Trois mois dans les Pyrénées et dans le midi en 1858/De Vénasque à Luchon
Un clair de lune superbe pénètre jusqu’à mon lit. Levé pour le voir au-dessus des toits plats, des maisons noires, des ruelles tortueuses, et des balcons espagnols. Réveillé en retard par Ribis ; nous partons à cinq heures. Un homme de la maison nous accompagne jusqu’au fort, courant devant nos chevaux comme un coureur indien ; rencontré un compagnon, qui se met à nous suivre jusqu’à ce que le chemin nous empêche de trotter. Vigueur et Page:Tonnellé - Trois mois dans les Pyrénées et dans le midi en 1858.djvu/152 Page:Tonnellé - Trois mois dans les Pyrénées et dans le midi en 1858.djvu/153 Page:Tonnellé - Trois mois dans les Pyrénées et dans le midi en 1858.djvu/154 Page:Tonnellé - Trois mois dans les Pyrénées et dans le midi en 1858.djvu/155 Page:Tonnellé - Trois mois dans les Pyrénées et dans le midi en 1858.djvu/156 Page:Tonnellé - Trois mois dans les Pyrénées et dans le midi en 1858.djvu/157 Page:Tonnellé - Trois mois dans les Pyrénées et dans le midi en 1858.djvu/158 Page:Tonnellé - Trois mois dans les Pyrénées et dans le midi en 1858.djvu/159