MediaWiki:Scribunto/EauCometes

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Les comètes et la manière dont elles produisent de l’eau

Introduction

je présente ici un résumé accessible à tous/tes de la théorie que j’ai publiée sur l’internet (sur ResearchGate) et qui a rencontrée si peu de succès. J’ai l’impression de sortir d’une grotte ou d’une caverne, tel le forgeron alchimiste qui travaille à sculpter une pierre philosophale dans les profondeurs de ses méninges. Au delà des images symboliques, il s’agit d’un travail technique et scientifique, à l’aide de chiffres et de mécanismes de pensée logiques. Cette théorie a pour prétention d’expliquer de nombreuses choses concernant le fonctionnement d’une comète, comment elle produit de l’eau et nombres de caractéristiques mal comprises ou bien pas expliquées. L’étude prend appui sur des publications professionnelles émanant de grandes institutions scientifiques et de journaux à comités de lecture. J’ai imaginé un système qui respecte les lois de la physique et qui permet d’être en phase avec ce que l’on observe dans le concret. Reconsidérer le fonctionnement d’une comète, comment elle produit de l’eau, c’est repenser tout l’histoire de la géologie terrestre. En plus d’emmener dans son sillage la question des transmutations biologiques avec des implications lointaines dans les domaines de l’agronomie et de la médecine, principalement. C’est donc une question majeure dans le domaine des sciences.

Postulat des transmutations biologiques

on considère ici que l’existence de réactions bio-nucléaires est un fait acquis, le vivant étant capable de manipuler les atomes, de les défaire et les refaire autrement, ce que l’on nomme habituellement « transmutations biologiques ». Corentin Louis Kervran a consacré plusieurs ouvrages dans les années 60 à ce sujet dans lesquels il a rendu compte de travaux antérieurs, de ses propres observations et de ses expériences. Plus tard le phénomène a été démontré plus solidement par Vladimir Vysotskii à l’aide de cultures bactériennes et par l’emploi de techniques modernes d’analyses isotopiques, par spectrométrie de masse. Il présente régulièrement ses résultats lors de conférences internationales et dans des publications, d’autres chercheurs le font aussi pour le même sujet.

Généralisation au monde vivant

Je pense qu’il est logique de considérer que si des bactéries sont capables de faire ce genre de chose, alors cette compétence doit être largement partagée par tous les organismes vivants. L’activité bio-nucléaire est donc potentiellement présente dans toute la biosphère et dans toute matière biologique. Les comètes sont soupçonnées d’avoir apporté la vie sur Terre, par les anciens comme par les modernes. Selon les cosmo-géologues elles auraient déposé de grandes quantités d’eau à la surface de notre planète, dans les premiers temps de la Terre. Les comètes auraient aussi déposé des acides aminés et les moléculesorganiques qu’elles contiennent. Il faut entendre par molécules organiques des chaînes carbonées, au sens de la chimie. Ces différents composés sont constitutifs des molécules biologiques, elles sont favorables à l’émergence de la vie

Postulat du vivant dans les comètes

Plusieurs chercheurs émérites affirment qu’il existe des fossiles de bactéries dans certaines de leurs météorites. La question reste très controversée. Il s’y trouverait aussi des restes de nanobactéries, cad des petites sphères enfermant des protéines, anciennement en tout cas. On ne connaît que peu ces objets biologiques mais ils sont présents sur Terre dans la plupart des roches sédimentaires, sur quelques kilomètres d’épaisseur de croûte terrestre en moyenne. Je fais l’hypothèse qu’il y a du vivant dans une comète, ou à défaut il y a ces protéines encapsulées dans de petites sphères calciques que sont ces mal-nommées nanobactéries. Car ce ne serait pas des être vivants à proprement parler, elles ne contiennent pas de matériel génétique et ne peuvent donc pas se reproduire ou se multiplier. On ne connaît pas leur origine.

Introduction

4/ Déduction : si donc dans une comète il y a du vivant, ou bien du matériel biologique tel que ces nanobactéries, alors il y a la possibilité qu’une activité bio-nucléaire ait lieu en son sein. Positionnement : l’eau liquide est la première condition à l’activité vitale. La vie va donc faire tout son possible pour que de l’eau soit présente et produite. Il y a une certaine forme d’intelligence, ou de pré- science, dans le phénomène du vivant. Le pourquoi du comment à ce propos ne concerne pas la présente étude. Une comète, lorsqu’elle approche du Soleil, n’est pas seulement réchauffée, elle est aussi sous le vent solaire, qui est constitué de protons, donc d’hydrogène en quelque sorte. Hors pour faire de l’eau il ne manque dans ce cas que de l’oxygène. La vie a donc intérêt à faire surtout apparaître de l’oxygène et à produire de la chaleur.

Introduction

L’oxygène se trouve dans une part mal définie de glaces d’eau qui évaporeraient sous l’effet du rayonnement solaire, ainsi que dans l’olivine et dans d’autres silicates ferro-magnésiens. Ce sont les mêmes roches que celles du manteau terrestre, des roches dites primitives qui constituent la matière rocheuse de la comète. On peut écrire les silicate comme A-SiO 4 , un oxyde de silicium avec A du fer et du magnésium pour l’olivine.

Introduction

Il n’existe aucune possibilité de réaction chimique pour libérer cet oxygène des silicates. Le verre est un silicate par exemple et l’on s’en sert en chimie pour contenir toutes sortes de substances agressives. Jamais il n’est dissous et décomposé. Par ailleurs les températures dans une comètes sont bien en deçà de ce qu’il faudrait pour ‘vaporiser’ tout ça sous la forme d’un plasma, on n’est pas du tout dans les bonnes gammes de températures. Bref l’oxygène est bien accroché. Donc pour le chimiste c’est une impasse, et donc les comètes émettraient de l’eau du seul fait qu’elles contiennent des glaces d’eau. Contradiction avec les faits : de l’oxygène moléculaire O 2 est détecté par la sonde Rosetta dans la coma (atmosphère) de la comète 67P visitée. On écrit dans une revue scientifique : « Cet oxygène ne devrait tout simplement ne pas se trouver là », car le modèle standard de formation du système solaire l’interdit. La seule possibilité envisagée serait celle de la présence d’anciennes glace d’oxygène, mais celles-ci ont disparues au tout début de la formation du système solaire, et en cas elles auraient dégazée bien avant de pouvoir s’approcher du Soleil. En outre on observe régulièrement des phénomènes thermiques inexpliqués dans les comètes, des excès de température. Quant à la glace d’eau, elle n’est jamais vue, les comètes sont noires de charbon à leur surface et leurs éjectas contiennent bien peu de glace d’eau en fait. Scénario défendu : tout laisse donc à penser qu’une activité bio-nucléaire est à l’œuvre dans une comète, permettant la libération d’oxygène par la fission des atomes de silicium dans l’olivine. Les ponts silicium- oxygène du minéral sont brisés et l’oxygène est ainsi libéré. « Le verre est brisé ». De la chaleur est aussi produite par la même occasion. D’autres mécanismes pour la libération de cet oxygène sont peut-être envisageables, mais ici c’est la fission du silicium qui est envisagé comme le déclencheur de la casse.

Introduction

Description en mode survol du modèle proposé : Il existe des réactions nucléaires qui produisent de l’énergie, d’autres qui en consomment. Les transmutations d’éléments sont typiquement des réactions nucléaires. Pour les éléments qui nous intéressent les réactions de fusion produisent de l’énergie, les réactions de fission en consomment. Le principe est de coupler deux de ces réactions ensemble. D’autres considérations non exposées ici permettent de construire un système réactionnel qui implémente ce principe avec un effet thermique parfaitement contrôlé, ceci afin que l’énergie dégagée soit compatible avec l’activité biologique. Le système étudié est décrit par {Mg+C⇢Si}. En fusionnant un carbone sur un magnésium, on peut fissionner l’atome de silicium, en utilisant l’énergie de la première réaction pour alimenter la seconde. Les éléments qui interviennent, Mg, C et Si, sont les constituants majeurs de l’olivine, avec le fer. Dans l’article que j’ai publié j’étudie aussi le système {Mg+O⇢Si} mais les résultats sont comparables. Le système fonctionne sous l’action des neutrinos solaires. Le Soleil nous bombarde de neutrinos, des particules mystérieuses qui nous traversent par millions à chaque instant. L’approche vers le Soleil a donc pour conséquence une augmentation du flux de neutrinos, en plus d’apporter des protons avec le vent solaire. Ci-dessous une copie de croquis décrivant le système, le déclenchement est assuré par un neutrino solaire incident (incoming neutrino ν) : La présence de sphérules dans certaines météorites laissent à penser que des nanobactéries seraient présentes dans les comètes, venant d’on ne sait où. Elles contiennent des protéines qui implémenteraient le système proposé. Une possible machine bio-nucléaire protéinique est décrite à l’aide du croquis ci- dessous à gauche, les explications plus précises ne sont pas reportées ici (à droite c’est une copie de feuille de calcul de tableur) : Vient ensuite une série de calculs et de considérations logiques qui permettent de décrire le spectre des isotopes produits par la fission du silicium. Le travail avec un tableur permet de développer ce spectre sous le forme d’un graphique dans lequel je retiens en particulier trois points étonnants.Description du graphique :

Introduction

Dans la partie haute se trouve le spectre solaire en neutrinos. Plus on va vers la droite plus le neutrino solaire emporte de l’énergie, peu en fait vis à vis de ce qui se passe dans le système mais ça compte quand même et ça déploie le présent graphique. A cette même droite les neutrinos se font rares, c’est la partie gauche qui est abondante en neutrinos, pour de très faibles apports énergétiques au système réactionnel. Mais en sciences on mesure, on a l’instrumentation scientifique pour cela. Si bien que même de très faibles quantités d’une chose peuvent être très parlantes, et elles le sont. 123 Les trois caractéristiques majeures et remarquables, en ce sens qu’elles correspondent à des compositions observées très caractéristiques, sont 1/ le chassé-croisé sur les trois isotopes de l’oxygène, 2/ la synthèse des deux isotopes mineurs du magnésium, liée semble-t-il à 3/ la production d’aluminium et de deutérium et d’hydrogène en rapport avec les compositions de l’eau cométaire et des chondrites. C’est ce que montre le graphique. 1- Les isotopes d’oxygène (16 à 18) produits, selon leurs proportions respectives, justifient l’enrichissement en oxygène-16 observée dans l’eau cométaire, mais aussi ils inclinent en quelque sorte en faveur de l’oxygène-17 d’une façon non triviale. Cette ‘inclinaison’ est une explication possible pour ce que l’on nomme la CCAM line, la droite isotopique des chondrites carbonées pour l’oxygène. Les chondrites carbonées sont des déchets de comètes. Les résultats calculés sont compatibles à cette curiosité de la nature, ce qui est un heureux hasard. Cette ‘CCAM line’ est un paramètre majeur en cosmologie et elle n’est pas expliquée jusqu’à présent.

Deux isotopes minoritaires

2- Deux isotopes minoritaires du magnésium sont produits, par le calcul. La question du magnésium est assez complexe car il existe une radio-source en magnésium-26, dont on observe des excès dans les chondrites. Mais de manière plus ténue et plus localisée il existe aussi un excès commun en magnésium-25 et en magnésium-26, ce que prédit le calcul. La question est restée ouverte à ce stade.3- Le système produit de l’aluminium, avec de l’hydrogène et un peu de deutérium. L’aluminium est présent dans les chondrites, notamment dans ce que l’on nomme les inclusions CAIs. C’est là aussi que l’on observe l’élévation en Mg25 et Mg26. Le rapport aluminium/magnésium est un paramètre très étudié dans les chondrites, aspect que je n’ai pas exploré. On remarque aussi que l’eau cométaire est enrichie en deutérium, ce que l’activité du système justifie. L’ensemble des tendances décrites par la simulation sont observées quelque part dans les comètes ou dans leurs déchets météoritiques. On observe ainsi des tendances correctes sur l’azote, sur le carbone aussi quoique je ne le fasse pas apparaître dans le diagramme, sur l’hélium non apparent non plus, etc. Mais il ne faut pas succomber à un effet marc de café et se méfier des mirages, je ne retiens donc que les trois points que j’ai mentionnés. Ce sont les plus importants paramètres de cette recherche, ils doivent trouver place dans un puzzle dont la structure reste encore à découvrir ou à préciser. Le triangle de feu : l’édifice théorique peut se décrire par un triangle. A la base de ce triangle se trouve l’affirmation selon laquelle c’est bien de l’oxygène qui est produit dans une comète, non de l’eau principalement, cet oxygène étant celui contenu dans les silicates, dans l’olivine. Je considère ce point comme acquis, je ne suis pas le premier à en faire la proposition mais rien n’a jamais été publié à ce propos à ma connaissance, puisqu’on ne voit pas bien comment cela serait rendu possible. C+Mg Si SiO 4 → XY + 4O↗

Sur le flan droit

Sur le flan droit se trouve la fission du silicium, avec ce que cela produit comme indiqué dans le précédent graphique ; de l’aluminium, de l’oxygène etc ... Cette partie est très prometteuse. Il est surprenant de trouver les bonnes tendances pour les trois isotopes de l’oxygène, tandis que celles-ci sont inhabituelles et mal expliquées. Le point concernant le magnésium est sans doute à relier à celui de l’aluminium, ceci nécessite plus ample investigation mais on a ici une configuration qui fait sens au regard de ce que l’on observe. Sur le flan gauche se trouve la réaction qui alimente celle du flan droit, la fusion d’un carbone sur un magnésium C+Mg typiquement. Cette réaction produit de l’argon principalement. D’autres réactions sont possibles, dont O+Mg qui produit du calcium. D’autres encore mais en nombre limité. D’une façon générale, et c’est le cas de la réaction C+Mg, on obtient par le calcul des excès en isotopes qui ne sont pas toujours observés, même si certains le sont. Ce flan gauche est un peu gauche. En analysant plus précisément il serait peut être possible de conclure plus positivement sur cette partie. La base du triangle a besoin du flan droit pour exister, à moins que l’on ne trouve une autre astuce pour libérer cet oxygène des silicates. Ce flan droit ne peut pas fonctionner sans un apport important en énergie, ici c’est le flan gauche qui assure cette fonction. La théorie forme un tout dans son ensemble, chaque élément dépendant d’un autre. 4 La théorie que je propose suggère aussi que l’activité du système soit responsable de la présence de structures spécifiques aux chondrites, à savoir les inclusions alumino-calciques CAI déjà mentionnées, ainsi que les chondres. Ces chondres, sorte de tout petits galets, soulèvent beaucoup de questions et de contradictions quant à leur origine, cela fait l’objet de nombreux débats et recherches. La présente théorie justifie la formation de ces chondres in-situ, ce qui entraîne alors d’autres questions concernant les datations. D’autres aspects encore mériteraient à être investigués. En y incluant les excès de températures cométaires on peut considérer ici un quatrième point à l’appui de la présente thèse.Dans l’ensemble cette théorie présente de nombreux points positifs et encourageants. Si elle décrit ce qui se passe réellement, il doit exister un scénario, un raffinement, qui permet de faire coïncider points à points les résultats calculés avec les observations. C’est une recherche qui nécessiterait à être poussée plus en avant.

Epilogue

Epilogue : pour l’instant je me suis arrêté là, j’ai un problème de revenus et je ne gagne rien avec ça. C’est romantique peut-être, le mythe du chercheur qui finit inconnu de tous, dans la pauvreté, comme le peintre ... On dit que l’alchimiste travaille sur lui-même en travaillant la matière, qu’il se transforme lui aussi. Cette étude fait penser à l’alchimie, puisqu’on a affaire à des transmutations. Je ne sais pas en quoi je me transforme mais après avoir publié il y a quelques semaines j’ai remis ça dans un coffre, au fond de cette grotte d’où je viens, et je vais prendre l’air à la surface. Bonjour surface ! J’ai rédigé ceci afin d’expliquer que je ne suis pas fou, ce que j’ai fait a de la valeur. Il se double de mon parcours de voyageur qui m’a coûté mes économies. Il faut dire que des théories de toutes sortes apparaissent régulièrement et en principe on prête surtout attention au pedigree de celui qui publie si on veut ne pas perdre son temps. Moi je ne suis personne, aucune université, même pas en poste et personne ne m’a rien demandé. Je sors d’une grotte, de la caverne des anciens. On voit de tout aujourd’hui ; des comètes qui sortent de la cuisse de Jupiter, des Terres qui seraient plates ou bien creuses, des calendriers mayas et autres multitudes improbables. Une foule de bruits dans un monde en tension, un monde dans lequel l’innovation n’est pas forcément la première des priorités. Pour peu que le monde ait des priorités. J’ai eut quelques échanges avec des chercheurs. Claude Daviau un ancien de l’école des mines m’a bien aidé en m’accordant deux longues conversations, concernant les monopoles magnétiques notamment, ce sont des neutrinos magnétisés et il en est un spécialiste en France. Ces sujets sont très peu connus en fait, il y a peu d’interlocuteurs potentiels. Les chercheurs à la retraite sont plus accessibles en tout cas. Il y a comme une vision qui se déploie lorsque j’observe l’ensemble de ma théorie. Par exemple ça pourrait expliquer le magnétisme terrestre, ainsi que la tectonique des plaques, rien moins que ça. C’est difficile pour moi d’imaginer que ce que j’ai théorisé n’ait pas quelque rapport avec ces phénomènes terrestres d’importances majeures. Ceci dit c’est à l’arrêt, dans le coffre dans la grotte de la caverne des anciens. Un jour peut-être une saison 2, une renaissance, un sol-invictus. Bonne année 2019, ici Houston Charlie Bravo ...


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