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Restif de la Bretonne - Le pornographe, 1770

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PREMIÈRE PARTIE











LE
PORNOGRAPHE,
ou
IDÉES D'UN HONNÊTE-HOMME
SUR
UN PROJET DE RÉGLEMENT,
POUR
LES PROSTITUÉES,
Propre à prévenir les Malheurs qu’occafionne
le Publicifme des Femmes ;
AVEC


Des Notes historiques et justificatives,
Prenez le moindre mal pour un bien
Machiavel, Livre du Prince , eap. XXi,


A LONDRES,
Chez Jean Nourse, Libraire, dans le Strand,
A LA HAIE,
Chez Gosse junior, & Pinet, Libraires de S.A.S


M. DCC. LXX.
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IDÉES SINGULIÈRES.


Préface de l’Éditeur.


L’idée de cet Ouvrage n’eſt pas née dans une tête Françaiſe : il y a tout lieu de préſumer qu’un Manuſcrit anglais, que quelques perſonnes de Londres ont vUy ejl le type ſur lequel on s’eſt modelé. Le premier Auteur ſe nommait Lewis Moore  : voici ſon hiſtoire.

Un Anglais, jeune, opulent, bien fait y voulut voir le monde & ſe former à l’école de toutes les Nations de l’Europe : il vint à Paris, Cette ville lui
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parut bien au-deſſus de ſa renommée ; tout le convainquit, que le Paradis que Mahomet promet à ſes Élus, n’eſt rien en comparaiſon de la Capitale de la France pour un homme qui peut y répandre l'or à pleines mains. Durant cinq années, il ne put ſe réſoudre a quitter ce ſéjour enchanteur. Cependant ſes revenus, quoique conſidérables, étaient bien inférieurs à ſa dépenſe : les fantaiſies d'une principale Maîtreſſe en abſorbaient les trois quarts. Il ſe vit enfin dans la néceſſité de faire une réforme : il la commença par cette femme capricieuſe ;
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enſuite il s efforça de remplir le vide que ce ſacrifice laiſſait dans ſon cœur, par des plaiſirs faciles, variés, & qui coûtaient moins. Ce fut ce qui acheva de le perdre. De honteuſes maladies l'accablèrent ; caduc à trente ans, il retourna dans ſa Patrie, gémir de ſes erreurs : ce fut-là qu'il entreprit de tracer un Plan de réforme, dont il ne devait pas profiter. Il mit à la tête de ſon Projet l'avis qu'on va lire.

« Je fus libertin ; je ne le ſuis plus. A peine au milieu de ma carrière, j’en aperçois la fin. Des plaiſirs fort courts, ſont ſuivis de maladies
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longues & cruelles. J’ai eu recours aux antidotes, à ce minéral puiſſant, qui porte le nom de la Planète la plus proche du Soleil, aux Charlatans ; hélas ! en vain. Ne voyant plus rien à faire pour moi-même, j’ai réſolu d’être utile aux autres, en rendant publiques mes idées, ſur les moyens de diminuer les inconvéniens d’un certain état qui révolte la nature, mais que je ſens bien qu’il eſt impoſſible d’anéantir. Puiſſe-t-on, par un Établiſſement utile, prendre le mal à ſa ſource, & préſerver d’une manière efficace nos jeunes Citoyens, de ce venin deſtructeur qui va me faire deſcendre au tombeau ! Je déclare, que je laiſſe la moitié de mon bien pour y contribuer, ſi jamais l’on ſe réſout à réaliſer mes idées.

Lewis Moore.
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[Suivait ſon Projet, preſqu’en tout ſemblable à celui du Français : il le terminait ainſi : ]

« S’il eſt quelqueſois permis à un ſimple Citoyen de propoſer ſes idées pour le bien général, ce n’eſt ſans doute, que lorſqu’il le fait avec tout le reſpect dû au Gouvernement ſous lequel il vit, & quand il a ſujet de craindre que les abus dont il deſire la réformation, ne tendent à le priver de ſa plus douce eſpérance, d’avoir des enſans ſains, robuſtes & vertueux ».

Tel eſt auſſi mon but, en donnant cette Edition d’un Projet ſemblable, que ſon Auteur allait enſevelir pour toujours dans l’obſcurité. Les honnêtes gens, en regardant ma
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démarche comme un effet de mon zèle & de mon amour pour l’humanité, ne feront que me rendre juſtice.


L’Ouvrage compoſé de onze Lettres ſe trouve diviſé en cinq parties, ou § §.

IVme Lettre.

Dans le Premier, on avoue la néceſſîté de tolérer les Proſtituées dans la Capitale & les autres grandes Villes d’un Royaume.

Vme Lettre.

Le Second renferme un détail des inconvéniens inſéparables de la Proſtitution, même, en ſuivant le Plan tracé. On parle enſuite de ceux qui l’accompagnent aujourd’hui, & le L
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ecteur Lecteur conviendra qu’il ſont effrayans.

VIme Lettre

On propoſe le remède dans le Troiſième §, qui contient le Règlement. On y verra qu’une Maiſon publique, bien adminiſtrée, qui raſſemblerait toutes ces malheureuſes, le ſcandale de la Société, pourrait ſe ſoutenir par elle-même ; diminuer l’abus que la ſageſſe des Loix tolère, ſans amener aucun des inconvéniens qu’une réforme d’un autre genre occaſionnerait ; & contribuer au rétabliſſement de la décence & de l’honnêteté publique, dont il ſemble que les mœurs s’éloignent inſenſiblement.
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VIIme Lettre.

Le § IV.me répond aux Objections ; éclaircit, étend quelques Articles,

XIme Lettre.

Dans le Vme, on récapitule la Recette & la Dépenſe.

C’eſt par ces cinq §§, que l’on prouve la propoſition, Que l’Établiſſement, outre l’avantage que les hommes en retireront pour conſerver leur ſanté, leurs biens, & même leurs mœurs, peut encore être utile d’une autre manière.

Dans le cours de l’Ouvrage y on a placé quelques Notes peu conſidérables : il s’en trouve d’autres beaucoup plus
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importantes, que l’on a détachées pour les renvoyer à la fin ; elles formeront comme une Seconde Partie, Les Lecteurs y verront quelques traits hiſtoriques ſur les mœurs des Anciens ; l’origine & l'état de la Proſtitution chez les premiers Peuples ; ſon état actuel ; des exemples d’abus révoltans parmi nous ; la manière dont les filles publiques ont été gouvernées dans le moyen âge : On ſe convaincra que ces viles & malheureuſes créatures ne ſurent pas toujours abandonnées à elles-mêmes comme aujourd’hui... Mais ſerait-il poſſible que les ſoins du digne & vigilant Magiſtrat qui
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gouverne la Capitale de la France, deſcendiſſent dans les détails minucieux & dégoûtans qu’exige le nombre trop conſidérable des Débauchées ?


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Fautes à corriger.


Page 154, ligne 17, ſoin, liſez ſoin.

186, ligne 9, le monde, liſez ſon monde.

196, ligne antépénultième, un Corps-de-gardc, liſez un ſecond Corps-de-garde.

176, ligne 16, 2, 743,1000, retranchéz un 0.


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LE


PORNOGRAPHE,


ou la


PROSTITUTION


RÉFORMÉE.



Fragment d’une Lettre
de madame Des Tianges
à ſon mari.
Paris, 6 avril I76…


……… Oui, j’en ſuis très-contente, mon élève ſoutient l’épreuve à merveille. L’honneur l’emporte
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dans ſon âme ſur l’habitude du vice. Il me diſait hier, qu’il me trouvait charmante, mais que ſon attachement pour monſieur Des Tianges, ne lui permettait de voir dans la femme d’un ami ſi reſpectable, ſi vrai, qu’une ſœur chérie. Eſpérons tout, mon aimable ami, d’un cœur qui ſans doute était fait pour ne s’égarer jamais. Les ſuites fâcheuſes qu’ont eu ſes premiers deſordres, l’auront dégoûté ; il eſt certain, au moins, qu’elles l’ont effrayé. Ses entretiens roulent trop ſouvent ſur la réforme qu’il deſirerait qu’on mît dans les mœurs ſur cet article. Lorſqu’il rencontre quelqu’une de ces viles créatures…… il friſſonne enſuite la rougeur couvre ſon front. Il ne faudrait plus qu’un amour honnête, légitime, pour achever de l’affermir dans le bien. Dès que je croirai le pouvoir
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faire ſans imprudence, je le conduirai au couvent d’Urſule, Ma ſœur l’eſt auſſi chère qu’à moi ; ſon bonheur augmentera le nôtre, & je ſuis ſûre que D’Alzan le fera, s’il le veut .... .... .... .... .... .... .... .... .... .... .... .... .... .... .... .... .... .... .... .... .... .... .... ....

Je ſerai, cher bon ami, toute ma vie glorieuſe du titre de ton épouſe, heureuſe par celui de ton amante.


Adélaïde.




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Seconde Lettre.


De D’Alzan,


à Des Tianges,


Paris, 10 avril 176…


Sais-tu, mon cher Des Tianges, que ton abſence eſt trop longue ? Quoi ! nouvellement marié, à la plus aimable, à la plus ſéduiſante des femmes, tu ne t’effraies pas de trois grands mois ! En vérité, mon cher, je trouve que, ſi ce n’eſt pas avoir trop de confiance dans la vertu de ta charmante épouſe, c’eſt au moins en avoir beaucoup trop en ton mérite. Dans le ſiècle où nous ſommes…… Mais y ſonges-tu ! de notre tems Pénélope n’eût pas renu huit jours, & Lucrèce n’aurait été qu’une coquette : des amans
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toujours à table, toujours ivres, objets bien ſéduiſans ! le groſſier Sextus la menace à la bouche, un poignard à la main… ſi ! ce féroce attentat ferait aujourd’hui trouver une Lucrèce dans une fille de l’Opéra. Nos mœurs polies ſont bien plus fatales à l’honneur des maris : nous avons ſecoué le joug des préjugés, la fidélité conjugale n’était déjà plus la vertu de nos grand’s-mères : on ſe marie comme on fait un compliment de la nouvelle année, parce que c’eſt l’uſage ; mais, dans le fond, l’on ne tient guère plus l’un à l’autre qu’auparavant. Rien de plus commode : il faut avouer que la ſociété s’eſt montée ſur le meilleur ton : dans un demi-ſiècle les ſingulières choſes que l’on pourra voir dans un demi-ſiècle !… Vous ne vous êtes pas mariés de la ſorte, la belle
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Adelaïde & toi : vous vous êtes épouſés tout-de-bon : j’en gémis en vérité. Une femme, jeune, plus touchante que les Grâces, vive, enjouée, faite pour le monde & pour l’amour, vit dans la retraite parce que ſon mari eſt abſent, ſouhaite îmbécillement ſon retour, compte les ſemaines, les jours, les heures, qui doivent s’écouler encore ſans le voir, tandis qu’elle pourrait… oui, qu’elle pourrait imiter les autres, ne t’en déplaiſe. Je n’entreprendrai pas de la perſuader ; je la crois incorrigible. Mais, ſi je le voulais, que j’aurais de belles choſes à lui dire ! Premièrement, je citerais les Grecs, & je lui dirais avec emphâſe : Les Lacédémoniens, ce peuple fier & courageux, l’honneur & l’exemple du genre humain, penſaient comme à préſent ; & les femmes, à
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Sparte, étaient… communes à tous. Et je le prouverais un Plutarque à la main. De-là je viendrais au ſiècle poli d’Auguſte ; je lui ferais voir Livie, paſſant, quoiqu’enceinte, des bras de ſon époux, dans le lit de l’heureux tyran de Rome : je lui montrerais les Romains, ces conquerans du monde, ſe feſant un jeu du divorce & de l’adultère : leurs femmes s’élançant avec intrépidité par-deſſus les quatorze rangs de ſiéges de l’Orcheſtre (*)[1], pour aller ramaſſer un
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faquin dans la lie du peuple. Agrippîne, Julie, oubliant le titre de mères… Mais c’en eſt trop, & la raillerie va plus loin que je ne le voulais. Ta chère Adélaïde ne verrait dans ces exemples trop fameux, que l’humanité dégradée, indignement avilie ſous les pieds fangeux de l’altière impudence.

Voila comme en tout tems les hommes ont ſubſtitué une licence injuſte, effrénée, à une généreuſe liberté. Il eſt cependant des ſiècles où les vices ſont plus gazés, parce qu’on en rougit encore : d’autres où on lève ſcandaleuſement le maſque. D’où vient donc aujourd’hui nos mœurs ſe raprochent-elles plus ouvertement de cet excès d’indécence où elles ſe montrèrent à la chute de la République romaine ?

Sans répéter ce que l’on a mille
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fois redit, que plus les hommes ſe trouvent raſſemblés en grand nombre, plus les fortunes deviennent inégales, & par une ſuite néceſſaire, plus les mœurs ſont molles, efféminées, déréglées dans les uns ; baſſes, ſerviles, faciles à corrompre dans les autres ; j’en vois une cauſe plus prochaine : C’eſt la Proſtitution, telle qu’elle eſt tolérée parmi nous.

Je te déveloperais davantage ma penſée : mais tu reviens, & nous cauſerons. Je vais employer le reſte de mon papier à te parler de ta chère, de ta reſpectable épouſe.

Nous ſommes preſque toujours enſemble, comme tu nous l’as recommandé ; & le fruit que j’ai tiré de nos fréquens entretiens, c’eſt que je ſuis enfin convaincu qu’il y a des femmes dignes d’être adorées, moi qui ne croyais pas qu’il en fût de
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vraiment eſtimables. Injuſte prévention donc je rougis, & que je veux expier en feſant un choix comme le tien. Madame Des Tianges ne m’a pas converti par des ſyllogifmes, des raiſonnemens, mais par ſa conduite : elle m’a ouvert ſon cœur : ô ciel ! quel tréſor d’innocence, de tendreſſe, de généroſité ! Ton bonheur a excité mes deſirs ; mais je ne te l’ai pas envié, mon ami, tu en es trop digne. Et puis, pour te dire la vérité ſans aucune réſerve, je viens d’apprendre que ton épouſe avait une fœur, aimable comme elle : cela m’a rendus clairs certains propos de madame Des Tianges, où je n’avais rien compris. Demain nous devons aller au couvent de cette jolie Recluſe : je la verrai : l’impatience ou je ſuis de la voir me ſurprendi je crois cela d’un bon augure ; c’eſt elle ſans
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doute qui doit me faire goûter cette félicité, dont je n’avais pas d’idée avant d’être reçu chez ta vertueuſe épouſe. Hâte-toi de revenir, mon bon ami ; je vais avoir beſoin de quelqu’un qui parle en ma faveur. Puiſſé-je joindre un jour, au nom d’ami dont tu m’honores, le titre de frère ! Je ſuis tout à toi, mon cher.

D’Alzan.


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mouillés de larmes, collés ſur la terre ; ſon père l’embraſſe — O ma chère enfant, s’écrie-t-il, tu me vois, & tu pleures — ! Lucile avait une Lettre toute prête ; elle la donne à l’auteur de ſes jours : le vieillard lit : on le voit pâlir : ſes genoux ſe dérobent ſous lui ; il tombe… Il venait de tout apprendre ; ce fut l’arrêt de ſa mort : quelques jours après, on le mit au cercueil. Lucile, inſtruite de ce funeſte accident, demande à ſortir : elle veut, dit-elle, embraſſer ſon père encore une fois, même après l’avoir perdu. On accorde cette ſatisfaction à ſes larmes, à ſes cris. Elle arrive ; ſe précipite ſur le cadavre inanimé : — O vous que j’aimai ſi tendrement, & que j’ai poignardé, s’écrie-t-elle, mon père, recevez-moi dans votre ſein… Soit qu’elle eût pris un dangereux breuvage, ou que sa ſeule douleur fut aſſez forte, elle ſe courbe ſur le corps de ſon père ; elle y demeure : on l’y laiſſe quelque tems. Enfin on veut l’en arracher ; elle ne reſpire plus… O Loix ! le ſeul coupable eſt encore heureux !

FIN.
  1. (*) Domina… uſque ab orckeſtra quatuordecim tranſilit, & in extremâ plebe quærit quod diligat… Ego adhuc ſervo numquam ſuccubui… Viderint matronœ quæ flagellorum veſtigia oſculantur ; ego etiam, ſi ancilla ſum, umquam tamen, niſi in equeſtribus ſedeo… Ne hoc dii ſinant, ut amplexus meos in crucem mittam ! Petron.