Tes yeux sont deux saphirs verts
Ou deux émeraudes bleues
Qui rejettent à cent lieues
Les louanges de mes vers.
C’est la mer phosphorescente,
Car on y voit luire encor
Plus d’une étincelle d’or
À nos yeux éblouissante.
Et moi, songeur devant eux
Et cherchant à les comprendre,
Jamais je ne pourrais rendre
Le mystère de tes yeux ;
Car leur cruelle ironie
Qui brille et sourit sans fin
Se mêle au charme divin
D’une tendresse infinie.