La Cité de Dieu (Augustin)/Livre XIII
Chapitre premier. De la chute du premier homme et de la mort qui en a été la suite.
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— II. De la mort de l’âme et de celle du corps.
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— III. Si la mort qui a suivi le péché des premiers hommes et s’est étendue à toute leur race est pour les justes eux-mêmes une peine du péché.
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— IV. Pourquoi ceux qui sont absous du péché par le baptême sont encore sujets à la mort, qui est la peine du péché.
268
— V. Comme les méchants usent mal de la loi qui est bonne, ainsi les bons usent bien de la mort qui est mauvaise.
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— VI. Du mal de la mort qui rompt la société de l’âme et du corps.
269
— VII. De la mort que souffrent pour Jésus-Christ ceux qui n’ont point reçu le baptême.
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— VIII. Les saints, en subissant la première mort pour la vérité, se sont affranchis de la seconde.
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— IX. Quel est l’instant précis de la mort ou de l’extinction du sentiment de la vie, et s’il le faut fixer au moment où l’on meurt, ou à celui où on est mort.
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— X. La vie des mortels est plutôt une mort qu’une vie.
271
— XI. Si l’on peut dire qu’un homme est en même temps mort et vivant.
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— XII. De quelle mort Dieu entendait parler, quand il menaça de la mort les premiers hommes, s’ils contrevenaient à son commandement.
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— XIII. Quel fut le premier châtiment de la désobéissance de nos premiers parents.
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— XIV. L’homme créé innocent ne s’est perdu que par le mauvais usage de son libre arbitre.
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— XV. En devenant pécheur, Adam a plutôt abandonné Dieu que Dieu ne l’a abandonné, et cet abandon de Dieu a été la première mort de l’âme.
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— XVI. Contre les Platoniciens, qui ne veulent pas que la séparation du corps et de l’âme soit une peine du péché.
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— XVII. Contre ceux qui ne veulent pas que des corps terrestres puissent devenir incorruptibles et éternels.
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— XVIII. Des corps terrestres que les philosophes prétendent ne pouvoir convenir aux êtres célestes par cette raison que tout ce qui est terrestre est appelé vers la terre par la force naturelle de la pesanteur.
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— XIX. Contre le système de ceux qui prétendent que les premiers hommes seraient morts quand même ils n’auraient point péché.
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— XX. Les corps des bienheureux ressuscités seront plus parfaits que n’étaient ceux des premiers hommes dans le paradis terrestre.
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— XXI. On peut donner un sens spirituel à ce que l’Écriture dit du paradis, pourvu que l’on conserve la vérité du récit historique.
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— XXII. Les corps des saints seront spirituels après la résurrection, mais d’une telle façon pourtant que la chair ne sera pas convertie en esprit.
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— XXIII. Ce qu’il faut entendre par le corps animal et par le corps spirituel, et ce que c’est que mourir en Adam et être vivifié en Jésus-Christ.
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— XXIV. Comment il faut entendre ce souffle de Dieu dont parle l’Écriture et qui donne à l’homme une âme vivante, et cet autre souffle que Jésus-Christ exhale en disant : Recevez l’Esprit-Saint.
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