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Le Littré de la Grand’Côte/3e éd., 1903/Rablé, rablée

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Chez l’imprimeur juré de l’académie (p. 286).

RABLÉ, ÉE, adj. — Qui a le râble épais, solide. Molard veut qu’on dise rablu, qui, en effet, est meilleur ; mais le « lyonnaisisme » a eu le dessus, et, dans sa dernière édition, l’Académie a dû inscrire : « On dit aujourd’hui plus généralement Râblé. »