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La Grande aventure de Le Moyne d'Iberville/17

La bibliothèque libre.
Texte établi par Albert Lévesque, Éditions Albert Lévesque (p. Bibliographie).


BIBLIOGRAPHIE


Nous ne pouvons énumérer ici tous les ouvrages ou documents consultés. Qu’il nous suffise d’indiquer les principales sources de notre documentation :

Pour les années d’enfance de Le Moyne d’Iberville et ses premières campagnes, Le chevalier Pierre Le Moyne, sieur d’Iberville, par le père Louis Lejeune, o. m. i., en cours de publication dans la Revue de l’Université d’Ottawa.

Pour les premières campagnes à la baie d’Hudson également, Journal de l’expédition du chevalier de Troyes à la baie d’Hudson en 1686, publié par l’abbé Ivanhoé Caron, avec diverses autres relations, (Beauceville, 1918).

Pour l’expédition dans l’Acadie et à Terre-Neuve, Journal de Beaudoin, publié par l’abbé A. Gosselin, (Évreux, 1900).

Pour la dernière expédition à la baie d’Hudson et l’attaque contre Corlaer, Histoire de l’Amérique septentrionale, par Bacqueville de la Potherie, (Paris, 1723).

Pour tous les voyages à la Louisiane, Découvertes et établissements des Français, Mémoires et documents originaux, 4e et 5e vol.  par Pierre Margry, (Paris, 1887).

Pour la dernière campagne d’Iberville et l’attaque contre Nyèves, Histoire de la Marine française, 6e vol., pp. 496 et sq., par Ch. de la Roncière, (Paris, 1932) ; Bulletin des Recherches historiques vol. XXIX, p. 290, et les documents suivants : « Conditions auxquelles le Roy accorde à M. d’Iberville les vaisseaux… pour l’exécution du projet proposé par le sieur d’Iberville », (Archives nationales d’Ottawa, B4, 29) ; « Journal de ce qui s’est passé depuis le départ de l’escadre des vaisseaux du Roy, commandée par M. le comte de Chavagnac… », (Arch. nat., B4, 31) ; « Relation depuis mon départ de la Martinique jusques à la prise et capitulation de l’isle de Niève », d’Iberville, Nevis, 8 avril 1706, (Arch. nat., B4, 31) et « Journal tenu par M. le chevalier de Maupeou… », (Arch. nat., même cote).

L’auteur tient à remercier M. Gustave Lanctôt, directeur de la section française des Archives, qui lui a facilité ses recherches. Il remercie aussi le père Lejeune des renseignements inédits et fort précieux qu’il lui a communiqués.