

Tyrans. En quoi ils différaient des rois, 213, 325-326. Ils étaient les chefs du parti démocratique, 326-327. Politique habituelle des tyrans, 413-414.

Vesta n’était autre que le feu du foyer, 27 ; se confondait avec les Lares, 29. Légende de Vesta, 29. Le temple de Vesta était analogue au prytanée des Grecs, 171. Croyances qui s’y rattachaient, 171-172.

Ville. La ville était distincte de la cité, 155-156. Ce que c’était que la ville dans les idées des anciens, 274. Comment on choisissait l’emplacement de la ville, 161. Rites de la fondation des villes, 156-165. Les villes étaient réputées saintes, 164.